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Results 41-50 of 1,163
How can magnetic resonance imaging (MRI) and particulate contrast agents with finely tuned interfacial properties help understanding particle transport in soil.
2012
Michel, E. | Faure, P. | Guillet, P. | Lafolie, Francois | Neveu, S. | Sammartino, Stéphane | Polidori, A.
Caractéristiques et origines principales des épisodes de pollution hivernaux aux PM10 en France | Main properties and origins of winter PM10 pollution events in France
2012
Favez, Olivier | Petit, Jean-Eudes | Bessagnet, Bertrand | Meleux, Frédérik | Chiappini, Laura | Lemeur, Sébastien | Labartette, Claire | Chappaz, Claire | Guergnion, Pierre-Yves | Saison, Jean-Yves | Chretien, Eve | Pallares, Cyril | Verlhac, Stéphane | Aujay, Robin | Malherbe, Laure | Beauchamp, Maxime | Piot, Christine | Jaffrezo, Jean-Luc | Besombes, Jean-Luc | Sciare, Jean | Rouil, Laurence | Leoz-Garziandia, Eva
This paper aims at gaining an insight into the PM10 daily threshold (50 micro g/m3) exceedances measured by French regional air quality monitoring networks for the last four years. As almost three quarter of these exceedances happens to occur between November and April, we focus here on such winter (broadly speaking) pollution episodes. The deployment of monitoring devices allowing for a proper account of semi-volatile material within PM10 was achieved concomitantly to the development particulate pollution episodes largely influenced by ammonium nitrate (which is semi-volatile) in March-April 2007. Since then, such pollution events are frequently observed at this period of the year, notably due to stable meteorological conditions favoring the condensation of semi-volatile material into the particulate phase along with the resumption of manure spreading, which constitutes a major source of ammonium nitrate gaseous precursors (at least at some points of the year). Such pollution events, which are also related to combustion emissions (among which mobile sources) are typically preceded, from November to February, by frequent daily threshold exceedances with potentially significant influences of biomass burning (e.g. residential wood burning). The winter period is also impacted by long range transport episodes, corresponding notably to increases of ammonium sulfate relative abundances within PM10. Moreover, as traffic sites are generally the first ones showing PM10 exceedances due the increment of direct emissions and resuspension processes, mobile sources are also considered as a major target for action plans. Finally, it is underlined that the occurrence of daily threshold exceedances is highly influenced by meteorological conditions, so that the yearly number of these exceedances shows well-marked inter-annual variations, with 2009 and 2011 (and 2012, but not shown here) being significantly more polluted than 2008 and 2010. The on-going development of efficient forecasting systems still suffer lacks of detailed emission inventories and strong knowledge on the physical and chemical transformation processes of particles and their gaseous precursors within the boundary layer. | Cette synthèse dresse une analyse non exhaustive des dépassements du seuil réglementaire journalier de 50 micro g/m3 pour les PM10 mesurés au niveau national par les Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l'Air (AASQA) au cours des quatre dernières années. Près des trois quarts de ces dépassements étant observés entre fin novembre et début avril, nous nous intéressons plus particulièrement ici à ces épisodes hivernaux (au sens large). La mise en oeuvre de techniques analytiques permettant une prise en compte correcte des espèces semi-volatiles dans la composition des PM10 a coïncidé en mars-avril 2007 à la survenue de nombreux dépassements de seuil journalier s'accompagnant d'importants niveaux de nitrate d'ammonium (composé semi-volatil). Ce type d'épisode est régulièrement observé à cette période. Il s'explique notamment par la conjonction de conditions atmosphériques stables et propices à la condensation en phase particulaire des espèces labiles, et de la reprise des épandages agricoles, constituant une source majeure, au moins ponctuellement, de précurseurs gazeux azotés du nitrate d'ammonium. Ce type d'épisode, mettant également en cause les émissions anthropiques de combustion (dont les transports), est typiquement précédé entre novembre et février de fréquents dépassements pour lesquels le rôle des combustions de biomasse (incluant notamment le chauffage au bois individuel) peut être important. La période hivernale est également marquée par l'occurrence de phénomènes de transport longue distance se caractérisant par une augmentation des contributions du sulfate d'ammonium. Les sites de proximité automobile étant généralement les premiers concernés par les dépassements du seuil journalier en raison du surplus de concentrations provenant des émissions à l'échappement et des phénomènes de remise en suspension, le transport routier est également considéré comme un levier incontournable pour le respect des valeurs limites. Enfin, il est souligné que l'occurrence des différents types d'épisodes de dépassements dépend fortement des conditions météorologiques, de sorte qu'on observe une forte variabilité interannuelle du nombre de dépassements hivernaux ? : 2009 et 2011 (et 2012) étant significativement plus impactées que 2008 et 2010. Une bonne prévision de ces épisodes passe encore par l'affinage des cadastres d'émission et une meilleure compréhension du devenir dans l'atmosphère des émissions primaires (gazeuses et particulaires).
Show more [+] Less [-]Impacts potentiels de la pollution par l'ozone sur le rendement du blé en Ile-de-France: Analyse de la variabilité spatio-temporelle
2003
Castell, J.F. | Lebard, Stéphanie
Nitrate, un polluant de longue durée | The long-term of nitrate pollution in soils
1998
Mariotti, André
Contribution a l'etude des mecanismes d'action des composes fluores atmospheriques sur la fructification du fraisier (Fragaria L.)
1982
Bonte, J. | Bonte, C. | Garrec, J.P. | de Cormis, L.
Influence de pratiques réelles d’utilisations sur les émissions d’un appareil de chauffage domestique au bois
2018
Brandelet, Benoît | Rose, Christophe | Landreau, Julien | Rogaume, Caroline | Druette, Lionel | Rogaume, Yann
L’objectif de cette étude est de mettre en évidence l’influence sur les émissions et les performances d’un appareil de différents paramètres, comme l’humidité du bois, la présence d’écorce ou non, le calibre utilisé ainsi que le mode d’allumage. De nombreux résultats ressortent de cette étude. Tout d’abord, tous ces paramètres influent de manière considérable sur les émissions des appareils, notamment les émissions de particules, et ce, même à régime nominal. La présence d’écorce modifie la composition en carbone total des particules totales et implique l’émission d’un nouveau type de particule : les nano-cristaux. Une humidité élevée induit des niveaux de températures plus faibles. Ainsi, les émissions d’imbrûlés gazeux tels que les Composés Organiques Volatils vont augmenter de manière importante. Les émissions de particules, en quantité et en composition chimique, sont aussi significativement impactées par l’humidité du combustible. Deux modes d’allumage ont aussi été étudiés. Il s’avère qu’un allumage inversé permet de réduire de manière significative la globalité des émissions par rapport à un allumage classique. En effet, seules les émissions de Carbone Elémentaire sont plus importantes avec un allumage inversé. | he aim of this study is to bring to light the influence on firewood emissions and performance of several parameters like the moisture content of the fuel, the presence of bark, the caliber of the fuel but also the ignition mode. Many results emerge from this study. First of all, all these parameters significantly impact the emissions of the firewood at the nominal thermal heat output, especially the particles emissions. The presence of bark modifies the particles composition in total carbon. Moreover, the presence of bark induces the emissions of a new family of particles: the nanocrystal. A high moisture of the fuel led to a lower temperature in the combustion chamber. Then, the emissions of unburned gases, like the Volatile Organic Compounds, will considerably increase. The particles emissions and the composition of those particles were also significantly impacted by the moisture of the fuel. Two ignition modes were also studied. It appears that the top-down ignition against the traditional ignition allowed a significant decrease of all the emissions. Nevertheless, the elemental carbon emissions were more important with a top-down ignition.
Show more [+] Less [-]La contamination de l’atmosphère par les produits phytosanitaires. Protéger les végétaux des attaques de pesticides nuisibles
2016
Millet, Maurice | Bedos, Carole
absent
Show more [+] Less [-]L’azote, si cher à nos campagnes
2016
Génermont, Sophie, | Cellier, Pierre
L’azote, si cher à nos campagnes
Show more [+] Less [-]Synthèse des connaissances sur le transfert des pesticides vers l’atmosphère par volatilisation depuis les plantes
2015
Lichiheb, Nebila | Bedos, Carole | Personne, Erwan | Barriuso, Enrique
Les niveaux de concentration des pesticides dans l’atmosphère méritent une attention particulière de la part de la recherche compte tenu de leurs impacts potentiels sur la population et les écosystèmes. L’activité agricole constitue la principale source de contamination de l’atmosphère par les pesticides. Bien que la volatilisation depuis la plante soit reconnue plus intense et plus rapide que la volatilisation depuis le sol, cette voie de transfert est à ce jour la moins bien renseignée avec peu de modèles disponibles pour sa description. Le manque de connaissances est lié essentiellement à la complexité des interactions entre les processus ayant lieu à la surface de la feuille et qui sont en compétition avec la volatilisation, notamment la pénétration foliaire et la photodégradation. Cet article présente une synthèse bibliographique sur l’état des lieux des connaissances sur le processus de volatilisation des pesticides depuis un couvert végétal, de la pénétration foliaire et de la photodégradation, ainsi que les facteurs de contrôle de ces processus. Les méthodes de mesure ainsi que les modèles existants décrivant ces processus sont également présentés et analysés | The agricultural activity presents the main source of the atmospheric contamination by pesticides. The occurrence of pesticides in the atmosphere concerns the research community due to their potential impacts on population and ecosystems. The volatilization from plants is higher and faster than the volatilization from soil. However, this transfer pathway is difficult to assess with few available models. The lack of knowledge on pesticide volatilization from plants is essentially linked to the complex interactions between processes occurring at the leaf surface and competing with volatilization, such as leaf penetration and photodegradation. This article presents a bibliographic synthesis of the state of knowledge on pesticide volatilization from plants, leaf penetration, photodegradation and control factors of these processes. Measuring methods and existing models describing these processes are also presented and analyzed
Show more [+] Less [-]Wood burning impact on the ambient air quality of four French cities : Evaluation of the approach by organic tracers | Impact de la combustion du bois sur la qualité de l'air ambiant de quatre villes de France : évaluation de l'approche par traceurs organiques
2009
Pissot, Nicolas | Besombes, Jean-Luc | Leoz-Garziandia, Eva | Jaffrezo, Jean-Luc
Nowadays, promoted as a renewable energy, biomass burning becomes more and more widespread all over the world. In urban and rural areas biomass, mainly wood, is burned for heating, cooking, and waste disposal purposes. This biofuel seems to be an alternative to the rarefaction of the fossil fuel and, moreover it decreases the emission of carbon dioxide causing global warming. However, wood smoke contains various air pollutants such as fine particulate matter (PM10, PM2.5), polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs), benzene, dioxins... and in consequence has an impact on the air quality. In order to estimate the contribution of wood burning on the atmospheric organic aerosol of urban areas, the French ministry of environment (MEEDDAT), called upon this study during the winter 2006/2007, in the French cities of Grenoble, Lille, Strasbourg and Gennevilliers. For this work, different species have been looked after. The global characterization of the atmospheric aerosols has been made taking in account the PM10, the organic carbon (OC), and the elementary carbon (EC). Measurement of biomass burning tracers (levoglucosan, mannosan, and galactosan) has been undertaken, as well as methoxyphenols, which are more specific wood smoke tracers. The analyses of organic tracers by gas chromatography coupled with a mass spectrometer detector (GC/MS) show average concentrations of levoglucosan in the range of 272 ng.m-3 for Gennevilliers to 1 148 ng.m-3 for Grenoble. Mannosan and galactosan have also been measured in all cities but in lower quantities. The methoxyphenols have been detected only in rare occasions and at the limit of detection of the analytical method. PM10 measurements range from 20.6 micro g.m-3 for Gennevilliers to 35.8 micro g.m-3 for Grenoble. At the same time, OC values range from 3.61 micro g.m-3 to 11.15 micro g.m-3. Moreover high correlations have been observed between levoglucosan and OC, respectively 0.80 and 0.86 for Grenoble and Strasbourg. In addition, with respectively 10.98 ng.m-3 and 8.20 ng.m-3, Grenoble and Strasbourg present the highest particulate PAHs average concentrations of the four cities. All these results seem to indicate that Grenoble and Strasbourg are more impacted by the biomass burning than the two other cities. And more particularly in Grenoble where the organic aerosol fraction is very huge, this last phenomenon is typically characteristic of the biomass burning. To conclude, this study shows and confirms the usefulness of levoglucosan as biomass burning tracer and the difficulty to use methoxyphenols as woodsmoke tracers in ambient areas. | De nos jours, l'utilisation du bois en tant que combustible est relativement répandue en France et dans le monde entier. L'augmentation du prix du pétrole et des autres sources d'énergie épuisables va certainement engendrer dans les années à venir une contribution accrue du chauffage domestique au bois. L'utilisation de cette source d'énergie renouvelable pose cependant de nombreux problèmes sur la santé humaine. En effet, la fumée émise lors de la combustion du bois contient un certain nombre de composés polluants, tels que les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), le benzène, les fines particules (PM10, PM2,5)... Les émissions de la combustion du bois ont donc un impact sur la qualité de l'air. Cet impact peut être évalué par l'étude de traceurs organiques spécifiques de la combustion du bois identifiables au sein de la composante organique des aérosols. Ces traceurs sont des produits provenant de la combustion de la cellulose et de l'hémicellulose tels que le lévoglucosan, mannosan, galactosan et des composés issus de la thermodégradation de la lignine tels que les méthoxyphénols. Cette méthode a été appliquée à une étude commanditée à l'INERIS par le ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement Durable et de l'Aménagement du Territoire (MEEDDAT), en partenariat avec des Associations agréées de la surveillance de la qualité de l'air (AASQA). L'objectif était de caractériser l'influence de la combustion du bois sur la composante organique de l'aérosol atmosphérique en site urbain. Des prélèvements d'aérosols ont été effectués sur une période allant de novembre 2006 à avril 2007, dans quatre grandes villes de France : Grenoble, Lille, Strasbourg, et Gennevilliers. L'analyse par chromatographie gazeuse couplée à un spectromètre de masse (GC/MS) des traceurs organiques les plus stables, lévoglucosan, mannosan et galactosan, confirme l'influence de cette source sur la qualité de l'air des quatre villes. Sur la période d'étude, la concentration moyenne en lévoglucosan varie de 272 ng.m-3 pour la ville de Gennevilliers à 1 148 ng.m-3 pour la ville de Grenoble. La confrontation des résultats de ces traceurs avec les données usuelles de caractérisation de l'aérosol, telles que le carbone organique (OC) et le carbone élémentaire (EC), montre une participation du chauffage au bois plus importante dans les villes de Grenoble et de Strasbourg. Les résultats d'analyse du lévoglucosan obtenus sur la ville de Gennevilliers indiquent une très bonne corrélation avec les HAP particulaires et les PM10. Ces résultats prouvent que la combustion du bois joue un rôle important sur la composition de la matière organique de l'aérosol atmosphérique et sur la pollution particulaire en milieu urbain. En revanche, les méthoxyphénols ont été peu détectés sur les divers échantillons analysés.
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