Comment savoir si une rétinopathie diabétique est bien stabilisée ?
2019
Creuzot-Garcher, Catherine | Service d'Ophtalmologie (CHU de Dijon) ; Centre Hospitalier Universitaire de Dijon - Hôpital François Mitterrand (CHU Dijon) | Centre des Sciences du Goût et de l'Alimentation [Dijon] (CSGA) ; Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Université de Bourgogne (UB)-AgroSup Dijon - Institut National Supérieur des Sciences Agronomiques, de l'Alimentation et de l'Environnement-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
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Show more [+] Less [-]French. La rétinopathie diabétique (RD) est responsable de lésions microvasculaires et d’une dysfonction rétinienne d’évolution progressive. Elle est secondaire à l’exposition chronique à l’hyperglycémie et à d’autres facteurs de risque, comme l’hypertension artérielle, qui entraînent des cascades de changements biochimiques et physiologiques. Elle peut être responsable de complications cécitantes telles que l’hémorragie du vitré, le décollement de rétine tractionnel ou le glaucome néovasculaire. Afin qu’elle n’évolue vers de telles pathologies, il est important de la stabiliser par l’équilibration des facteurs de risque systémiques (optimisation glycémique et tensionnelle), parfois par la réalisation d’une photocoagulation panrétinienne (PPR) et/ou, plus récemment, par des injections d’anti-VEGF (Vascular Endothelial Growth Factor).
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