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Economic combination of irrigation and fertilizer levels for maximum yield of sugarcane under farmer's conditions
1985
Ali, N. | Qamar-uz-Zaman
Effect of different nitrogen carriers on the yield of rice
1985
Ali, N. | Qamar-uz-Zaman
Comparison of Ca-containing and Ca-free N and P fertilizers for crop production on Gandhra saline sodic soil [Pakistan]
1985
Hussain, T. | Nabi, G.
Comparison of yields obtained and irrigation amounts required under border, furrow-bed furrow-ridge method of irrigation
1985
Khan, M.H. | Ali, M.B.
Development of effective extension methods to motivate farmers for the adoption of improved water management practices
1985
Ali, A. | Saleem, M.
Low cost techniques for lining the watercourses
1985
Chaudhry, A.A. | Shakoor, H.A.
Limitaciones para la implementación de acciones de mitigación de emisiones de gases de efecto de invernadero (GEI) en sistemas ganaderos en Latinoamérica = Limitations to implementing greenhouse gas mitigation actions in livestock systems in Latin America
2015
González, Ricardo | Sánchez Pinzón, María Solange | Chirinda, Ngonidzashe | Arango, Jacobo | Bolívar Vergara, Diana María | Escobar, Daniel | Tapasco, Jeimar | Barahona Rosales, Rolando
Estimation and comparison of benefits due to feeding hay and silage during the dry season on commercial dual-purpose cattle production systems in Honduras and Costa Rica
2006
Schoonhoven, Aart van | Holmann, Federico J. | Argel M., Pedro J. | Pérez, E. | Ordoñez, Jenny C. | Chaves, J.
Smallholders with dual-purpose cattle production systems in most Central America experience a shortage of forages during the dry season (4-8 month. As a result, substantially lower milk production and weight gain occurs. Dual-purpose operations seeking to maximize milk and beef production in the dry season can produce and feed hay or silage to their livestock. The increase in milk and beef production due to feeding hay or silage during the dry season on commercial dual-purpose cattle productions systems, the production costs of making silage or hay and the benefits as a result of feeding silage or hay are estimated and compared in Honduras and Costa Rica. Due to feeding silage or hay, farmers in Honduras and Costa Rica have increased milk production during the dry season. The costs of feeding hay are lower in both countries, although farmers feed a higher amount (kg DM/cow/day) than silage. Feeding silage or hay to milking cows is profitable in both countries. The income-cost ratio and the net benefit ($/cow/day) due to feeding these feedstuffs are positive. Farmers with milking cows in Honduras realise a higher income-cost ratio and net benefit due to feeding silage and hay than farmers in Costa Rica. Likewise, beef cows or young livestock supplemented with these feeding alternatives don't loose weight during the dry season. In Honduras as well in Costa Rica, it is profitable to feed silage or hay to beef cows or young livestock. Currently, no silage and a small hay market exist in Honduras. Possibly, these will develop due to an increasing demand for these profitable feedstuffs. In Costa Rica thanks to the efforts of agricultural organisations, a hay market of different qualities is developing.
اظهر المزيد [+] اقل [-]Régime et comportement alimentaire du dromadaire dans son milieu naturel désertique en Algérie
2013
Slimani S. | Chehma A. | Faye B. | Huguenin J.
Le Sahara algérien, réputé par son extrême aridité, avec ses faibles disponibilités en eau et en pâturage, présente des formations géomorphologiques représentant les différents types de parcours qui offrent la seule ressource d'aliment disponible pour le dromadaire. La présence d'animaux au comportement agressif (ovins, caprins, bovins) accentue la situation perturbée de ces parcours, contrairement au dromadaire qui contribue à l'équilibre de cet écosystème. Notre suivi sur le comportement alimentaire du dromadaire, dans le Sahara septentrional algérien, a montré que son régime alimentaire est diversifié en été et au printemps (9 et 6 espèces consommées) et se base essentiellement sur les plantes spontanées vivaces. Les espèces broutées se composent globalement de 13 espèces appartenant à 10 familles variant suivant les saisons et l'offre fourragère des parcours. Dans une station donnée, 3 espèces représentent entre 67,75 % et 100 % des quantités consommées. Une de ces espèces, le "Drinn" (Stipagrostis pungens) est consommée en toutes saisons et en proportions importantes (23 à 43 % du régime). De point de vue quantitatif, le suivi des prises alimentaires, selon la méthode du nombre de bouchées, a montré que le dromadaire pratique une alimentation ambulante, parcourant quotidiennement de 20 à 50 km et prélève de petites quantités de chaque plante, estimées en nombre de 1 à 4 coups de dents, donnant des quantités de 0,7 à 3,9 g pour chaque espèce. Les quantités de matière sèche journalières, ainsi ingérées, varient de 4,04 à 39,4 kg, donnant une moyenne estimée de 2,7 à 3,4 kg MS/ 100 kg de PV/jour, suivant les saisons et la composition floristique du régime. Ces résultats sont en accord avec le comportement alimentaire spécifique du dromadaire qui lui permet d'être la seule espèce capable de mieux utiliser son écosystème hyper-aride et bien adaptée aux conditions désertiques. (Résumé d'auteur)
اظهر المزيد [+] اقل [-]L'espace pastoral dans la région de M'sila, Algérie : état et perspectives de réhabilitation
2014
Senoussi A. | Hadbaoui I. | Huguenin J.
L'état des parcours steppiques de la région de M'Sila traverse de profondes évolutions que nous avons étudiées en nous intéressant à la caractérisation et la forte transition des systèmes d'élevage moutonniers de cette région. Nous avons mené des entretiens auprès de 30 éleveurs, répartis sur 11 zones potentiellement pastorales de la steppe algérienne (pluviométrie entre 100 et 400 mm/an) autour de M'Sila. Les systèmes d'exploitation des parcours sont le système pastoral (13,3%), en régression, et le système agro-pastoral (86,7%) qui augmente avec les défrichements. Les déplacements pour l'été en mauvaise année peuvent être importants. Tous les éleveurs ont recours à une complémentation alimentaire, économiquement rentable. Cette situation induit une rapide dégradation des sols qui se traduit par une désertification du milieu (64,5 % des sols sont très dégradés pour seulement 17,6% corrects). Par ailleurs, les cheptels continuent à augmenter. En conséquence, les pâturages (parcours naturels et vaine pâture) se trouvent chroniquement en état de surcharge, parfois toute l'année. Devant cette situation préoccupante, de nouvelles stratégies à envisager devraient s'appuyer à la fois sur des réhabilitations (régénération naturelle ou plantation pastorale) et sur des systèmes alternatifs d'associations élevage – agriculture (avec les périmètres agricoles). (Résumé d'auteur)
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