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La notion de fertilite : elements d'analyse historique Full text
1982
Godard, Danièle | Sebillotte, Michel
Reexamen des modalites d'action de l'ochracine sur la conductance stomatique des feuilles de plantules de ble, Triticum aestivum L., « Etoile de Choisy » Full text
1982
Bethenod, Olivier | Bousquet, Jean-François | Laffray, D. | Louguet, P.
Reexamen des modalites d'action de l'ochracine sur la conductance stomatique des feuilles de plantules de ble, Triticum aestivum L., « Etoile de Choisy » Full text
1982
Bethenod, Olivier | Bousquet, Jean-François | Laffray, D. | Louguet, P.
L’ochracine, métabolite isolé de filtrats de culture de Septoria nodorum Berk., a un effet prononcé sur l’assimilation nette et la résistance stomatique de plantules de blé, Triticum aestivum L. (cv « Etoile de Choisy »). Des augmentations à la fois de la résistance stomatique et de la résistance intracellulaire étaient soupçonnées. Il a été établi depuis que l’ochracine n’a pas d’action directe sur les stomates. En reprenant l’argumentation de WONG et al. (1979), nous montrons que la fermeture stomatique serait provoquée par la baisse de photosynthèse. Ces résultats suggèrent donc une action de l’ochracine sur le cycle de Calvin lui-même ou sur les réactions qui interfèrent directement avec lui. | Ochracin, a metabolite synthesized by Septoria nodorum Berk., gives a great reduction in Co2 net assimilation and an increase in stomatal resistance in seedling leaves of wheat - Triticum aestivum L. (cv « Etoile de Choisy »). Both stomated resistance and intracellular resistance have been implicated, but it now seems that ochracin has no direct effect on stomata. Stomatal closure seems to be a consequence of reduced photosynthesis, and ochracin appears to have a direct inhibition effect on the Calvin cycle or on reactions linked to it.
Show more [+] Less [-]Reexamen des modalites d'action de l'ochracine sur la conductance stomatique des feuilles de plantules de ble, Triticum aestivum L., « Etoile de Choisy »
1982
Bethenod , Olivier (INRA , Thiverval-Grignon (France). UR 0253 Unité de bioclimatologie) | Bousquet , Jean-François (INRA , Versailles (France). UR 0256 Station de pathologie végétale) | Laffray , D. (Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne (Paris 12), Créteil(France). Laboratoire de Physiologie Végétale) | Louguet , P. (Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne (Paris 12), Créteil(France). Laboratoire de Physiologie Végétale)
L’ochracine, métabolite isolé de filtrats de culture de Septoria nodorum Berk., a un effet prononcé sur l’assimilation nette et la résistance stomatique de plantules de blé, Triticum aestivum L. (cv « Etoile de Choisy »). Des augmentations à la fois de la résistance stomatique et de la résistance intracellulaire étaient soupçonnées. Il a été établi depuis que l’ochracine n’a pas d’action directe sur les stomates. En reprenant l’argumentation de WONG et al. (1979), nous montrons que la fermeture stomatique serait provoquée par la baisse de photosynthèse. Ces résultats suggèrent donc une action de l’ochracine sur le cycle de Calvin lui-même ou sur les réactions qui interfèrent directement avec lui. | Ochracin, a metabolite synthesized by Septoria nodorum Berk., gives a great reduction in Co2 net assimilation and an increase in stomatal resistance in seedling leaves of wheat - Triticum aestivum L. (cv « Etoile de Choisy »). Both stomated resistance and intracellular resistance have been implicated, but it now seems that ochracin has no direct effect on stomata. Stomatal closure seems to be a consequence of reduced photosynthesis, and ochracin appears to have a direct inhibition effect on the Calvin cycle or on reactions linked to it.
Show more [+] Less [-]Influence d’un trempage des bulbes dans une solution d’acide 2-chloro éthylphosphonique (éthéphon) sur la floraison de l’iris bulbeux (I. hollandica) Full text
1982
Le Nard, Marcel
Influence d’un trempage des bulbes dans une solution d’acide 2-chloro éthylphosphonique (éthéphon) sur la floraison de l’iris bulbeux (I. hollandica) Full text
1982
Le Nard, Marcel
Soaking iris bulbs (cv. « Ideal and « Prof. Blaauw ») for 1 h in a solution of ethephon (4 ml per litre of a commercial product containing 120 g of 2-chloroethylphosphonic acid per litre), before a cold treatment, led to an increase in flowering percentage due to a decrease in the number of vegetative plants and to a decrease in the number of plants with blasted flower buds. | Le trempage des bulbes d’iris (cv. « Ideal » et « Prof. Blaauw »), pendant 1 h dans une solution d’éthéphon contenant 4 ml/1 d’un produit commercial à 120 g/l d’acide 2-chloro éthylphosphonique (éthéphon), entraîne une augmentation du pourcentage de floraison. Ceci résulte d’une diminution du nombre de bulbes qui restent végétatifs et d’une diminution du nombre de plantes qui présentent des fleurs avortées.
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1982
Le Nard , Marcel (INRA , Ploudaniel (France). UR 0023 Unité d'amélioration de la pomme de terre et des plantes à bulbes)
Soaking iris bulbs (cv. « Ideal and « Prof. Blaauw ») for 1 h in a solution of ethephon (4 ml per litre of a commercial product containing 120 g of 2-chloroethylphosphonic acid per litre), before a cold treatment, led to an increase in flowering percentage due to a decrease in the number of vegetative plants and to a decrease in the number of plants with blasted flower buds. | Le trempage des bulbes d’iris (cv. « Ideal » et « Prof. Blaauw »), pendant 1 h dans une solution d’éthéphon contenant 4 ml/1 d’un produit commercial à 120 g/l d’acide 2-chloro éthylphosphonique (éthéphon), entraîne une augmentation du pourcentage de floraison. Ceci résulte d’une diminution du nombre de bulbes qui restent végétatifs et d’une diminution du nombre de plantes qui présentent des fleurs avortées.
Show more [+] Less [-]Aptitudes générale et spécifique à la combinaison de lignées de betterave fourragère et sucrière (Beta vulgaris L.) Full text
1982
Le Cochec, François | Soreau, Pierre
Aptitudes générale et spécifique à la combinaison de lignées de betterave fourragère et sucrière (Beta vulgaris L.) Full text
1982
Le Cochec, François | Soreau, Pierre
Data were collected in seven tests on dry matter yield per hectare, percent of dry matter and weight of the roots of fodder beet hybrids produced by crossing monogerm male sterile inbred lines of sugar beet and male fertile inbred lines of mangels. Analysis of variance components indicated that general combining ability effects are much more important than specific combining ability effects in determining these characters. However specific combining ability effects frequently play a part in the expression of dry matter yield and weight of the roots particularly. This means that parental lines have to be tested for both general and specific combining ability. A breeding program for the improvement of F1 fodder beet hybrids will consequently be designed to utilize both the additive and the non-additive portion of genetic variance. | Des hybrides F1 obtenus par croisement de lignées fixées monogermes mâle-stériles de betterave à sucre et de lignées fixées de betterave fourragère ont été comparés dans sept essais pour les caractères suivants : rendement en matière sèche par hectare, poids des racines et teneur en matière sèche. L’analyse des composantes de la variance indique que pour ces trois caractères les variances d’aptitude générale à la combinaison des lignées parentales sont largement supérieures aux variances d’aptitude spécifique à la combinaison. Cependant les variances d’aptitude spécifique à la combinaison jouent fréquemment un rôle relativement important dans l’expression du rendement en matière sèche par hectare et du poids des racines en particulier. Un programme d’amélioration de la betterave destiné à la réalisation de tels hybrides F1 devrait donc envisager l’utilisation à la fois de la partie additive et de la partie non additive de la variance génétique.
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1982
Le Cochec , François (INRA , Le Rheu (France). UR 0118 Station d'amélioration des plantes) | Soreau , Pierre (INRA , Le Rheu (France). UR 0118 Station d'amélioration des plantes)
Data were collected in seven tests on dry matter yield per hectare, percent of dry matter and weight of the roots of fodder beet hybrids produced by crossing monogerm male sterile inbred lines of sugar beet and male fertile inbred lines of mangels. Analysis of variance components indicated that general combining ability effects are much more important than specific combining ability effects in determining these characters. However specific combining ability effects frequently play a part in the expression of dry matter yield and weight of the roots particularly. This means that parental lines have to be tested for both general and specific combining ability. A breeding program for the improvement of F1 fodder beet hybrids will consequently be designed to utilize both the additive and the non-additive portion of genetic variance. | Des hybrides F1 obtenus par croisement de lignées fixées monogermes mâle-stériles de betterave à sucre et de lignées fixées de betterave fourragère ont été comparés dans sept essais pour les caractères suivants : rendement en matière sèche par hectare, poids des racines et teneur en matière sèche. L’analyse des composantes de la variance indique que pour ces trois caractères les variances d’aptitude générale à la combinaison des lignées parentales sont largement supérieures aux variances d’aptitude spécifique à la combinaison. Cependant les variances d’aptitude spécifique à la combinaison jouent fréquemment un rôle relativement important dans l’expression du rendement en matière sèche par hectare et du poids des racines en particulier. Un programme d’amélioration de la betterave destiné à la réalisation de tels hybrides F1 devrait donc envisager l’utilisation à la fois de la partie additive et de la partie non additive de la variance génétique.
Show more [+] Less [-]Note sur le polymorphisme génétique des lactoprotéines de bovins et de yaks Mongols Full text
1982
Grosclaude, F. | Mahé, M Francois | Accolas, J.P.
Note sur le polymorphisme génétique des lactoprotéines de bovins et de yaks Mongols Full text
1982
Grosclaude, F. | Mahé, M Francois | Accolas, J.P.
Une analyse du polymorphisme génétique des six lactoprotéines principales (quatre caséines, α-lactalbumine et β-lactoglobuline) a été effectuée sur des laits individuels de 145 bovins et de 163 yaks provenant de République Populaire de Mongolie. Le polymorphisme des lactoprotéines du groupe de bovins mongols présente une ressemblance frappante avec celui des races européennes. Il est toutefois montré qu’un variant de caséine (β de faible fréquence (environ 0,03), de même mobilité électrophorétique que le variant (β-Cn A3, dérive d’une autre mutation que ce dernier ; ce variant a donc reçu une désignation spécifique (β-Cn A3Mongolie). Les résultats obtenus dans le groupe de yaks mongols recoupent les conclusions de l’étude effectuée chez des yaks népalais (GROSCLAUDE et al., 1976 a et b), notamment en ce qui concerne l’existence, chez le Yak, d’un variant de β-lactoglobuline particulier, apparemment fixé (β-Lg Dyak), et celle des variants αs1-Cn E et αs2-Cn C. | A study of the genetic polymorphism of the six main lactoproteins (four caseins, α-lactalbumin and (β-lactoglobulin) has been carried out on 145 bovine and 163 yak milks from the People’s Republic of Mongolia. The polymorphism of the lactoproteins of the Mongolian bovines shows a striking resemblance to that observed in European breeds. Nevertheless a low frequency (0.03) β casein variant with the same electrophoretic mobility as (β-Cn A3 was shown to derive from a mutation other than that determining β-Cn A3 ; this variant was thus given a specific designation (β-Cn A3Mongolie). The observations made on Mongolian yaks concord well with the conclusions of the study previously carried out on Nepalese yaks (GROSCLAUDE et al., 1976 a and b) concerning the existence, in the Yak, of the single (β-lactoglobulin type (β-Lg Dyak and the occurrence of the variants αs1-Cn E and αs2-Cn C.
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1982
Grosclaude , F. (INRA , Jouy-en-Josas (France). UR XXXX Laboratoire de Génétique Biochimique) | Mahé , M Francois (INRA , Jouy-en-Josas (France). UR XXXX Laboratoire de Génétique Biochimique) | Accolas , J.P. (INRA , Jouy-en-Josas (France). UR XXXX Laboratoire de Microbiologie Laitière et de Génie Alimentaire)
Une analyse du polymorphisme génétique des six lactoprotéines principales (quatre caséines, α-lactalbumine et β-lactoglobuline) a été effectuée sur des laits individuels de 145 bovins et de 163 yaks provenant de République Populaire de Mongolie. Le polymorphisme des lactoprotéines du groupe de bovins mongols présente une ressemblance frappante avec celui des races européennes. Il est toutefois montré qu’un variant de caséine (β de faible fréquence (environ 0,03), de même mobilité électrophorétique que le variant (β-Cn A3, dérive d’une autre mutation que ce dernier ; ce variant a donc reçu une désignation spécifique (β-Cn A3Mongolie). Les résultats obtenus dans le groupe de yaks mongols recoupent les conclusions de l’étude effectuée chez des yaks népalais (GROSCLAUDE et al., 1976 a et b), notamment en ce qui concerne l’existence, chez le Yak, d’un variant de β-lactoglobuline particulier, apparemment fixé (β-Lg Dyak), et celle des variants αs1-Cn E et αs2-Cn C. | A study of the genetic polymorphism of the six main lactoproteins (four caseins, α-lactalbumin and (β-lactoglobulin) has been carried out on 145 bovine and 163 yak milks from the People’s Republic of Mongolia. The polymorphism of the lactoproteins of the Mongolian bovines shows a striking resemblance to that observed in European breeds. Nevertheless a low frequency (0.03) β casein variant with the same electrophoretic mobility as (β-Cn A3 was shown to derive from a mutation other than that determining β-Cn A3 ; this variant was thus given a specific designation (β-Cn A3Mongolie). The observations made on Mongolian yaks concord well with the conclusions of the study previously carried out on Nepalese yaks (GROSCLAUDE et al., 1976 a and b) concerning the existence, in the Yak, of the single (β-lactoglobulin type (β-Lg Dyak and the occurrence of the variants αs1-Cn E and αs2-Cn C.
Show more [+] Less [-]Comparaison de la réceptivité de différents sols et substrats de culture aux fusarioses vasculaires Full text
1982
Alabouvette, Claude | Couteaudier, Yvonne | Louvet, J.
Comparaison de la réceptivité de différents sols et substrats de culture aux fusarioses vasculaires Full text
1982
Alabouvette, Claude | Couteaudier, Yvonne | Louvet, J.
Les principaux facteurs qui conditionnent la gravité d’une maladie d’origine tellurique sont l’infectivité du sol et la réceptivité de la culture. L’infectivité du sol se décompose en deux types de facteurs concernant l’inoculum et les effets de l’environnement-sol sur cet inoculum. La notion de réceptivité du sol à une maladie traduit tous les effets de l’environnement-sol qui modulent l’activité de l’agent pathogène. Dans des conditions expérimentales fixées et en présence d’un inoculum déterminé, la gravité de la maladie est directement fonction de la réceptivité du sol. Concrètement, dans un sol très réceptif, qualifié de sensible, une faible densité d’inoculum suffit à provoquer des dégâts importants alors que dans un sol très peu réceptif, qualifié de résistant, la maladie ne se manifeste, pas même en présence d’une forte concentration d’inoculum. Le but de cet article est d’illustrer la notion de réceptivité des sols aux fusarioses vasculaires et de proposer une méthode de comparaison de la réceptivité des différents sols et substrats de culture. Le choix du modèle lin-Fusarium oxysporum f. sp. lini permet de miniaturiser les essais et de définir avec une précision satisfaisante des niveaux de réceptivité intermédiaires entre la résistance extrême des terres de Châteaurenard et la sensibilité de la terre d’Ouroux. Cette méthode permet en outre d’analyser l’effet de différents facteurs tels que la mise en culture ou l’apport de sol résistant sur le niveau de réceptivité des substrats de culture. | The severity of a soil-borne fungal disease is determined mainly by crop receptivity and soil infectivity, the latter being attributable in turn to characteristics of the inoculum and of the soil environment. The concept of receptivity of a soil to a disease comprises all those soil factors which modify the activity of the pathogen. Thus, for a given inoculum under controlled experimental conditions, disease severity varies directly with soil receptivity. Hence, in a conducive soil, a low inoculum density is sufficient to establish a severe disease whereas in a suppressive soil the disease is not even evident at high inoculum density. In this paper the concept of soil receptivity to Fusarium wilts is illustrated, and a method is proposed for comparing the receptivity of different substrates. Using a small scale experimental system of flax-Fusarium oxysporum f.sp. lini, minor variation in soil receptivity, ranging from the extreme suppressiveness of Chateaurenard soil to the conduciveness of Ouroux soil, could be determined with satisfactory precision. Moreover, modification of the receptivity of peats through cropping or amendment with suppressive soil could be studied.
Show more [+] Less [-]Comparaison de la réceptivité de différents sols et substrats de culture aux fusarioses vasculaires
1982
Alabouvette , Claude (INRA , Dijon (France). UR 0109 Unité sur la flore pathogène dans le sol) | Couteaudier , Yvonne (INRA , Dijon (France). UR 0109 Unité sur la flore pathogène dans le sol) | Louvet , J. (INRA , Dijon (France). UR 0109 Unité sur la flore pathogène dans le sol)
Les principaux facteurs qui conditionnent la gravité d’une maladie d’origine tellurique sont l’infectivité du sol et la réceptivité de la culture. L’infectivité du sol se décompose en deux types de facteurs concernant l’inoculum et les effets de l’environnement-sol sur cet inoculum. La notion de réceptivité du sol à une maladie traduit tous les effets de l’environnement-sol qui modulent l’activité de l’agent pathogène. Dans des conditions expérimentales fixées et en présence d’un inoculum déterminé, la gravité de la maladie est directement fonction de la réceptivité du sol. Concrètement, dans un sol très réceptif, qualifié de sensible, une faible densité d’inoculum suffit à provoquer des dégâts importants alors que dans un sol très peu réceptif, qualifié de résistant, la maladie ne se manifeste, pas même en présence d’une forte concentration d’inoculum. Le but de cet article est d’illustrer la notion de réceptivité des sols aux fusarioses vasculaires et de proposer une méthode de comparaison de la réceptivité des différents sols et substrats de culture. Le choix du modèle lin-Fusarium oxysporum f. sp. lini permet de miniaturiser les essais et de définir avec une précision satisfaisante des niveaux de réceptivité intermédiaires entre la résistance extrême des terres de Châteaurenard et la sensibilité de la terre d’Ouroux. Cette méthode permet en outre d’analyser l’effet de différents facteurs tels que la mise en culture ou l’apport de sol résistant sur le niveau de réceptivité des substrats de culture. | The severity of a soil-borne fungal disease is determined mainly by crop receptivity and soil infectivity, the latter being attributable in turn to characteristics of the inoculum and of the soil environment. The concept of receptivity of a soil to a disease comprises all those soil factors which modify the activity of the pathogen. Thus, for a given inoculum under controlled experimental conditions, disease severity varies directly with soil receptivity. Hence, in a conducive soil, a low inoculum density is sufficient to establish a severe disease whereas in a suppressive soil the disease is not even evident at high inoculum density. In this paper the concept of soil receptivity to Fusarium wilts is illustrated, and a method is proposed for comparing the receptivity of different substrates. Using a small scale experimental system of flax-Fusarium oxysporum f.sp. lini, minor variation in soil receptivity, ranging from the extreme suppressiveness of Chateaurenard soil to the conduciveness of Ouroux soil, could be determined with satisfactory precision. Moreover, modification of the receptivity of peats through cropping or amendment with suppressive soil could be studied.
Show more [+] Less [-]Piégeage sexuel de la teigne du poireau, Acrolepiopsis assectella Z. (Lepid. Yponomeutidae - Acrolepiinae) à l’aide du Z11 H DAL - Résultats de la campagne de 1981 Full text
1982
Rahn, Robert
Piégeage sexuel de la teigne du poireau, Acrolepiopsis assectella Z. (Lepid. Yponomeutidae - Acrolepiinae) à l’aide du Z11 H DAL - Résultats de la campagne de 1981 Full text
1982
Rahn, Robert
The synthetic pheromone Z 11 H DAL, which attracts leek moth males, was presented in polyethylene caps, rubber caps and also black fibers. The baits were hung in the standard LN.R.A. sexual trap and compared, as far as possible with virgin females as a control. Traps were operated in France at Angers (Maine-et-Loire), Balma (Haute-Garonne), Beaune (Côte-d’Or), Rennes (Ille-et-Vilaine), Lyon (Rhone) and Saintes (Charente-Maritime) and also in Spain at Barcelona. Daily catches were collected during summer, and traps changed in place to avoid heterogeneous insect distribution in the leek crops. The results - excepting some anomalously low catches - showed that polyethylene caps can be used as the basis of a method for providing early warning against leek moth. The bad results with black fibers were probably due to an underdose of Z 11 H DAL. | Le Z 11 H DAL, analogue de synthèse de la phéromone sexuelle de la teigne du poireau (Acrolepiopsis assectella) préparé par le Laboratoire des Médiateurs chimiques de l’I.N.R.A., a été utilisé sous différents modes de présentation pour suivre l’activité de cet insecte. Les diffuseurs mis en compétition se présentaient sous forme de cupules de caoutchouc, de polyéthylène et sous forme de fibres noires. Afin d’éviter une hétérogénéité dans les captures induite par la distribution de la teigne dans les cultures, les pièges subissaient une rotation quotidienne. Quelques problèmes locaux apparaissent lorsque le Z 11 H DAL n’attire qu’un faible nombre d’insectes alors que les femelles permettent de nombreuses captures. Ce phénomène reste à expliquer. Cependant, dans l’ensemble, les résultats obtenus à l’aide des cupules de caoutchouc et de polyéthylène permettent l’établissement d’avis de traitement pour la protection des cultures. L’échec des fibres noires pourrait être dû à une charge trop faible en Z 11 H DAL car seules des plaquettes attractives à 3 fibres ont été employées.
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1982
Rahn , Robert (INRA , Le Rheu (France). UR 0119 Laboratoire de la chaire de zoologie)
The synthetic pheromone Z 11 H DAL, which attracts leek moth males, was presented in polyethylene caps, rubber caps and also black fibers. The baits were hung in the standard LN.R.A. sexual trap and compared, as far as possible with virgin females as a control. Traps were operated in France at Angers (Maine-et-Loire), Balma (Haute-Garonne), Beaune (Côte-d’Or), Rennes (Ille-et-Vilaine), Lyon (Rhone) and Saintes (Charente-Maritime) and also in Spain at Barcelona. Daily catches were collected during summer, and traps changed in place to avoid heterogeneous insect distribution in the leek crops. The results - excepting some anomalously low catches - showed that polyethylene caps can be used as the basis of a method for providing early warning against leek moth. The bad results with black fibers were probably due to an underdose of Z 11 H DAL. | Le Z 11 H DAL, analogue de synthèse de la phéromone sexuelle de la teigne du poireau (Acrolepiopsis assectella) préparé par le Laboratoire des Médiateurs chimiques de l’I.N.R.A., a été utilisé sous différents modes de présentation pour suivre l’activité de cet insecte. Les diffuseurs mis en compétition se présentaient sous forme de cupules de caoutchouc, de polyéthylène et sous forme de fibres noires. Afin d’éviter une hétérogénéité dans les captures induite par la distribution de la teigne dans les cultures, les pièges subissaient une rotation quotidienne. Quelques problèmes locaux apparaissent lorsque le Z 11 H DAL n’attire qu’un faible nombre d’insectes alors que les femelles permettent de nombreuses captures. Ce phénomène reste à expliquer. Cependant, dans l’ensemble, les résultats obtenus à l’aide des cupules de caoutchouc et de polyéthylène permettent l’établissement d’avis de traitement pour la protection des cultures. L’échec des fibres noires pourrait être dû à une charge trop faible en Z 11 H DAL car seules des plaquettes attractives à 3 fibres ont été employées.
Show more [+] Less [-]Estimation de l'action du charancon des siliques (Ceuthorrhynchus assimilis Payk.) sur la productivite du colza d'hiver I. Aspects methodologiques Full text
1982
Lerin, Jacques
Estimation de l'action du charancon des siliques (Ceuthorrhynchus assimilis Payk.) sur la productivite du colza d'hiver I. Aspects methodologiques Full text
1982
Lerin, Jacques
This paper presents some methodological problems in the determination of yield losses in rape caused by the seed-pod weevil in a cage experiment. Although rape is self-fertile, bumble-bees had to be introduced to improve pollination and reduce the variance of the number of pods per plant. Variation in the number of pods and in the number of seeds per pod tended to conceal the damage caused by the seed-pod weevil. High numbers of plants had to be assessed to show the impact of the seed-pod weevil on yield. Logarithmic transformation of the number of pods and yield per plant and square-root transformation of the number of larvae per plant were necessary to avoid links between means and variances. The distribution of larvae on the plants is described and a sampling method is proposed to determine the level of attack of a plant lot. | Cet article présente quelques problèmes méthodologiques relatifs à la détermination des pertes de rendement du colza dues au charançon des siliques dans des expériences en cage. La pollinisation doit être assurée par l’adjonction d’insectes pollinisateurs malgré le caractère autofertile du colza. Les variations du nombre de siliques et du nombre de graines par silique masquent l’action du charançon. Afin de pouvoir analyser les résultats dans de bonnes conditions d’application des tests statistiques, la transformation en logarithmes du nombre de siliques et du rendement et en racine carrée du nombre de larves est nécessaire pour stabiliser les variances. La répartition des larves sur les plantes et l’effet du développement de la plante sur l’abondance de la descendance des femelles ont été particulièrement étudiés. Une méthode d’échantillonnage est préconisée pour déterminer le niveau d’infestation de lots de plantes.
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1982
Lerin , Jacques (INRA , Lusignan (France). UR 0504 Laboratoire de zoologie)
This paper presents some methodological problems in the determination of yield losses in rape caused by the seed-pod weevil in a cage experiment. Although rape is self-fertile, bumble-bees had to be introduced to improve pollination and reduce the variance of the number of pods per plant. Variation in the number of pods and in the number of seeds per pod tended to conceal the damage caused by the seed-pod weevil. High numbers of plants had to be assessed to show the impact of the seed-pod weevil on yield. Logarithmic transformation of the number of pods and yield per plant and square-root transformation of the number of larvae per plant were necessary to avoid links between means and variances. The distribution of larvae on the plants is described and a sampling method is proposed to determine the level of attack of a plant lot. | Cet article présente quelques problèmes méthodologiques relatifs à la détermination des pertes de rendement du colza dues au charançon des siliques dans des expériences en cage. La pollinisation doit être assurée par l’adjonction d’insectes pollinisateurs malgré le caractère autofertile du colza. Les variations du nombre de siliques et du nombre de graines par silique masquent l’action du charançon. Afin de pouvoir analyser les résultats dans de bonnes conditions d’application des tests statistiques, la transformation en logarithmes du nombre de siliques et du rendement et en racine carrée du nombre de larves est nécessaire pour stabiliser les variances. La répartition des larves sur les plantes et l’effet du développement de la plante sur l’abondance de la descendance des femelles ont été particulièrement étudiés. Une méthode d’échantillonnage est préconisée pour déterminer le niveau d’infestation de lots de plantes.
Show more [+] Less [-]Quelques aspects démographiques de la population des femelles de la race bovine d’Aubrac Full text
1982
Vu Tien Khang Bourgoin, Jacqueline | Bibé, Bernard | Dalmières, A.
Quelques aspects démographiques de la population des femelles de la race bovine d’Aubrac Full text
1982
Vu Tien Khang Bourgoin, Jacqueline | Bibé, Bernard | Dalmières, A.
Une analyse démographique a été réalisée sur un fichier retraçant, de 1970 à 1979, les carrières de 3 102 vaches de la race d’Aubrac dans 49 élevages aveyronnais principalement conduits en race pure. On a établi la structure par âge des reproductrices en 1979 : l’âge moyen estimé, 7 ans et 2 mois, confirme la bonne longévité de la vache Aubrac. Les tables de réforme des cohortes de mères 1970 à 1974 montrent que les éleveurs attendent généralement deux campagnes de production pour opérer une sélection. L’examen du mouvement saisonnier des naissances indique une tendance à l’avancement en saison et au regroupement des naissances en période favorable. Le rajeunissement observé de l’âge au premier vêlage traduit le désir des éleveurs de réduire la période improductive. L’analyse de la distribution des intervalles entre vêlages successifs atteste leur volonté de ne conserver que des femelles vêlant régulièrement et de grouper les vêlages en période favorable. L’intervalle moyen entre vêlages, tous rangs confondus, calculé sur 1 287 femelles ayant un premier vêlage à 3 ans, est égal à 371 jours, ce qui confirme la bonne fécondité des femelles Aubrac. L’étude du renouvellement sur la voie mère-fille révèle l’existence d’une sélection des femelles sur ascendance maternelle chez 13 éleveurs traditionnellement sélectionneurs en race pure. | The reproductive life of 3 102 cows of the Aubrac breed (a local mountain breed of the South Massif Central) has been demographically analysed. Data studied were collected, from 1970 to 1979, from 49 herds located in Aveyron and mainly in pure breeding. Age structure of dams is tabulated. Estimated average age is found to be 7 years and 2 months : this figure confirms the good longevity of the Aubrac cow. Life tables of dams were constructed for the cohorts 1970 to 1974 : it appears that breeders usually begin culling only after two years of production. Seasonality of calving shows a tendancy toward earlier births which are more concentrated in the favourable period for beef production in this country (winter). Earlier age at first calving indicates that breeders wish to shorten length of non-productive life. Distribution of the successive calving intervals is indicative of their purpose to keep only regularly calving females and to group calving in the favourable period. Average calving interval has been computed on every rank for a sample of 1 287 females having their first calving at 3 years : the figure obtained (371 days) confirms the good fecundity of Aubrac cows. The analysis of the replacement of female stock points out, in the 13 traditionally breeders’ herds, a selection on dam’s value.
Show more [+] Less [-]Quelques aspects démographiques de la population des femelles de la race bovine d’Aubrac
1982
Vu Tien Khang , Jacqueline (INRA , CASTANET-TOLOSAN CEDEX (France). UR 0631 Station d'Amélioration Génétique des Animaux) | Bibé , Bernard (INRA , CASTANET-TOLOSAN CEDEX (France). UR 0631 Station d'Amélioration Génétique des Animaux) | Dalmières , A. (INRA , CASTANET-TOLOSAN CEDEX (France). UR 0631 Station d'Amélioration Génétique des Animaux)
Une analyse démographique a été réalisée sur un fichier retraçant, de 1970 à 1979, les carrières de 3 102 vaches de la race d’Aubrac dans 49 élevages aveyronnais principalement conduits en race pure. On a établi la structure par âge des reproductrices en 1979 : l’âge moyen estimé, 7 ans et 2 mois, confirme la bonne longévité de la vache Aubrac. Les tables de réforme des cohortes de mères 1970 à 1974 montrent que les éleveurs attendent généralement deux campagnes de production pour opérer une sélection. L’examen du mouvement saisonnier des naissances indique une tendance à l’avancement en saison et au regroupement des naissances en période favorable. Le rajeunissement observé de l’âge au premier vêlage traduit le désir des éleveurs de réduire la période improductive. L’analyse de la distribution des intervalles entre vêlages successifs atteste leur volonté de ne conserver que des femelles vêlant régulièrement et de grouper les vêlages en période favorable. L’intervalle moyen entre vêlages, tous rangs confondus, calculé sur 1 287 femelles ayant un premier vêlage à 3 ans, est égal à 371 jours, ce qui confirme la bonne fécondité des femelles Aubrac. L’étude du renouvellement sur la voie mère-fille révèle l’existence d’une sélection des femelles sur ascendance maternelle chez 13 éleveurs traditionnellement sélectionneurs en race pure. | The reproductive life of 3 102 cows of the Aubrac breed (a local mountain breed of the South Massif Central) has been demographically analysed. Data studied were collected, from 1970 to 1979, from 49 herds located in Aveyron and mainly in pure breeding. Age structure of dams is tabulated. Estimated average age is found to be 7 years and 2 months : this figure confirms the good longevity of the Aubrac cow. Life tables of dams were constructed for the cohorts 1970 to 1974 : it appears that breeders usually begin culling only after two years of production. Seasonality of calving shows a tendancy toward earlier births which are more concentrated in the favourable period for beef production in this country (winter). Earlier age at first calving indicates that breeders wish to shorten length of non-productive life. Distribution of the successive calving intervals is indicative of their purpose to keep only regularly calving females and to group calving in the favourable period. Average calving interval has been computed on every rank for a sample of 1 287 females having their first calving at 3 years : the figure obtained (371 days) confirms the good fecundity of Aubrac cows. The analysis of the replacement of female stock points out, in the 13 traditionally breeders’ herds, a selection on dam’s value.
Show more [+] Less [-]Action des basses temperatures nocturnes sur une collection varietale de tomate (Lycopersicon esculentum Mill.). I. Etude de la production de fruits et de la valeur fecondante du pollen Full text
1982
Maisonneuve, Brigitte | Philouze, J.
Action des basses temperatures nocturnes sur une collection varietale de tomate (Lycopersicon esculentum Mill.). I. Etude de la production de fruits et de la valeur fecondante du pollen Full text
1982
Maisonneuve, Brigitte | Philouze, J.
A collection of 55 tomato cultivars was observed during spring cultivation (mid-February planting) in an unheated greenhouse in 1976 and/or 1977. Night temperatures were below 10 °C for several weeks, whereas daytime temperatures were in most cases above 20 °C owing to generally satisfactory sunlight levels. An over-all study of yields and average fruit weights led to a more accurate definition of some results which were already known. The varieties reacted differently to low temperatures. Vibration of the inflorescences improved fruit production considerably and also seed content in most cultivars. Seed production was examined following pollination of a female cultivar, grown in an heated greenhouse, with pollen from each of the 45 cultivars grown in an unheated greenhouse in 1976 ; this allowed the cultivars to be ranked for fertilization ability of pollen at low temperatures. A similar study, carried out in 1977 with only 2 cultivars, confirmed that low temperatures do affect the pollen formation about 2 weeks before anthesis. Comparison of 2 F1 hybrids with their parental lines showed that there is hcterosis or dominance for yield, heterosis for seed content of the fruit and heterosis for the fertilization ability of pollen produced at low temperatures. | Une collection de 55 variétés de tomate a été observée en culture de printemps (plantation à la mi-février) en serre en verre non chauffée, en 1976 et/ou en 1977. Les températures nocturnes ont été inférieures à 10 °C pendant plusieurs semaines, les températures diurnes dépassaient le plus souvent 20 °C du fait d’un ensoleillement satisfaisant en général. L’étude globale des rendements et des poids moyens des fruits a permis de préciser quelques points déjà connus. Les différentes variétés réagissent de façon différente aux basses températures. La vibration des inflorescences améliore fortement la production de fruits et leur contenu en graines chez la plupart des variétés. L’étude de la quantité de graines produites en pollinisant les fleurs d’une variété femelle, cultivée en serre chauffée, par le pollen de chacune des 45 variétés cultivées en serre non chauffée en 1976, a permis de classer ces variétés d’après la valeur fécondante de leur pollen produit au froid. Une étude similaire, effectuée de manière plus approfondie en 1977 avec 2 variétés seulement, a permis de vérifier que le froid affecte la formation du pollen environ 2 semaines avant l’anthèse. La comparaison de 2 hybrides F1 avec leurs lignées parentales a montré qu’il y a hétérosis ou dominance au niveau du rendement, hétérosis au niveau du contenu des fruits en graines et hétérosis au niveau de la valeur fécondante du pollen formé au froid.
Show more [+] Less [-]Action des basses temperatures nocturnes sur une collection varietale de tomate (Lycopersicon esculentum Mill.). I. Etude de la production de fruits et de la valeur fecondante du pollen
1982
Maisonneuve , Brigitte (INRA , Montfavet (France). UR 0404 Station d'amélioration des plantes maraîchères) | Philouze , J. (INRA , Montfavet (France). UR 0404 Station d'amélioration des plantes maraîchères)
A collection of 55 tomato cultivars was observed during spring cultivation (mid-February planting) in an unheated greenhouse in 1976 and/or 1977. Night temperatures were below 10 °C for several weeks, whereas daytime temperatures were in most cases above 20 °C owing to generally satisfactory sunlight levels. An over-all study of yields and average fruit weights led to a more accurate definition of some results which were already known. The varieties reacted differently to low temperatures. Vibration of the inflorescences improved fruit production considerably and also seed content in most cultivars. Seed production was examined following pollination of a female cultivar, grown in an heated greenhouse, with pollen from each of the 45 cultivars grown in an unheated greenhouse in 1976 ; this allowed the cultivars to be ranked for fertilization ability of pollen at low temperatures. A similar study, carried out in 1977 with only 2 cultivars, confirmed that low temperatures do affect the pollen formation about 2 weeks before anthesis. Comparison of 2 F1 hybrids with their parental lines showed that there is hcterosis or dominance for yield, heterosis for seed content of the fruit and heterosis for the fertilization ability of pollen produced at low temperatures. | Une collection de 55 variétés de tomate a été observée en culture de printemps (plantation à la mi-février) en serre en verre non chauffée, en 1976 et/ou en 1977. Les températures nocturnes ont été inférieures à 10 °C pendant plusieurs semaines, les températures diurnes dépassaient le plus souvent 20 °C du fait d’un ensoleillement satisfaisant en général. L’étude globale des rendements et des poids moyens des fruits a permis de préciser quelques points déjà connus. Les différentes variétés réagissent de façon différente aux basses températures. La vibration des inflorescences améliore fortement la production de fruits et leur contenu en graines chez la plupart des variétés. L’étude de la quantité de graines produites en pollinisant les fleurs d’une variété femelle, cultivée en serre chauffée, par le pollen de chacune des 45 variétés cultivées en serre non chauffée en 1976, a permis de classer ces variétés d’après la valeur fécondante de leur pollen produit au froid. Une étude similaire, effectuée de manière plus approfondie en 1977 avec 2 variétés seulement, a permis de vérifier que le froid affecte la formation du pollen environ 2 semaines avant l’anthèse. La comparaison de 2 hybrides F1 avec leurs lignées parentales a montré qu’il y a hétérosis ou dominance au niveau du rendement, hétérosis au niveau du contenu des fruits en graines et hétérosis au niveau de la valeur fécondante du pollen formé au froid.
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