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Relations entre la constitution granulométrique et minéralogique et les caractéristiques de l'espace poral des sols Full text
1984
Fiès, J.C. | Stengel, P.
Influence de la nutrition du hetre (Fagus sylvatica L.) sur la sensibilite au chancre provoque par Nectria ditissima Tul. Full text
1984
Perrin, Robert | Garbaye, Jean
Influence de la nutrition du hetre (Fagus sylvatica L.) sur la sensibilite au chancre provoque par Nectria ditissima Tul. Full text
1984
Perrin, Robert | Garbaye, Jean
Beech seedlings have been raised on fertilized light peat with variations in N, P, K, Ca, Mg and S supplies. Eight to 9 months old beeches have been wound inoculated with Nectria ditissima, cause of beech canker. Time evolution of the necrosis has been followedby a monthly assessment of it’s vertical extent. The necrose spread rapidly between November and March (invading period) then decreases as soon as healing over occurs (active resistance period). Variations in nutritive supplies induce a high variability in seedlings size, but no relation can be found between necrose’s extent and seedling diameter. N or P excess or deficiency increase bark sensibility, whereas K variations do not affect it. The relationship between the necrose severity (expressed by it’s vertical extent) and the mineral contents of the bark reveals the importance of calcium and magnesium. Bark sensibility is more especially higher as it’s calcium and magnesium contents are lower. The nutrition has a great influence on the canker sensibility of beech. Moreover a well balanced fertilization reduces the bark sensibility. Variation in disease severity with stand conditions in forest can receive a good explanation because of the nutrition influence, specially in calcareous beech stands. | Des plants de hêtres sont élevés sur tourbe fertilisée, dans laquelle on fait varier la disposition en éléments N, P, K, Ca, Mg, S. Après 8 à 9 mois d’élevage, les hêtres sont inoculés artificiellement avec Nectria ditissima, agent du chancre du hêtre. Une mesure mensuelle du développement longitudinal de la nécrose permet de suivre sa progression avec le temps. La nécrose s’étend rapidement de novembre à mars (phase d’invasion) puis régresse lorsque le phénomène de cicatrisation intervient (phase de résistance active). La variation du régime nutritif induit une forte variabilité de la taille des plants, mais l’extension de la nécrose est indépendante du diamètre du plant. Un excès ou une carence en azote ou en phosphore accroissent nettement la sensibilité de l’écorce, tandis que les variations de l’alimentation potassique restent sans effet. La relation entre la gravité de la nécrose (appréciée par son développement longitudinal) et la teneur des différents éléments dans l’écorce met en évidence l’importance du calcium et du magnésium. La sensibilité de l’écorce est d’autant plus grande que la teneur en calcium ou en magnésium est plus faible. Cette étude révèle que la nutrition exerce une grande influence sur la sensibilité du hêtre au chancre et montre l’avantage tiré d’une nutrition équilibrée sur la sensibilité du hêtre à un agent d’altération de son écorce. Enfin l’influence de la nutrition apporte une explication aux variations de l’état sanitaire des régénérations naturelles selon les conditions stationnelles, en particulier en hêtraie calcicole.
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1984
Perrin , Robert (INRA , Dijon (France). UR 0109 Unité sur la flore pathogène dans le sol) | Garbaye , Jean (INRA , Champenoux (France). UR 1138 Unité biogéochimie des écosystèmes forestiers (BEF))
Beech seedlings have been raised on fertilized light peat with variations in N, P, K, Ca, Mg and S supplies. Eight to 9 months old beeches have been wound inoculated with Nectria ditissima, cause of beech canker. Time evolution of the necrosis has been followedby a monthly assessment of it’s vertical extent. The necrose spread rapidly between November and March (invading period) then decreases as soon as healing over occurs (active resistance period). Variations in nutritive supplies induce a high variability in seedlings size, but no relation can be found between necrose’s extent and seedling diameter. N or P excess or deficiency increase bark sensibility, whereas K variations do not affect it. The relationship between the necrose severity (expressed by it’s vertical extent) and the mineral contents of the bark reveals the importance of calcium and magnesium. Bark sensibility is more especially higher as it’s calcium and magnesium contents are lower. The nutrition has a great influence on the canker sensibility of beech. Moreover a well balanced fertilization reduces the bark sensibility. Variation in disease severity with stand conditions in forest can receive a good explanation because of the nutrition influence, specially in calcareous beech stands. | Des plants de hêtres sont élevés sur tourbe fertilisée, dans laquelle on fait varier la disposition en éléments N, P, K, Ca, Mg, S. Après 8 à 9 mois d’élevage, les hêtres sont inoculés artificiellement avec Nectria ditissima, agent du chancre du hêtre. Une mesure mensuelle du développement longitudinal de la nécrose permet de suivre sa progression avec le temps. La nécrose s’étend rapidement de novembre à mars (phase d’invasion) puis régresse lorsque le phénomène de cicatrisation intervient (phase de résistance active). La variation du régime nutritif induit une forte variabilité de la taille des plants, mais l’extension de la nécrose est indépendante du diamètre du plant. Un excès ou une carence en azote ou en phosphore accroissent nettement la sensibilité de l’écorce, tandis que les variations de l’alimentation potassique restent sans effet. La relation entre la gravité de la nécrose (appréciée par son développement longitudinal) et la teneur des différents éléments dans l’écorce met en évidence l’importance du calcium et du magnésium. La sensibilité de l’écorce est d’autant plus grande que la teneur en calcium ou en magnésium est plus faible. Cette étude révèle que la nutrition exerce une grande influence sur la sensibilité du hêtre au chancre et montre l’avantage tiré d’une nutrition équilibrée sur la sensibilité du hêtre à un agent d’altération de son écorce. Enfin l’influence de la nutrition apporte une explication aux variations de l’état sanitaire des régénérations naturelles selon les conditions stationnelles, en particulier en hêtraie calcicole.
Show more [+] Less [-]Dosage immunoenzymatique (ELISA) du virus de la mosaique du concombre II-Multiplication comparee du virus dans des melons sensibles et resistants Full text
1984
Devergne, J.C. | Cardin, Loic | Pitrat, Michel | Lecoq, Herve
Dosage immunoenzymatique (ELISA) du virus de la mosaique du concombre II-Multiplication comparee du virus dans des melons sensibles et resistants Full text
1984
Devergne, J.C. | Cardin, Loic | Pitrat, Michel | Lecoq, Herve
A quantitative enzyme immunoassay has been used to study the multiplication of cucumber mosaic virus (CMV) in muskmelon (Cucumis melo L.). The ELISA test (double antibody sandwich method) was performed with plant extracts obtained by grinding infected tissues in a 0.5 M citrate medium, clarified with V/V chloroform and stabilized with 0,4% formaldehyde. These extracts (aqueous phases φ), when diluted in a 0.05 M citrate medium containing 2% PV P and 0,2 % BSA, had the same behaviour as a standard preparation of stabilized purified CMV used as a reference (regression lines parallel within the concentration range 30-250 ng/ml). Therefore, it was possible to estimate, by comparison, the amount of viral antigens in these (φ) extracts, and to follow accurately the viral multiplication in infected plants. On account of the dilution used for the (φ) extracts, these estimations were only possible if the virus concentration was above 0.5 μg/ml. After experimental infection of muskmelon by CMV, the antigen concentration in (φ) extracts from inoculated cotyledons reached a maximum value 6 to 7 days after inoculation. But the concentration was very different according to the type of muskmelon used. So, the concentration of CMV-14 antigen (a CMV strain which belongs to the « SONG » pathotype) was 50 times lower in « SC » than in « Vedrantais muskmelon cultivar. This behaviour was in agreement with the evolution of systemic infection in these plants. While CMV-14 strain multiplied normally in the « Vedrantais » type which is susceptible, it remained, in contrast, at a much lower level in « SC » type which presents a partial resistance to the virus multiplication. An estimation of the viral antigen content of (φ) extracts from cotyledons as early as 7 days after their inoculation allows one to recognize the plants showing such a « resistance ». The ELISA test can be used for systematic varietal screening at a large scale. Already, numerous applications of the method appear in the search for different kinds of « resistance » or « tolerance » against CMV, as well in muskmelon as in other vegetable crops. | Le dosage immunoenzymatique du virus de la mosaïque du concombre (CMV) dans le melon (Cucumis melo L.) est utilisé pour étudier comparativement la multiplication du virus dans une variété sensible (« Vedrantais ») et une variété résistante (« SC »). Le test ELISA (méthode « sandwich ») est réalisé sur des extraits obtenus par broyage des tissus infectés, dans une solution de citrate trisodique 0,5 M, clarifiés à volume égal par le chloroforme et stabilisés avec 0,4 p. 100 de formaldéhyde. Ces extraits (φ), dilués dans une solution de citrate trisodique 0,05 M (contenant 2 p. 100 de PVP et 0,2 p. 100 de BSA) ont un comportement identique à celui d’une préparation standard de CMV purifié stabilisé, utilisée comme référence (parallélisme des droites de régression dans une gamme de concentrations 30-250 ng/ml). Par comparaison, on peut donc estimer la quantité d’antigènes viraux présents dans les extraits (φ) et suivre ainsi avec précision, la multiplication du virus dans la plante. Compte tenu de la dilution à opérer sur les extraits (φ), ces estimations ne sont toutefois possibles qu’au delà d’une concentration minimum d’environ 0,5 μg/ml. Après infection expérimentale de melons par le CMV, la teneur en antigène des extraits (φ) de cotylédons, atteint une valeur maximum 6 à 7 jours après l’inoculation. Cette teneur peut être différente selon le type de melon étudié. Ainsi, pour la souche CMV-14 qui appartient au pathotype « SONG », elle est 50 fois moins élevée dans le melon « SC » que dans le melon « Vedrantais ». Ce comportement préfigure l’évolution ultérieure de l’infection systémique. Alors que la souche CMV-14 se multiplie « normalement » dans le type « Vedrantais » sensible, elle se stabilise à un niveau beaucoup plus bas (60 fois moins d’antigène dans les extraits (φ) de feuilles récoltées à J + 18) dans le type « SC » qui présente une résistance à la multiplication du virus. Le dosage précoce de la teneur en antigènes viraux des extraits (φ) de cotylédons, 7 jours après leur inoculation, permet donc de trier les plantes qui possèdent cette résistance. Dans ces conditions, la méthode ELISA convient parfaitement pour procéder à un « screening » végétal à grande échelle. On peut dès maintenant en prévoir de nombreuses applications, dans la recherche de différentes formes de « résistance » ou de « tolérance » au CMV, tant chez le melon que chez d’autres espèces maraîchères.
Show more [+] Less [-]Dosage immunoenzymatique (ELISA) du virus de la mosaique du concombre II-Multiplication comparee du virus dans des melons sensibles et resistants
1984
Devergne , J.C. (INRA , Antibes (France). UR 0128 Station de botanique et de pathologie végétale) | Cardin , Loic (INRA , Antibes (France). UR 0128 Station de botanique et de pathologie végétale) | Pitrat , Michel (INRA , Montfavet (France). UR 0404 Station d'amélioration des plantes maraîchères) | Lecoq , Herve (INRA , Montfavet (France). UR 0407 Station de pathologie végétale)
A quantitative enzyme immunoassay has been used to study the multiplication of cucumber mosaic virus (CMV) in muskmelon (Cucumis melo L.). The ELISA test (double antibody sandwich method) was performed with plant extracts obtained by grinding infected tissues in a 0.5 M citrate medium, clarified with V/V chloroform and stabilized with 0,4% formaldehyde. These extracts (aqueous phases φ), when diluted in a 0.05 M citrate medium containing 2% PV P and 0,2 % BSA, had the same behaviour as a standard preparation of stabilized purified CMV used as a reference (regression lines parallel within the concentration range 30-250 ng/ml). Therefore, it was possible to estimate, by comparison, the amount of viral antigens in these (φ) extracts, and to follow accurately the viral multiplication in infected plants. On account of the dilution used for the (φ) extracts, these estimations were only possible if the virus concentration was above 0.5 μg/ml. After experimental infection of muskmelon by CMV, the antigen concentration in (φ) extracts from inoculated cotyledons reached a maximum value 6 to 7 days after inoculation. But the concentration was very different according to the type of muskmelon used. So, the concentration of CMV-14 antigen (a CMV strain which belongs to the « SONG » pathotype) was 50 times lower in « SC » than in « Vedrantais muskmelon cultivar. This behaviour was in agreement with the evolution of systemic infection in these plants. While CMV-14 strain multiplied normally in the « Vedrantais » type which is susceptible, it remained, in contrast, at a much lower level in « SC » type which presents a partial resistance to the virus multiplication. An estimation of the viral antigen content of (φ) extracts from cotyledons as early as 7 days after their inoculation allows one to recognize the plants showing such a « resistance ». The ELISA test can be used for systematic varietal screening at a large scale. Already, numerous applications of the method appear in the search for different kinds of « resistance » or « tolerance » against CMV, as well in muskmelon as in other vegetable crops. | Le dosage immunoenzymatique du virus de la mosaïque du concombre (CMV) dans le melon (Cucumis melo L.) est utilisé pour étudier comparativement la multiplication du virus dans une variété sensible (« Vedrantais ») et une variété résistante (« SC »). Le test ELISA (méthode « sandwich ») est réalisé sur des extraits obtenus par broyage des tissus infectés, dans une solution de citrate trisodique 0,5 M, clarifiés à volume égal par le chloroforme et stabilisés avec 0,4 p. 100 de formaldéhyde. Ces extraits (φ), dilués dans une solution de citrate trisodique 0,05 M (contenant 2 p. 100 de PVP et 0,2 p. 100 de BSA) ont un comportement identique à celui d’une préparation standard de CMV purifié stabilisé, utilisée comme référence (parallélisme des droites de régression dans une gamme de concentrations 30-250 ng/ml). Par comparaison, on peut donc estimer la quantité d’antigènes viraux présents dans les extraits (φ) et suivre ainsi avec précision, la multiplication du virus dans la plante. Compte tenu de la dilution à opérer sur les extraits (φ), ces estimations ne sont toutefois possibles qu’au delà d’une concentration minimum d’environ 0,5 μg/ml. Après infection expérimentale de melons par le CMV, la teneur en antigène des extraits (φ) de cotylédons, atteint une valeur maximum 6 à 7 jours après l’inoculation. Cette teneur peut être différente selon le type de melon étudié. Ainsi, pour la souche CMV-14 qui appartient au pathotype « SONG », elle est 50 fois moins élevée dans le melon « SC » que dans le melon « Vedrantais ». Ce comportement préfigure l’évolution ultérieure de l’infection systémique. Alors que la souche CMV-14 se multiplie « normalement » dans le type « Vedrantais » sensible, elle se stabilise à un niveau beaucoup plus bas (60 fois moins d’antigène dans les extraits (φ) de feuilles récoltées à J + 18) dans le type « SC » qui présente une résistance à la multiplication du virus. Le dosage précoce de la teneur en antigènes viraux des extraits (φ) de cotylédons, 7 jours après leur inoculation, permet donc de trier les plantes qui possèdent cette résistance. Dans ces conditions, la méthode ELISA convient parfaitement pour procéder à un « screening » végétal à grande échelle. On peut dès maintenant en prévoir de nombreuses applications, dans la recherche de différentes formes de « résistance » ou de « tolérance » au CMV, tant chez le melon que chez d’autres espèces maraîchères.
Show more [+] Less [-]Etude sur la l'heridite du caractere <<isomature>> chez le tournesol Full text
1984
Leclercq, Pascal
Etude sur la l'heridite du caractere <<isomature>> chez le tournesol Full text
1984
Leclercq, Pascal
The character « isomature » was found to be determined essentially by one dominant gene, generally with incomplete penetrance (in a genetically fixed line, only some plants exhibited the character). Other dominant genes seemed to act complementarily for its expression. Penetrance of the character varied from year to year. It would be possible to use isomature F1 hybrids if one of the parental lines were isomature, but the farmer will rarely observe 100 % of isomature plants in his field. | Le caractère isomature est déterminé essentiellement par un gène dominant, avec pénétrance généralement incomplète : dans une lignée fixée génétiquement, toutes les plantes ne manifestent pas le caractère. Il semble que d’autres gènes dominants agissent d’une façon complémentaire pour son expression. La pénétrance du caractère varie selon les années.
Show more [+] Less [-]Etude sur la l'heridite du caractere <<isomature>> chez le tournesol
1984
Leclercq , Pascal (INRA , Clermont-Ferrand (France). UR 0362 Station d'amélioration des plantes)
The character « isomature » was found to be determined essentially by one dominant gene, generally with incomplete penetrance (in a genetically fixed line, only some plants exhibited the character). Other dominant genes seemed to act complementarily for its expression. Penetrance of the character varied from year to year. It would be possible to use isomature F1 hybrids if one of the parental lines were isomature, but the farmer will rarely observe 100 % of isomature plants in his field. | Le caractère isomature est déterminé essentiellement par un gène dominant, avec pénétrance généralement incomplète : dans une lignée fixée génétiquement, toutes les plantes ne manifestent pas le caractère. Il semble que d’autres gènes dominants agissent d’une façon complémentaire pour son expression. La pénétrance du caractère varie selon les années.
Show more [+] Less [-]Modele analytique de chauffage du sol par tuyaux enterres. Verification experimentale et complement theorique Full text
1984
Boulard, Thierry
Modele analytique de chauffage du sol par tuyaux enterres. Verification experimentale et complement theorique Full text
1984
Boulard, Thierry
Le modèle analytique de KENDRICK & HAVENS (1973) développé pour la prédiction des températures dans les systèmes de chauffage du sol par tuyaux enterrés a été testé sur deux dispositifs expérimentaux : l’un installé sous abri et l’autre en plein champ. Il est apparu que la non-prise en compte par ce modèle des conditions de température imposées en profondeur (ici par une nappe phréatique) entraînait des écarts importants entre les températures mesurées et calculées. Le développement d’un complément théorique de ce modèle autorisant la prise en compte de températures imposées en profondeur permet d’atteindre une bonne approximation dans le calcul des températures du sol sur tout le profil et permet l’analyse du bilan thermique dans le sol : la puissance totale dissipée par les tuyaux, le flux de chaleur vers la surface du sol ainsi que le flux de chaleur vers la nappe phréatique peuvent être calculés ou déduits. | The analytical model developed by KENDRICK & HAVENS (1973) for the prediction of heat losses and soil temperatures of a sub-surface water pipe soil warming system was tested on two different soil warming plots : under tunnel and in the field. Soil temperatures were correctly predicted near the soil surface but there were marked differences between predicted and observed temperatures at greater depth. If the ground water temperature was taken into account in the model as an imposed boundary temperature, a better prediction of soil temperature profiles was obtained. A further analysis was made of heat losses from the buried pipes to the soil surface and to the ground water.
Show more [+] Less [-]Modele analytique de chauffage du sol par tuyaux enterres. Verification experimentale et complement theorique
1984
Boulard , Thierry (INRA , Avignon (France). UR 0409 Station de bioclimatologie)
Le modèle analytique de KENDRICK & HAVENS (1973) développé pour la prédiction des températures dans les systèmes de chauffage du sol par tuyaux enterrés a été testé sur deux dispositifs expérimentaux : l’un installé sous abri et l’autre en plein champ. Il est apparu que la non-prise en compte par ce modèle des conditions de température imposées en profondeur (ici par une nappe phréatique) entraînait des écarts importants entre les températures mesurées et calculées. Le développement d’un complément théorique de ce modèle autorisant la prise en compte de températures imposées en profondeur permet d’atteindre une bonne approximation dans le calcul des températures du sol sur tout le profil et permet l’analyse du bilan thermique dans le sol : la puissance totale dissipée par les tuyaux, le flux de chaleur vers la surface du sol ainsi que le flux de chaleur vers la nappe phréatique peuvent être calculés ou déduits. | The analytical model developed by KENDRICK & HAVENS (1973) for the prediction of heat losses and soil temperatures of a sub-surface water pipe soil warming system was tested on two different soil warming plots : under tunnel and in the field. Soil temperatures were correctly predicted near the soil surface but there were marked differences between predicted and observed temperatures at greater depth. If the ground water temperature was taken into account in the model as an imposed boundary temperature, a better prediction of soil temperature profiles was obtained. A further analysis was made of heat losses from the buried pipes to the soil surface and to the ground water.
Show more [+] Less [-]Indice de productivité des taillis-sous-futaie de chêne dans la région Centre Full text
1984
Le Goff, Noël
Indice de productivité des taillis-sous-futaie de chêne dans la région Centre Full text
1984
Le Goff, Noël
Afin de connaître et de mesurer l’aptitude pour la croissance de la production du chêne de stations portant actuellement des taillis-sous-futaie à base de chênes et souvent pauvres en réserves dans la région Centre, 17 couples << futaie/taillis-sous-futaie >> de chêne ont été repérés sur le terrain ; chaque couple se compose de 2 placettes, l’une établie en taillis-sous-futaie, l’autre en futaie, caractérisées par des conditions de station semblables. Le peuplement de futaie de chaque couple a fourni un indice de productivité de référence, défini comme le rapport de la hauteur dominante du peuplement à celle au même âge donnée par la table de production à classe de fertilité unique établie pour le chêne rouvre en secteur ligérien- Les indices de productivité ainsi évalués permettent de situer les 17 couples dans 3 classes de productivité (hauteur dominante à 160 ans du peuplement de futaie comprise entre 28 et 36 mètres). La recherche d’un indice de productivité pour les taillis-sous-futaie a été basée sur l’étude de la croissance en circonférence des arbres de réserve, s’appuyant sur des résultats antérieurs démontrant la bonne liaison existant avec la fertilité des stations. Il a de plus été tenté de rendre compte de l’effet de conditions de concurrence variées pour les réserves, dépendant en partie des traitements sylvicoles suivis, et qui peuvent être détectées et synthétisées par la mesure du rapport de la hauteur du houppier à la hauteur totale actuelle des arbres. Enfin, il a été tenté, par l’échantillonnage réalisé (arbres pris parmi les plus vigoureux dans chaque classe d’âge des taillis-sous-futaie), et lors de la définition de l’indice de productivité, de prendre en compte la variabilité individuelle des arbres, différente d’un peuplement à l’autre, ne serait-ce qu’en regard des grandes variations du nombre d’arbres de réserve à l’hectare.L’indice de productivité défini pour les taillis-sous-futaie de chêne a été identifié à une mesure particulière de la distribution des valeurs du rapport de la circonférence observée des arbres de réserve échantillonnés à la circonférence estimée (à partir de la relation établie entre la circonférence à 1,30 m, l’âge et la hauteur relative du houppier des arbres). L’indice de productivité des taillis-sous-futaie de chêne se trouve lié par une relation linéaire simple à l’indice de productivité défini pour les futaies. Il est rendu possible ainsi de comparer la productivité relative de stations portant des peuplements traités en taillis-sous-futaie et en futaie, donc d’adopter un même classement vis-a-vis de l’aptitude des stations à la croissance du chêne. Il est possible aussi de prévoir, grâce à la table de production pour les futaies de chêne de cette région, le niveau de production en volume qu’aurait un peuplement de taillis-sous-tutaie une fois converti en futaie, après détermination de sa productivité relative. | The aim of this study is to know and measure capability for growth and production of oak of sites actually covered with stands treated as oak coppice-with-standards and often poor with standards in the Center region of France. Seventeen pairs of plots a high forest/coppice-with-standards have been established : each pair of plots includes one plot in an oak coppice-with-standards and the other one in an oak high forest, both in the same site conditions.The high forest plot of each « pair » gives a reference index of productivity for oak : it is defined as the ratio of top height of the stand to top height at the same age given by the single fertility class yield table for oak high forests of the Center region. Three productivity classes have been determined tor the seventeen pairs of plots, top height at age 160 varying from 28 to 36 meters. The research of and index of productivity for oak coppice-with-standards has been based on the study of girth development of the standards (previous results had shown a good relationship with fertility of sites). Other factors of girth growth have been considered : past competitive conditions for the standards synthesizecl by the actually measured ratio of crown, height to total height of trees, individual variabilily of trees (in particular by sampling « picked trees » in the population of the standards of each coppice-with-standards). A relationship between breast height girth of the standards, age and relative crown height of trees has been established. The productivity index for oak coppice-with-standards has then been identified as a particular measure of the distribution of values of the ratio of observed to estimated girth (former relation) of sampled standards in each coppice-withstandards plot. A simple linear relationship has been established between the productivity index for oak coppice-with-standards and the productivity index for oak high forests. It allows comparaison of relative productivity of sites with the one or the other type of oak stand. It allows also to predict volume productivity of known relative productivity oak coppicewith-standards which would be converted to high forests stands, with the help of the yield table for oak high forests of the Center region. Practical application of the results of this study, that is estimation of the index of productivity of oak coppice-with-standards, received particular attention : people interested will find in Appendix, with a definite example, all details on the way to use basic relations and figures necessary for this estimation.
Show more [+] Less [-]Indice de productivité des taillis-sous-futaie de chêne dans la région Centre
1984
Le Goff , Noël (INRA , Seichamps (France). UR 0345 Station de sylviculture et de production)
Afin de connaître et de mesurer l’aptitude pour la croissance de la production du chêne de stations portant actuellement des taillis-sous-futaie à base de chênes et souvent pauvres en réserves dans la région Centre, 17 couples << futaie/taillis-sous-futaie >> de chêne ont été repérés sur le terrain ; chaque couple se compose de 2 placettes, l’une établie en taillis-sous-futaie, l’autre en futaie, caractérisées par des conditions de station semblables. Le peuplement de futaie de chaque couple a fourni un indice de productivité de référence, défini comme le rapport de la hauteur dominante du peuplement à celle au même âge donnée par la table de production à classe de fertilité unique établie pour le chêne rouvre en secteur ligérien- Les indices de productivité ainsi évalués permettent de situer les 17 couples dans 3 classes de productivité (hauteur dominante à 160 ans du peuplement de futaie comprise entre 28 et 36 mètres). La recherche d’un indice de productivité pour les taillis-sous-futaie a été basée sur l’étude de la croissance en circonférence des arbres de réserve, s’appuyant sur des résultats antérieurs démontrant la bonne liaison existant avec la fertilité des stations. Il a de plus été tenté de rendre compte de l’effet de conditions de concurrence variées pour les réserves, dépendant en partie des traitements sylvicoles suivis, et qui peuvent être détectées et synthétisées par la mesure du rapport de la hauteur du houppier à la hauteur totale actuelle des arbres. Enfin, il a été tenté, par l’échantillonnage réalisé (arbres pris parmi les plus vigoureux dans chaque classe d’âge des taillis-sous-futaie), et lors de la définition de l’indice de productivité, de prendre en compte la variabilité individuelle des arbres, différente d’un peuplement à l’autre, ne serait-ce qu’en regard des grandes variations du nombre d’arbres de réserve à l’hectare.L’indice de productivité défini pour les taillis-sous-futaie de chêne a été identifié à une mesure particulière de la distribution des valeurs du rapport de la circonférence observée des arbres de réserve échantillonnés à la circonférence estimée (à partir de la relation établie entre la circonférence à 1,30 m, l’âge et la hauteur relative du houppier des arbres). L’indice de productivité des taillis-sous-futaie de chêne se trouve lié par une relation linéaire simple à l’indice de productivité défini pour les futaies. Il est rendu possible ainsi de comparer la productivité relative de stations portant des peuplements traités en taillis-sous-futaie et en futaie, donc d’adopter un même classement vis-a-vis de l’aptitude des stations à la croissance du chêne. Il est possible aussi de prévoir, grâce à la table de production pour les futaies de chêne de cette région, le niveau de production en volume qu’aurait un peuplement de taillis-sous-tutaie une fois converti en futaie, après détermination de sa productivité relative. | The aim of this study is to know and measure capability for growth and production of oak of sites actually covered with stands treated as oak coppice-with-standards and often poor with standards in the Center region of France. Seventeen pairs of plots a high forest/coppice-with-standards have been established : each pair of plots includes one plot in an oak coppice-with-standards and the other one in an oak high forest, both in the same site conditions.The high forest plot of each « pair » gives a reference index of productivity for oak : it is defined as the ratio of top height of the stand to top height at the same age given by the single fertility class yield table for oak high forests of the Center region. Three productivity classes have been determined tor the seventeen pairs of plots, top height at age 160 varying from 28 to 36 meters. The research of and index of productivity for oak coppice-with-standards has been based on the study of girth development of the standards (previous results had shown a good relationship with fertility of sites). Other factors of girth growth have been considered : past competitive conditions for the standards synthesizecl by the actually measured ratio of crown, height to total height of trees, individual variabilily of trees (in particular by sampling « picked trees » in the population of the standards of each coppice-with-standards). A relationship between breast height girth of the standards, age and relative crown height of trees has been established. The productivity index for oak coppice-with-standards has then been identified as a particular measure of the distribution of values of the ratio of observed to estimated girth (former relation) of sampled standards in each coppice-withstandards plot. A simple linear relationship has been established between the productivity index for oak coppice-with-standards and the productivity index for oak high forests. It allows comparaison of relative productivity of sites with the one or the other type of oak stand. It allows also to predict volume productivity of known relative productivity oak coppicewith-standards which would be converted to high forests stands, with the help of the yield table for oak high forests of the Center region. Practical application of the results of this study, that is estimation of the index of productivity of oak coppice-with-standards, received particular attention : people interested will find in Appendix, with a definite example, all details on the way to use basic relations and figures necessary for this estimation.
Show more [+] Less [-]Les acétoxy-1 tétradécène-11 Z et 11 E (Z 11 TDA et E 11 TDA), constituants de la phéromone sexuelle de Argyrotaenia pulchellana (Haw.) (Lepid., Tortricinae, Archipini) Full text
1984
Frerot, Brigitte | Renou, Michel | Descoins, C. | Gallois, M.
Les acétoxy-1 tétradécène-11 Z et 11 E (Z 11 TDA et E 11 TDA), constituants de la phéromone sexuelle de Argyrotaenia pulchellana (Haw.) (Lepid., Tortricinae, Archipini) Full text
1984
Frerot, Brigitte | Renou, Michel | Descoins, C. | Gallois, M.
Des pièges sexuels appâtés avec des formulations binaires d’acétoxy-1 tétradécènes - 11 Z et - 11 E (Z 11-TDA et E 11-TDA) se révèlent attractifs pour les mâles de Argyrotaenia pulchellana (Haw.) lorsque ces deux composés sont utilisés dans les proportions de 90 p. 100 et de 10 p. 100 respectivement. Le Z 11-TDA et le E 11-TDA sont perçus de préférence aux autres acétates mono-éthyléniques en C 14 par les antennes des mâles et sont présents dans la glande à phéromone des femelles, mais dans des proportions légèrement différentes (80 p. 100, 20 p. 100). Des capsules, chargées à 1 000 pg d’un mélange 90/10 de Z 11/E 11 TDA ont permis de suivre depuis 2 ans les vols de cette tordeuse en vergers de pommiers et sont actuellement commercialisées pour améliorer la surveillance de cet insecte. | Sex traps baited with binary formulations of Z-11 and E-11 tetradecenyl acetates (Z 11-TDA and E 11-TDA) were attractive for Argyrotaenia pulchellana (Haw.) males, when a 90/10 ratio of these two chemicals was used (fig. 4). Z 11-TDA and E 11-TDA were perceived preferentially to other C 14 monoethylenic acetates by the male antenna (fig. 3) and were present in the female sex pheromone gland, but in a slightly different ratio (80 %, 20 %) (fig. 1, 2). Caps baited with 1 000 ug of a 90/10 blend of Z 11-TDA/E 11-TDA have been used for two years to follow flights of this tortricid in apple orchards and are sold to improve the monitoring of this insect.
Show more [+] Less [-]Les acétoxy-1 tétradécène-11 Z et 11 E (Z 11 TDA et E 11 TDA), constituants de la phéromone sexuelle de Argyrotaenia pulchellana (Haw.) (Lepid., Tortricinae, Archipini)
1984
Frerot , Brigitte (INRA , Saint-Rémy-lès-Chevreuse (France). UR 0000 Laboratoire des médiateurs chimiques) | Renou , Michel (INRA , Saint-Rémy-lès-Chevreuse (France). UR 0000 Laboratoire des médiateurs chimiques) | Descoins , C. (INRA , Saint-Rémy-lès-Chevreuse (France). UR 0000 Laboratoire des médiateurs chimiques) | Gallois , M. (INRA , Saint-Rémy-lès-Chevreuse (France). UR 0000 Laboratoire des médiateurs chimiques)
Des pièges sexuels appâtés avec des formulations binaires d’acétoxy-1 tétradécènes - 11 Z et - 11 E (Z 11-TDA et E 11-TDA) se révèlent attractifs pour les mâles de Argyrotaenia pulchellana (Haw.) lorsque ces deux composés sont utilisés dans les proportions de 90 p. 100 et de 10 p. 100 respectivement. Le Z 11-TDA et le E 11-TDA sont perçus de préférence aux autres acétates mono-éthyléniques en C 14 par les antennes des mâles et sont présents dans la glande à phéromone des femelles, mais dans des proportions légèrement différentes (80 p. 100, 20 p. 100). Des capsules, chargées à 1 000 pg d’un mélange 90/10 de Z 11/E 11 TDA ont permis de suivre depuis 2 ans les vols de cette tordeuse en vergers de pommiers et sont actuellement commercialisées pour améliorer la surveillance de cet insecte. | Sex traps baited with binary formulations of Z-11 and E-11 tetradecenyl acetates (Z 11-TDA and E 11-TDA) were attractive for Argyrotaenia pulchellana (Haw.) males, when a 90/10 ratio of these two chemicals was used (fig. 4). Z 11-TDA and E 11-TDA were perceived preferentially to other C 14 monoethylenic acetates by the male antenna (fig. 3) and were present in the female sex pheromone gland, but in a slightly different ratio (80 %, 20 %) (fig. 1, 2). Caps baited with 1 000 ug of a 90/10 blend of Z 11-TDA/E 11-TDA have been used for two years to follow flights of this tortricid in apple orchards and are sold to improve the monitoring of this insect.
Show more [+] Less [-]Essai d'elaboration d'un schema global de la croissance des graminees fourrageres Full text
1984
Gillet, M. | Lemaire, Gilles | Gosse, Ghislain
Essai d'elaboration d'un schema global de la croissance des graminees fourrageres Full text
1984
Gillet, M. | Lemaire, Gilles | Gosse, Ghislain
Nous proposons une hypothèse pour rendre compte de faits connus : l’azote, l’eau, la température, les états de développement agissent beaucoup moins sur la photosynthèse que sur la croissance. Leur action sur cette dernière se présente toujours de la même manière, c’est-à-dire qu’elles modulent le comportement de la plante entre deux pôles : - forte croissance : le carbone est investi d’abord dans la croissance aérienne, au détriment des parties non photosynthétisantes. Il en résulte en principe une meilleure interception de la lumière, et le supplément de carbone capté permet ensuite une meilleure croissance de la plante entière. Mais parfois une croissance trop rapide entraîne un épuisement des réserves carbonées et la mort de la plante. - faible croissance : le carbone est dirigé surtout vers les réserves et/ou les racines. D’après notre hypothèse, la croissance ne serait pas déterminée par la photosynthèse. Il existerait un « programme » potentiel de croissance aérienne, lié aux états d’induction (« mémoire » de la plante). L’azote, l’eau, la température pourraient limiter la réalisation de ce potentiel. La croissance ainsi déterminée orienterait la destination du carbone par simple effet de « puits ». | We propose a hypothesis to account for the following known facts: nitrogen, water, temperature developmental status cause photosynthesis to vary much less than growth. Their action on the latter always occurs in the same way, i.e. by orientating the plant between two types of behaviour : - strong growth : carbon is invested chiefly in shoot growth, to the prejudice of non-photosynthesizing plant parts. This generally results in better light interception and thereafter the extra carbon obtained allows a better growth of the whole plant. But sometimes a too rapid growth brings about an exhaustion of carbohydrate reserves and the death of the plant. - weak growth : carbon is mainly directed towards reserves and/or roots. According to our hypothesis, growth is not determined by photosynthesis. We suppose a « potential program » of shoot growth, related to induction status (« memory of the plant). Nitrogen, water,temperature could limit the realization of this potentiality. Growth determined in this way would orientate the destination of carbon, simply by the « sink » effect.
Show more [+] Less [-]Essai d'elaboration d'un schema global de la croissance des graminees fourrageres
1984
Gillet , M. (INRA , Lusignan (France). UR 0889 Unité de génétique et amélioration des plantes fourragères) | Lemaire , Gilles (INRA , Lusignan (France). UR 0004 Unité d'écophysiologie des plantes fourragères) | Gosse , Ghislain (INRA , Versailles (France). UR 0253 Station de bioclimatologie-télédétection)
Nous proposons une hypothèse pour rendre compte de faits connus : l’azote, l’eau, la température, les états de développement agissent beaucoup moins sur la photosynthèse que sur la croissance. Leur action sur cette dernière se présente toujours de la même manière, c’est-à-dire qu’elles modulent le comportement de la plante entre deux pôles : - forte croissance : le carbone est investi d’abord dans la croissance aérienne, au détriment des parties non photosynthétisantes. Il en résulte en principe une meilleure interception de la lumière, et le supplément de carbone capté permet ensuite une meilleure croissance de la plante entière. Mais parfois une croissance trop rapide entraîne un épuisement des réserves carbonées et la mort de la plante. - faible croissance : le carbone est dirigé surtout vers les réserves et/ou les racines. D’après notre hypothèse, la croissance ne serait pas déterminée par la photosynthèse. Il existerait un « programme » potentiel de croissance aérienne, lié aux états d’induction (« mémoire » de la plante). L’azote, l’eau, la température pourraient limiter la réalisation de ce potentiel. La croissance ainsi déterminée orienterait la destination du carbone par simple effet de « puits ». | We propose a hypothesis to account for the following known facts: nitrogen, water, temperature developmental status cause photosynthesis to vary much less than growth. Their action on the latter always occurs in the same way, i.e. by orientating the plant between two types of behaviour : - strong growth : carbon is invested chiefly in shoot growth, to the prejudice of non-photosynthesizing plant parts. This generally results in better light interception and thereafter the extra carbon obtained allows a better growth of the whole plant. But sometimes a too rapid growth brings about an exhaustion of carbohydrate reserves and the death of the plant. - weak growth : carbon is mainly directed towards reserves and/or roots. According to our hypothesis, growth is not determined by photosynthesis. We suppose a « potential program » of shoot growth, related to induction status (« memory of the plant). Nitrogen, water,temperature could limit the realization of this potentiality. Growth determined in this way would orientate the destination of carbon, simply by the « sink » effect.
Show more [+] Less [-]Etude des cernes d'accroissement ligneux du systeme racinaire d'arbres traites en taillis Full text
1984
Bedeneau, Max | Pages, Loic
Etude des cernes d'accroissement ligneux du systeme racinaire d'arbres traites en taillis Full text
1984
Bedeneau, Max | Pages, Loic
Afin de déterminer le mode de renouvellement des grosses racines d’arbres forestiers après recépage, des souches de deux essences (bouleau et châtaignier), traitées en taillis, ont été extraites. Des rondelles ont été prélevées à la partie proximale des plus gros éléments du système racinaire. Les cernes de ces rondelles ont été dénombrés par moyens optiques ou par radiographies. Le caractère annuel de la croissance radiale des racines a été mis en évidence notamment par la mesure au 14C d’origine thermonucléaire. Les résultats, obtenus à partir de l'examen de trois souches de bouleau et de sept souches de châtaignier, montrent que l’âge des racines de bouleau est égal à l’âge total de la souche, en revanche l’âge des racines de châtaignier est inférieur à celui de la souche. | Ten stumps of birch and sweet chesnut, managed under coppice system, were extracted. Sampling of roots were taken art the proximal part of stump. Rings of these samples were examined. It appears that radial root growth is yearly. In first approach - other measures are needed - the roots of birch are used by new sprouts. On the contrary the sweet chesnut seems to develop and use new roots.
Show more [+] Less [-]Etude des cernes d'accroissement ligneux du systeme racinaire d'arbres traites en taillis
1984
Bedeneau , Max (INRA , Avignon (France). UR 0739 Unité d'écophysiologie et horticulture) | Pages , Loic (INRA , Avignon (France). UR 0739 Unité d'écophysiologie et horticulture)
Afin de déterminer le mode de renouvellement des grosses racines d’arbres forestiers après recépage, des souches de deux essences (bouleau et châtaignier), traitées en taillis, ont été extraites. Des rondelles ont été prélevées à la partie proximale des plus gros éléments du système racinaire. Les cernes de ces rondelles ont été dénombrés par moyens optiques ou par radiographies. Le caractère annuel de la croissance radiale des racines a été mis en évidence notamment par la mesure au 14C d’origine thermonucléaire. Les résultats, obtenus à partir de l'examen de trois souches de bouleau et de sept souches de châtaignier, montrent que l’âge des racines de bouleau est égal à l’âge total de la souche, en revanche l’âge des racines de châtaignier est inférieur à celui de la souche. | Ten stumps of birch and sweet chesnut, managed under coppice system, were extracted. Sampling of roots were taken art the proximal part of stump. Rings of these samples were examined. It appears that radial root growth is yearly. In first approach - other measures are needed - the roots of birch are used by new sprouts. On the contrary the sweet chesnut seems to develop and use new roots.
Show more [+] Less [-]Comparaison de méthodes d’estimation de la résistance du tournesol à Sclerotinia sclerotiorum (Lib.) de Bary Full text
1984
Tourvieille de Labrouhe, Denis | Vear, Felicity
Comparaison de méthodes d’estimation de la résistance du tournesol à Sclerotinia sclerotiorum (Lib.) de Bary Full text
1984
Tourvieille de Labrouhe, Denis | Vear, Felicity
Dans le but de comparer différents tests utilisables dans la sélection du tournesol pour une meilleure résistance à Sclerotinia sclerotiorum, les auteurs ont étudié 9 hybrides F1 représentant une gamme étendue de sensibilité pour les formes d’attaque les plus souvent rencontrées en France : l’infection du capitule par les ascospores et la destruction des racines par le mycélium. Les méthodes reposent soit sur des infections artificielles à partir de sclérotes, d’ascospores ou de mycélium, soit sur l’étude de la réaction de la plante à des substances produites par le champignon (toxines). Six tests ont ainsi été mis en oeuvre et les résultats obtenus ont été confrontés aux notations effectuées en infection naturelle dans diverses conditions microclimatiques. Ces tests ont permis de montrer le caractère partiel et polygénique de la résistance du tournesol vis-à-vis de la pourriture blanche et d’étudier certains mécanismes de l’infection. L’utilisation d’un test « ascospores », comme méthode de comparaison variétale, donne des résultats fiables et permet de classer avec certitude les hybrides étudiés. L’utilisation possible des autres tests dans différents modèles de sélection est discutée. | In order to compare a series of tests which could be used in the breeding of sunflowers for improved resistance to Sclerotinia sclerotiorum the authors studied 9 F1 hybrids known to show a wide range of susceptibilities to the forms of attack most often found in France : capitulum infection by ascospores and root attack by mycelium. The six methods described were based either on inoculations by sclerotia, ascospores or mycelium or on studies of the reaction of plants to fungal products (toxins). The results obtained were compared with observations of natural infection in various microclimatic conditions. The use of these tests made it possible to show the partial and polygenic nature of resistance to S. sclerotiorum in sunflowers and also to study certain of the infection mechanisms. One of the tests using ascospores, which has given repeatable results since 1980, provided a satisfactory classification of the hybrids studied. Possible uses of the other tests in breeding programs for resistance are discussed.
Show more [+] Less [-]Comparaison de méthodes d’estimation de la résistance du tournesol à Sclerotinia sclerotiorum (Lib.) de Bary
1984
Tourvieille de Labrouhe , Denis (INRA , Clermont-Ferrand (France). UE 0371 Domaine expérimental de Crouël) | Vear , Felicity (INRA , Clermont-Ferrand (France). UE 0371 Domaine expérimental de Crouël)
Dans le but de comparer différents tests utilisables dans la sélection du tournesol pour une meilleure résistance à Sclerotinia sclerotiorum, les auteurs ont étudié 9 hybrides F1 représentant une gamme étendue de sensibilité pour les formes d’attaque les plus souvent rencontrées en France : l’infection du capitule par les ascospores et la destruction des racines par le mycélium. Les méthodes reposent soit sur des infections artificielles à partir de sclérotes, d’ascospores ou de mycélium, soit sur l’étude de la réaction de la plante à des substances produites par le champignon (toxines). Six tests ont ainsi été mis en oeuvre et les résultats obtenus ont été confrontés aux notations effectuées en infection naturelle dans diverses conditions microclimatiques. Ces tests ont permis de montrer le caractère partiel et polygénique de la résistance du tournesol vis-à-vis de la pourriture blanche et d’étudier certains mécanismes de l’infection. L’utilisation d’un test « ascospores », comme méthode de comparaison variétale, donne des résultats fiables et permet de classer avec certitude les hybrides étudiés. L’utilisation possible des autres tests dans différents modèles de sélection est discutée. | In order to compare a series of tests which could be used in the breeding of sunflowers for improved resistance to Sclerotinia sclerotiorum the authors studied 9 F1 hybrids known to show a wide range of susceptibilities to the forms of attack most often found in France : capitulum infection by ascospores and root attack by mycelium. The six methods described were based either on inoculations by sclerotia, ascospores or mycelium or on studies of the reaction of plants to fungal products (toxins). The results obtained were compared with observations of natural infection in various microclimatic conditions. The use of these tests made it possible to show the partial and polygenic nature of resistance to S. sclerotiorum in sunflowers and also to study certain of the infection mechanisms. One of the tests using ascospores, which has given repeatable results since 1980, provided a satisfactory classification of the hybrids studied. Possible uses of the other tests in breeding programs for resistance are discussed.
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