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Le choix du matériel végétal de plantation en bananeraie النص الكامل
1961
Morez, H. | Guillemot, J.
A la suite de plusieurs essais menés en des lieux différents sur la qualité de diverses sortes de matériel végétal utilisables en plantation bananière, il semble que la conservation d'une portion de faux-tronc (1,5 m) attenant au rhizome planté ait un effet bénéfique sur la croissance des rejets et, en Guinée, sur la précocité de la récolte. Aux Antilles, les essais n'ont pas encore été suivis au delà de 6 mois de végétation, mais déjà les applications pratiques apparaissent: remplacements de souches, replantations partielles pour régénérer les vieilles bananeraies. Malheureusement, ce matériel de plantation est difficilement maniable et transportable, ce qui limite son emploi aux replantations sur place
اظهر المزيد [+] اقل [-]Potassium, calcium et magnésium dans la nutrition de l'ananas en Guinée. III. Influence sur la qualité du fruit النص الكامل
1961
Martin-Prével, Pierre | Huet, Raymond | Haendler, Lucien
Faisant suite à l'exposé du plan et du déroulement de cette étude (Fruits, vol. 16, n¼ 2, p. 49-56), puis à celui des effets sur le rendement agronomique (Fruits, vol. 16, n¼ 3, p. 113-121), le présent article traite de l'influence du potassium, du calcium et du magnésium sur: - l'aspect extérieur des fruits (grosseur, forme, coloration de l'écorce) - les caractéristiques physiques et mécaniques de la chair (diamètre du coeur, texture, coloration interne, "remplissement" des yeux, rendement en jus) - les plus importants des caractères chimiques et organoleptiques (extrait sec, acidité, rapport extrait sec/acidité, parfum, saveur). On souligne le fait que les formules d'engrais devant conduire au rendement maximum coïncident avec l'obtention de la meilleure qualité sur les points essentiels de celle-ci. Deux développements dépassent le cadre des conclusions propres à l'essai étudié. L'un présente une mise au point sur le problème de la définition du poids moyen optimum. L'autre apporte des précisions nouvelles sur un point d'intérêt capital: les relations entre la saveur réelle des fruits et les déterminations chimiques habituelles (extrait sec et acidité)
اظهر المزيد [+] اقل [-]Le commerce mondial de la banane en 1959 النص الكامل
1961
Cadillat, R.M. | Naville, R.
Dans cet article, les auteurs examinent le commerce international de la banane pour les années comprises entre 1956 et 1959. Ils comparent les moyennes de cette période avec celles de 1935 à 1939 et de 1951 à 1955. Les statistiques régulières du commerce international de la banane-dessert donnent une idée plus claire de la production que les statistiques de production elles-mêmes qui sont très incomplètes et peuvent prêter à confusion. Exportations - Les exportations ont augmenté en 1959 de 39% sur la moyenne de 1951-1955 et de 62,4% sur celle de 1935-1938. Elles viennent en tête des exportations fruitières internationales avec 3.537.000 tonnes contre 3.023.000 tonnes pour les agrumes. Les pays exportateurs ont été classés par ordre d'importance pour les mêmes années. L'Equateur est toujours au premier rang. La France, par ses département d'Outre-Mer, est au quatrième rang des exportations mondiales. Importations Les Etats-Unis sont au premier rang. Ce pays consomme la moitié des bananes importées dans le monde. L'Europe qui vient au deuxième rang a plus que doublé le chiffre d'importation atteint avant-guerre. L'Allemagne Fédérale domine la position Européenne. La Grande Bretagne atteint le chiffre le plus élevé pour la période d'après guerre, mais n'a pas encore retrouvé le chiffre de consommation de 1938. La consommation de la France est en légère régression sur 1958. L'auteur espère un développement du commerce de la banane à condition que la qualité du fruit soit satisfaisante, et que les prix ne subissent pas d'augmentation anormale
اظهر المزيد [+] اقل [-]Protocole des essais à entreprendre au Port de Pointe-Noire pour juger de l'influence du flottage sur la qualité des billes de LIMBA النص الكامل
1961
CTFT - FRA
Essai sur l'économie des pêches maritimes en Algérie النص الكامل
1961
Simonnet, Raymond
Les recherches scientifiques entreprises pour l'amélioration de la nourriture des populations sous-alimentées ont mis en lumière la place que le poisson pouvait occuper; par sa teneur élevée en protéines, vitamines et sels minéraux, la pâte de poisson, convenablement traitée, est l'élément de base le plu!' riche qui puisse entrer dans la fabrication industrielle d'aliments synthétiques simples, de prix de revient peu élevé. A un stade de transformation moins avancé, le poisson salé, séché, mis en boîte ou fumé garde toutes ses propriétés biologiques et constitue un aliment d'une conservation aisée et d'un transport facile; il est, par surcroît, consommé en frais par une partie de la population, en général celle du littoral. Pour un territoire sous-développé, aux frontières maritimes importantes, la faune marine représente une richesse naturelle dont l'exploitation présente un intérêt certain; elle met à la disposition de la population une denrée alimentaire d'une haute qualité nutritive et entraîne sur le plan économique la création d'activités multiples, sources d'emploi et de distribution de revenu. La mise en valeur de la mer est en effet conditionnée par l'existence d'une flottille de pêche qui se traduit à plus ou moins brève échéance par la création d'ateliers de construction navale et de réparation mécanique, de fabriques de filets et de cordages. La commercialisation du produit implique l'installation d'entreprises commerciales comme les ateliers de mareyage et de conditionnement, les entrepôts frigorifiques, les halles de vente; sa conservation suppose l'implantation d'entreprises industrielles à caractère artisanal ou capitaliste comme les ateliers de salage, fumage, saurissage, les usines de conserves ou de traitement des sous-produits. L'ensemble de ces activités annexes ou connexes et complémentaires constitue une véritable industrie des pêches maritimes dont l'économie peut tenir une place importante dans une économie nationale. Avec ses quelque 1 100 km de côtes, l'Algérie a une vocation maritime; l'exploitation des fonds sous-marins y est très ancienne et, depuis 1830, celle-ci a entraîné l'installation d'entreprises de plus en plus nombreuses dont l'activité conditionne de nos jours la prospérité de plusieurs petites villes littorales. Pour apprécier le niveau de développement de cette économie, il faut connaître l'importance de chacun des facteurs qui caractérisent toute industrie au sens large du terme, c'est-à-dire la production, sa valeur le niveau d'emploi et la dimension du capital technique. En 1956, la production s'élevait à 21 170 t représentant une valeur de 2 260 millions de francs; 4800 pêcheurs étaient employés et utilisaient une flottille de plus de 935 navires d'une jauge brute totale de 6500 tx. 50 usines de conserves ont fabriqué 166000 caisses de sardines et 60 ateliers ont salé 60000 barils d'anchois; 1 500 ouvriers saisonniers ont été utilisés. Le revenu brut distribué aux marins pêcheurs et patrons propriétaires s'est élevé à 1,8 milliard de francs, Pour la même année, le revenu brut de l'agriculture était évalué à 250 milliards de francs, dont 59,3 pour la production de viandes, volailles, laines, produits laitiers: le revenu du travail représentait 30 milliards à distribuer entre 180 000 salariés. La pêche maritime représente près de 5 % de cette dernière production, 3 % de celle des vins et raisins, 40 % de celle des huiles. Sa place paraît être modeste au sein de l'économie algérienne; mais le rôle que doit jouer cette activité dans le développement économique du pays est des plus importants. La pêche met à « disposition» de la matière première dont la plus grande part doit être conditionnée, transformée et conservée par les Industries de conserves qui font partie du secteur des Industries agricoles alimentaires, véritable trait d'union entre l'agriculture et l'industrie: par le volume des produits susceptibles d'être traités, par le haut niveau d'emploi qu'il nécessite, il tient l'une des premières places dans l'industrialisation de l'Algérie. Les régions à la fois agricoles et maritimes, ne peuvent se désintéresser d'une activité aussi importante sans rechercher les moyens propres à assurer son développement maximum et son organisation rationnelle. Comparée à celle de la Métropole, la pêche algérienne paraît d'un niveau bien inférieur: pour l'année 1956, la France occupe plus de 51000 marins et utilise une flotte de plus de 14800 navires d'un tonnage global de 236 000 tx. La production s'élève à 427 000 t pour une valeur brute de 55 milliards de francs; 200 usines de conserves ont fabriqué près de 4 000 000 de caisses en traitant 88 000 t de poissons; elles employaient environ 13 000 ouvriers. L'Algérie représente 5% de la production métropolitaine en poids et 4 % en valeur; le tonnage de sa flotte n'en représente que 3 %, mais les marins embarqués sont de 10%. En résumé, la production débarquée dans le seul port de Concarneau dépasse largement, en poids et en valeur, celle de l'Algérie entière. Si l'on veut replacer cette étude dans son cadre Nord-Africain, il faut comparer cette activité avec celle des pays limitrophes. a) Tunisie. En 1952, la Tunisie occupait 9 000 pêcheurs en bateau et régulièrement inscrits, exception faite des pêcheurs d'éponges dont le nombre avoisinait 2 700: la flottille comptait 2 200 navires d'un tonnage global approximatif de 6 000 tx (les statistiques plus récentes sont imprécises). La production s'élevait à 11000 t pour une valeur de 868 millions de francs; une pêche importante est effectuée par l'intermédiaire de pêcheries fixes calées de la terre vers la mer et a rapporté 1 500 t de poissons pour une valeur de 266 millions. Une quinzaine d'usines ont fabriqué 170 000 caisses de sardines et 34 000 caisses de thons. b) Maroc. En 1948, le Maroc (littoral atlantique) employait environ 2500 pêcheurs embarqués à bord d'une flotte comptant 1 500 navires d'un tonnage global de 40 000 tx. En 1956 on dénombrait 5500 pêcheurs pour une flotte de 2 000 navires, la plupart étant des navires sardiniers. La production qui était de l'ordre de 30 000 t en 1938, était passée à 95 000 t en 1949, et à 100 000 t en 1956 pour une valeur approximative de plus de 3,5 milliards de francs marocains, En 1957, on atteignait 140 000 t. La majeure partie des apports consiste en poisson bleu et en thonidés (110 000 t en 1957) qui alimentent un grand nombre d'usines de conserves installées sur tout le littoral, et en particulier au port d'Agadir qui en compte à lui seul, plus d'une centaine. Les richesses sous-marines algériennes ne font pas l'objet d'une exploitation méthodique et intensive; la pêche constitue une activité artisanale mal organisée, les industries connexes se sont installées et ont prospéré a une époque où les débouchés commerciaux étaient peu développés et où l'usine représentait le principal client. L'équipement n'a jamais fait l'objet d'améliorations techniques, révolutionnaires du moins en ce qui concerne les engins de capture; les navires à voile ont disparu, mais les méthodes demeurent presque inchangées, les hommes répugnent aux innovations, même adoptées par leurs plus proches voisins. L'organisation économique de la pêche maritime ne répond plus aux besoins actuels; la réforme de sa structure s'impose non seulement parce qu'elle doit concourir à l'expansion économique générale, mais aussi parce qu'elle procède de la recherche de l'équilibre entre un secteur industriel déjà installé et un secteur de production en plein marasme, Pour préparer cette réforme, il faut connaître et analyser la structure actuelle de cette économie à travers les principaux éléments qui la caractérisent; c'est la raison pour laquelle cette étude comprend deux parties: 1. Analyse du marché, 2. Grands problèmes de la pêche algérienne. (OCR non contrôlé)
اظهر المزيد [+] اقل [-]La pêche maritime algérienne et ses possibilités (Rapport de mission) النص الكامل
1961
Furnestin, Jean
1° La pêche algérienne en déclin continu, produit moins de 22 000 t de poisson par an, mais elle devrait être une industrie prospère et pourrait sans beaucoup d'effort tripler sa production. 2° Ses deux formes essentielles: Pêche au chalut des poissons de fond, sédentaires (poisson blanc) et Pêche au lamparo, des espèces pélagiques (poisson bleu) se présentent sur le plan du développement qui pourrait leur être donné, de manière très différente. 3° La pêche au chalut, en dépit de l'augmentation du nombre de ses chalutiers depuis 15 ans, est insuffisante à approvisionner le marché algérien qui doit importer de l'étranger (Maroc) un tonnage de poisson blanc sensiblement équivalent à sa production (une dizaine de milliers de tonnes). La pêche au chalut n'a qu'un avenir limité car les fonds sur lesquels elle s'exerce sont étroits, difficiles et, surtout, surexploités. Un essor modeste, mais lui permettant de couvrir les besoins de l'Algérie pourrait lui être donné: a) Par une restauration des fonds épuisés, judicieusement divisés en cantonnements périodique~ ment remis en exploitation. b) Par la prospection de fonds nouveaux en Méditerranée, par profondeur de 400 à 800 m, niveaux auxquels les crevettes et certains poissons peuvent être abondants. Mais la découverte de tels fonds reste aléatoire et de toute manière elle sera limitée à des superficies peu étendues. c) Par l'orientation des chalutiers vers des lieux de pêche plus lointains: à l'est dans le canal de la Galite et le canal de Sicile, à l'ouest sur la côte de l'ancien Maroc espagnol et sur les fonds atlantiques de la baie ibéro~marocaine. Mais ceci implique le consentement des pêcheurs pour des sorties de plusieurs jours et des bateaux d'une puissance plus grande (50 à 100 tx - 200 à 400 CV) et mieux équipés (cales isothermes, sondeurs ultrasonores, phonie ... ) que la plupart des chalutiers existants. 4° La pêche au lamparo (poisson bleu) de type artisanal élémentaire utilise des bateaux non pontés, sans sécurité, inaptes à des sorties régulières. Elle ne produit pas assez de poisson pour faire tourner les usines de conserve et de salaison plus de 31 jours par an et ne peut approvisionner le marché intérieur en poisson frais. Elle occupe cependant une population nombreuse mais qui vit mal de son métier. 5° Contrairement à la pêche au chalut, elle s'adresse à des espèces abondantes (sardine, allache, anchois, etc.). Sous cet aspect, les eaux algériennes peuvent être considérées comme riches (contrairement à des opinions trop souvent admises), comparables à certains secteurs atlantiques voisins. Cette richesse relative est due au courant atlantique puissant et régulier qui balaie d'un bout à l'autre les côtes algériennes et y entretient des conditions hydrologiques favorables à la biologie de ces espèces. Un prélèvement annuel triple ou quadruple de la pêche actuelle n'influerait en aucun cas sur les réserves qui restent purement soumises aux fluctuations naturelles. 6° Le développement de cette pêche au poisson bleu suppose une transformation profonde des habitudes, des techniques et du matériel. Le lamparo doit être remplacé par le «ring-net ». Cet engin d'un bon rendement exige des sardiniers pontés, plus puissants (50 à 100 CV) que les lamparos, dotés de cales étanches, de sondeurs- détecteurs ultra-sonores et de la phonie). Le développement suppose aussi une plus grande durée de la période de pêche qui peut sans difficulté être étendue sur 8 mois. 7° Il implique aussi un aménagement de certains ports qui sont déjà ou peuvent de,venir des centres importants de pêche: Béni-Saf, le seul port relativement florissant de l'Algérie où le plan d'eau réservé aux chalutiers et sardiniers est insuffisant, Bou-Haroun au centre d'une région de pêche où vit une nombreuse population maritime et où sont implantées les usines de conserves, La Calle qui sert de base aux chalutiers de l'est, Bou-Zadjar, plage bien placée à proximité des lieux de pêche. Les ports de pêche doivent fournir à cette industrie des installations appropriées: ateliers de réparation pour certains d'entre eux, criées ou comptoirs d'agréage, chambres froides, etc., qui sont les compléments nécessaires à une pêche en pleine activité, 8° L'industrie de la conserve et de la salaison, étroitement liée à la pêche au poisson bleu, penclite elle aussi. Pourtant elle écoule sans difficulté sa production, mais faute de poisson elle travaille peu et irrégulièrement, ne peut se moderniser ni bénéficier d'une main-d'oeuvre expérimentée. Mais ses usines sont assez assez vastes et en nombre suffisant pour lui permettre de s'adapter rapidement à une production 4 à 5 fois plus forte. Le marché local lui appartient, celui de la Métropole lui est largement ouvert et sur les marchés étrangers elle n'aurait aucune peine à être compétitive avec les industries marocaines et ibériques concurrentes. 9° Au développement corrélatif de la pêche au poisson bleu et de l'industrie des conserves devrait correspondre celui d'une industrie des farines et huiles de poisson traitant les déchets des usines et le surplus de la pêche (une installation par centre de pêche), un débouché facile et rémunérateur de ces produits étant assuré en Métropole. 10° Le marché du poisson frais quasi inexistant, est à créer. Judicieusement orgaIllse et semble- t-il sans grandes dépenses (camionnettes isothermes), il devrait absorber une bonne partie de la pêche. 11° Le développement de la pêche et des activités connexes doit s'accompagner et est conditionné par une administration rigoureuse sans laquelle les conflits entre pêcheurs évolués et pêcheurs de petit métier entre pêcheurs et usiniers neutraliseraient rapidement toute action. On peut dire que le désarroi actuel de ces industries est dû à l'absence d'une organisation cohérente et complète qui règle une fois pour toutes les rapports des différents professionnels, en fonction d'une production qu'il importe de répartir sans profits abusifs pour les uns au détriment des autres. Des comptoirs d'agréage pour le poisson usinable devront être créés, le contrôle de la qualité établi et l'administration compétente devra disposer de tous les pouvoirs pour faire respecter les contrats passés entre pêcheurs et utilisateurs du poisson. 12° Le développement de la pêche suppose enfin une organisation de la sécurité des bateaux en mer (canots de sauvetage) ainsi qu'une recherche scientifique appliquée aux pêches et industries dérivées, 13° Ainsi, par la protection des fonds et la recherche de nouvelles zones chalutables, mais surtout par le développement conjoint de la pêche du poisson bleu (ring-net), des installations portuaires, des industries de conserves et de farines, enfin par l'organisation du marché local, sous l'égide d'une administration stricte et avec l'aide d'un service scientifique, la pêche qui ne joue qu'un rôle très secondaire dans l'économie algérienne en dépit de possibilités certaines, pourrait devenir une industrie florissante. (OCR non contrôlé)
اظهر المزيد [+] اقل [-]Preparation de produits a base de sardinelle.
1961
VESTERHUS R
Lectures notes
1961
Various Authors eng