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Results 1-10 of 199
The caraway
1992
Lauva, J. (Latvian University of Agriculture, Jelgava (Latvia). Plant Breeding and Crop Production Dept.)
In the given research the cultivation of caraway in Latvia is discussed. It is stated that caraway should be grown after winter crops in well cultivated neutral mineral soil containing organic fertilizer. The date of sowing, the seeding rates, the climatic conditions for caraway cultivation and the harvesting are discussed. The results of the experiments with caraway are included in the tables
Show more [+] Less [-]Dynamique des elements majeurs et des metaux sur un petit bassin versant mediterraneen Full text
1992
Ribolzi, O.
Lactose transport system of Streptococcus thermophilus: Functional reconstitution of the protein and characterization of the kinetic mechanism of transport Full text
1992
Foucaud, Catherine | Poolman, Bert
Alimentation des vaches laitières : Comparaison des recommandations d'apports en minéraux Full text
1992
Meschy, Francois | Guéguen, L.
Il existe un bon accord international pour les recommandations d’apport en magnésium, sodium, potassium, soufre et oligo-éléments chez la vache laitière ; il subsiste néanmoins quelques différences en ce qui concerne le phosphore et le calcium. L’essentiel de ces divergences concerne le besoin d’entretien en P et l’absorption réelle de Ca. Le faible besoin d’entretien des normes américaines (NRC 1988) correspond à des régimes pauvres en fourrages pour lesquels le recyclage salivaire de P est faible. L’absorption réelle de Ca se situe entre 35 et 38 % pour l’ensemble des systèmes, à l’exception du SCA australien (60 %) ; cette valeur résulte probablement de l’adaptation parfaite d’un organisme animal soumis à un apport calcique très insuffisant, par conséquent peu compatible avec les conditions pratiques. Les valeurs retenues pour la croissance, la gestation et la lactation sont par ailleurs très proches dans les différents systèmes. Le système français (INRA 78 et INRA 88) représente en fait de véritables recommandations pratiques d’apport visant à la satisfaction des besoins phosphocalciques de tous les animaux, incluant par conséquent une marge de sécurité et prenant en compte le cycle mobilisation-restauration des réserves minérales osseuses chez la femelle laitière. Ces recommandations sont nécessairement supérieures à celles correspondant au strict besoin minimum. | There is good international agreement for dietary allowances of Mg, Na, K, S and trace elements. Nevertheless, some discrepancies still exist for maintenance requirement of P and true absorption of Ca. The low level of P for maintenance in the NRC system (1988) is reliable for low forage level diets in which the recycling of P via saliva is also low. True absorption of Ca ranges between 35 and 38 % in almost all systems, except the Australian one (60 %). This data results probably from a good adaptation to very low calcium levels in the diet, but this is not representative of practical conditions of animal feeding. Data for growth, pregnancy and lactation are very close in the different systems. French recommendations (INRA 1978 and 1988) are in fact practical dietary allowances with a safety margin included, their objective is to satisfy mineral requirements of all animals. These data also take into account the bone mineral mobilisation at the beginning of the lactation. These recommendations are normally higher than minimum mineral requirements.
Show more [+] Less [-]Changing concepts in the taxonomy of plant pathogenic bacteria Full text
1992
Young, J.M. | Takikawa, Y. | Gardan, Louis | Stead, D.E.
Changing concepts in the taxonomy of plant pathogenic bacteria Full text
1992
Young, J.M. | Takikawa, Y. | Gardan, Louis | Stead, D.E.
Changing concepts in the taxonomy of plant pathogenic bacteria Full text
1992
Young, J.M. | Takikawa, Y. | Gardan, Louis | Stead, D.E.
Effect of some plant flavonoids on in vitro behaviour of an arbuscular mycorrhizal fungus Full text
1992
Morandi, D. | Branzanti, B. | Gianinazzi-Pearson, V.
Effect of some plant flavonoids on in vitro behaviour of an arbuscular mycorrhizal fungus Full text
1992
Morandi, D. | Branzanti, B. | Gianinazzi-Pearson, V.
The effect of 2 isoflavonoids (the soybean phytoalexin, glyceollin I, and the coumestan, coumestrol) and 1 flavonoid, quercetin, were tested on in vitro spore germination of Gigaspora margarita. Glyceollin I and coumestrol were tested at 0, 0.05, 0.5, 5 and 50 μM in water agar containing 0.5% ethanol. Quercetin was tested at 0, 0.1, 1 and 10 μM in pure water agar. All germination parameters were measured after 5 and 7 d. Germination rate was not significantly affected by any of these compounds. The number of germ tubes per spore was slightly increased by glyceollin I; mycelium length from germinated spores was increased by low concentrations of glyceollin I but was significantly decreased at the highest concentration. A positive correlation was found between coumestrol concentration and mycelium length, and vesicle number was decreased by coumestrol, quercetin and the highest concentration of glyceollin but was increased by glyceollin at 0.5 μM. Results are discussed in relation to the potential of flavonoids and isoflavonoids in acting as regulatory factors in plant-AM fungus interactions. | Deux isoflavonoïdes (la glycéolline I et le coumestrol) et un flavonoïde (la quercétine) ont été éprouvés vis-à-vis de la germination in vitro de Gigaspora margarita. Les expériences ont été faites en utilisant les concentrations de 0, 0,05, 0,5, 5 et 50 μmol.l-1 dans l’eau gélosée contenant 0,5% d’éthanol pour les premiers et de 0, 0,1, 1, et 10 μmol.l-1 dans l’eau gélosée pure pour la quercétine. Les mesures, réalisées après 5 et 7 j de croissance ont montré que le taux de germination n’a été affecté par aucun des composés, que le nombre de tubes germinatifs a été légèrement augmenté par la glycéolline I et que la longueur du mycélium par spore germée a été augmentée par la glycéolline I aux faibles concentrations alors qu’elle a été significativement diminuée à concentration supérieure. Une corrélation positive a été trouvée entre la teneur en coumestrol et la longueur du mycélium des tubes germinatifs. Les résultats sont discutés en relation avec la potentialité des flavonoïdes et isoflavonoïdes d’agir comme régulateurs dans le processus infectieux du champignon mycorhizien.
Show more [+] Less [-]Effect of some plant flavonoids on in vitro behaviour of an arbuscular mycorrhizal fungus
1992
Morandi , D. (INRA (France). UR 0102 Génétique et Amélioration des Plantes) | Branzanti , B. (Università degli Studi di Bologna, Bologna(Italie). Centro di Micologia) | Gianinazzi-Pearson , V. (INRA (France). UR 0102 Génétique et Amélioration des Plantes)
The effect of 2 isoflavonoids (the soybean phytoalexin, glyceollin I, and the coumestan, coumestrol) and 1 flavonoid, quercetin, were tested on in vitro spore germination of Gigaspora margarita. Glyceollin I and coumestrol were tested at 0, 0.05, 0.5, 5 and 50 μM in water agar containing 0.5% ethanol. Quercetin was tested at 0, 0.1, 1 and 10 μM in pure water agar. All germination parameters were measured after 5 and 7 d. Germination rate was not significantly affected by any of these compounds. The number of germ tubes per spore was slightly increased by glyceollin I; mycelium length from germinated spores was increased by low concentrations of glyceollin I but was significantly decreased at the highest concentration. A positive correlation was found between coumestrol concentration and mycelium length, and vesicle number was decreased by coumestrol, quercetin and the highest concentration of glyceollin but was increased by glyceollin at 0.5 μM. Results are discussed in relation to the potential of flavonoids and isoflavonoids in acting as regulatory factors in plant-AM fungus interactions. | Deux isoflavonoïdes (la glycéolline I et le coumestrol) et un flavonoïde (la quercétine) ont été éprouvés vis-à-vis de la germination in vitro de Gigaspora margarita. Les expériences ont été faites en utilisant les concentrations de 0, 0,05, 0,5, 5 et 50 μmol.l-1 dans l’eau gélosée contenant 0,5% d’éthanol pour les premiers et de 0, 0,1, 1, et 10 μmol.l-1 dans l’eau gélosée pure pour la quercétine. Les mesures, réalisées après 5 et 7 j de croissance ont montré que le taux de germination n’a été affecté par aucun des composés, que le nombre de tubes germinatifs a été légèrement augmenté par la glycéolline I et que la longueur du mycélium par spore germée a été augmentée par la glycéolline I aux faibles concentrations alors qu’elle a été significativement diminuée à concentration supérieure. Une corrélation positive a été trouvée entre la teneur en coumestrol et la longueur du mycélium des tubes germinatifs. Les résultats sont discutés en relation avec la potentialité des flavonoïdes et isoflavonoïdes d’agir comme régulateurs dans le processus infectieux du champignon mycorhizien.
Show more [+] Less [-]Les bases de la génétique quantitative. Du modèle génétique au modèle statistique Full text
1992
Ducrocq, Vincent
Les bases de la génétique quantitative. Du modèle génétique au modèle statistique Full text
1992
Ducrocq, Vincent
L’étape préliminaire à l’étude d’un caractère quantitatif est la modélisation statistique des observations, c’est-à-dire la représentation mathématique d’une réalité biologique, cohérente avec le modèle génétique. Ce modèle décrit très généralement chaque observation comme étant la somme d’effets du milieu et d’effets génétiques. Différentes façons de modéliser chacune de ces parties sont possibles en fonction des objectifs de l’étude, et ont des conséquences diverses sur les hypothèses requises pour l’obtention de résultats fiables. Ainsi, il est essentiel d’inclure dans l’analyse uniquement les facteurs du milieu ayant un effet important sur la performance observée, mais sans en omettre aucun. On peut ne faire intervenir dans la partie génétique du modèle que des animaux apparentés aux animaux "auteurs" des observations. Des simplifications importantes notamment calculatoires peuvent en découler, mais les résultats peuvent alors être fortement biaisés si certaines hypothèses qu’il faut faire ne sont pas vérifiées. Enfin, selon qu’une connaissance a priori des caractéristiques statistiques des effets est disponible et utilisée, il est possible de distinguer trois types de modèles (à effets fixés, aléatoires ou mixtes) auxquels correspondent des méthodes différentes d’estimation des paramètres étudiés.
Show more [+] Less [-]Les bases de la génétique quantitative. Du modèle génétique au modèle statistique Full text
1992
Ducrocq, Vincent
L’étape préliminaire à l’étude d’un caractère quantitatif est la modélisation statistique des observations, c’est-à-dire la représentation mathématique d’une réalité biologique, cohérente avec le modèle génétique. Ce modèle décrit très généralement chaque observation comme étant la somme d’effets du milieu et d’effets génétiques. Différentes façons de modéliser chacune de ces parties sont possibles en fonction des objectifs de l’étude, et ont des conséquences diverses sur les hypothèses requises pour l’obtention de résultats fiables. Ainsi, il est essentiel d’inclure dans l’analyse uniquement les facteurs du milieu ayant un effet important sur la performance observée, mais sans en omettre aucun. On peut ne faire intervenir dans la partie génétique du modèle que des animaux apparentés aux animaux "auteurs" des observations. Des simplifications importantes notamment calculatoires peuvent en découler, mais les résultats peuvent alors être fortement biaisés si certaines hypothèses qu’il faut faire ne sont pas vérifiées. Enfin, selon qu’une connaissance a priori des caractéristiques statistiques des effets est disponible et utilisée, il est possible de distinguer trois types de modèles (à effets fixés, aléatoires ou mixtes) auxquels correspondent des méthodes différentes d’estimation des paramètres étudiés.
Show more [+] Less [-]Etude de quelques stades phénologiques de la végétation à l'aide de données satellitaires Full text
1992
Moulin, Sophie
Etude de quelques stades phénologiques de la végétation à l'aide de données satellitaires Full text
1992
Moulin, Sophie
Etude de quelques stades phénologiques de la végétation à l'aide de données satellitaires Full text
1992
Moulin, Sophie
Creation et selection de populations diploides de pomme de terre (Solanum tuberosum L) Full text
1992
Rousselle-Bourgeois, F. | Rousselle, P.
Creation et selection de populations diploides de pomme de terre (Solanum tuberosum L) Full text
1992
Rousselle-Bourgeois, F. | Rousselle, P.
Un grand nombre (3 027) de clones dihaploïdes (2n = 2x = 24) a été extrait de 445 clones de pomme de terre tétraploïde (2n = 4x = 48) par parthénogénèse in situ. Les résultats de ces pollinisations ont été de l’ordre de 2-3 graines par baie parmi lesquelles 27% étaient dihaploïdes. Les clones obtenus sont caractérisés par une faible vigueur, une stérilité mâle généralisée, mais expriment une grande variabilité quant à l’aspect de la végétation, les caractéristiques des tubercules, les caractères technologiques (teneur en matière sèche et aptitude à la friture) et les résistances. Ils ont été hybridés avec 4 espèces apparentées diploïdes (S phureja, S stenotomum, S chacoense, S vemei). Les hybrides de r 1e génération sont recroisés entre eux ou sur d’autres dihaploïdes, puis différentes combinaisons sont réalisées tout en maintenant les 4 groupes séparés selon l’espèce introduite au départ. Les hybrides montrent une vigueur importante et une fertilité mâle suffisante bien que celle-ci dépende du clone dihaploïde parent. Ils sont aussi caractérisés pour des facteurs tels que teneur en matière sèche et aptitude à la transformation en frites. Ces populations diploïdes améliorées, adaptées aux conditions de culture françaises et présentant une importante variabilité, servent de base à des programmes ultérieurs de retour au niveau tétraploïde, d’utilisation des biotechnologies et d’introduction de nouvelles espèces apparentées. | A large number (3 027) of dihaploids (2 n = 2 x = 24) has been obtained from 445 tetraploid (2 n = 4 x = 48) potato clones by means of in situ parthenogenesis. These pollinations gave about 2 to 3 seeds per fruit. Of the seedlings 27% were dihaploid. The dihaploids had weak vigour and were all male sterile, but showed a wide variability for plant aspect, tuber characteristics, processing quality (dry matter content and ability to be fried) and disease and pest resistance. They were subsequently included in hybridizations with 4 diploid related species (S phureja, S stenotonum, S chacoense and S vernei). First generation hybrids were intercrossed or crossed with other dihaploids and different combinations were then obtained. Hybrid groups were distinguished depending on the species used. These hybrids were very vigourous and exhibited enough male fertility, the latter depending on the dihaploid used. They were described for characters such as dry matter content and chipping quality. The advanced diploid populations prove to be adapted to French cropping conditions and show interesting variability. They constitute a basis for the resynthesis of tetraploid clones and they will be used for the application of biotechnology and the introduction of new related species.
Show more [+] Less [-]Creation et selection de populations diploides de pomme de terre (Solanum tuberosum L)
1992
Rousselle-Bourgeois , F. (INRA (France). UR 0023 Unité d'Amélioration de la pomme de terre et des plantes à bulbes) | Rousselle , P. (INRA (France). UR 0023 Unité d'Amélioration de la pomme de terre et des plantes à bulbes)
Un grand nombre (3 027) de clones dihaploïdes (2n = 2x = 24) a été extrait de 445 clones de pomme de terre tétraploïde (2n = 4x = 48) par parthénogénèse in situ. Les résultats de ces pollinisations ont été de l’ordre de 2-3 graines par baie parmi lesquelles 27% étaient dihaploïdes. Les clones obtenus sont caractérisés par une faible vigueur, une stérilité mâle généralisée, mais expriment une grande variabilité quant à l’aspect de la végétation, les caractéristiques des tubercules, les caractères technologiques (teneur en matière sèche et aptitude à la friture) et les résistances. Ils ont été hybridés avec 4 espèces apparentées diploïdes (S phureja, S stenotomum, S chacoense, S vemei). Les hybrides de r 1e génération sont recroisés entre eux ou sur d’autres dihaploïdes, puis différentes combinaisons sont réalisées tout en maintenant les 4 groupes séparés selon l’espèce introduite au départ. Les hybrides montrent une vigueur importante et une fertilité mâle suffisante bien que celle-ci dépende du clone dihaploïde parent. Ils sont aussi caractérisés pour des facteurs tels que teneur en matière sèche et aptitude à la transformation en frites. Ces populations diploïdes améliorées, adaptées aux conditions de culture françaises et présentant une importante variabilité, servent de base à des programmes ultérieurs de retour au niveau tétraploïde, d’utilisation des biotechnologies et d’introduction de nouvelles espèces apparentées. | A large number (3 027) of dihaploids (2 n = 2 x = 24) has been obtained from 445 tetraploid (2 n = 4 x = 48) potato clones by means of in situ parthenogenesis. These pollinations gave about 2 to 3 seeds per fruit. Of the seedlings 27% were dihaploid. The dihaploids had weak vigour and were all male sterile, but showed a wide variability for plant aspect, tuber characteristics, processing quality (dry matter content and ability to be fried) and disease and pest resistance. They were subsequently included in hybridizations with 4 diploid related species (S phureja, S stenotonum, S chacoense and S vernei). First generation hybrids were intercrossed or crossed with other dihaploids and different combinations were then obtained. Hybrid groups were distinguished depending on the species used. These hybrids were very vigourous and exhibited enough male fertility, the latter depending on the dihaploid used. They were described for characters such as dry matter content and chipping quality. The advanced diploid populations prove to be adapted to French cropping conditions and show interesting variability. They constitute a basis for the resynthesis of tetraploid clones and they will be used for the application of biotechnology and the introduction of new related species.
Show more [+] Less [-]Alimentation des vaches laitières : Comparaison des différentes méthodes de prédiction des quantités ingérées Full text
1992
Faverdin, Philippe
Alimentation des vaches laitières : Comparaison des différentes méthodes de prédiction des quantités ingérées Full text
1992
Faverdin, Philippe
Les différentes méthodes de prédiction des quantités ingérées peuvent être regroupées en 3 grands types : 1) les équations de régression multiple, généralement empiriques et issues de compilation de données expérimentales, 2) le système de 2 prédictions, l’une liée à une régulation de l’appétit de type physique (encombrement du tractus digestif), l’autre de type énergétique (satisfaction des besoins énergétiques) dont seule la plus faible est conservée pour la prédiction des quantités ingérées, 3) le système basé sur les unités d’encombrement (UE) des fourrages et la substitution de l’aliment concentré. La comparaison de ces différents systèmes montre que les facteurs les plus difficiles à prendre en compte restent d’une part la diversité des aliments et leur proportion respective dans la ration, d’autre part le début de lactation. La plupart de ces systèmes sont plus destinés à établir des calculs de ration à l’optimum des recommandations alimentaires qu’à réellement prédire des quantités ingérées en prenant en compte tous les facteurs de variation possibles. Ils sont étroitement liés à des pratiques alimentaires (rations complètes riches en sous-produits et aliments concentrés aux USA, ajustement individualisé des apports de concentrés avec des rations majoritairement à base de fourrages en Europe). Le système des UE proposé par l’INRA présente quelques limites dans la prédiction de la valeur UE des aliments (séparation fourrages-concentrés, nombreuses équations) et dans son utilisation en début de lactation. Actuellement, il constitue cependant l’outil permettant de décrire la plus grande diversité de situations tout en conservant une méthode de calcul facile à utiliser en pratique et des possibilités d’évolution. | The different methods of predicting the dry matter intake can be grouped into 3 main types: 1 / multiple regression equations, generally empirical and produced from experimental data, 2 / the system of two predictions, one linked to a physical regulation of intake (rumen fill), the other to an energetic regulation (energy balance) of which only the lesser value is conserved for the prediction of dry matter intake, 3/ the system based on Fill Unit of roughages and the substitution of concentrates to roughages. The comparison of these different systems shows that the factors which are the most difficult to take into account remain those of the diversity of feed and their respective proportions in the ration, together with that of the beginning of lactation. The majority of these systems are more for establishing optimum ration calculations of feed recommendations rather than really predicting ingested quantities, taking into account all the possible factors of variation. They are closely linked to feeding practices (complete diet rich in by-products and concentrates in the U.S.A., individual adjustments in concentrate supply with rations composed mainly of roughages in Europe). The Fill Unit system proposed by INRA does have certain limits in the prediction of the fill value of feed (separation of roughages and concentrates, numerous equations) and in its use at the beginning of lactation. At the present time, this is the tool which enables the greatest diversity of situations to be described, whilst conserving a calculation method which is easy to use in practice and which has possibilities of being developed.
Show more [+] Less [-]Alimentation des vaches laitières : Comparaison des différentes méthodes de prédiction des quantités ingérées Full text
1992
Faverdin, Philippe
Les différentes méthodes de prédiction des quantités ingérées peuvent être regroupées en 3 grands types : 1) les équations de régression multiple, généralement empiriques et issues de compilation de données expérimentales, 2) le système de 2 prédictions, l’une liée à une régulation de l’appétit de type physique (encombrement du tractus digestif), l’autre de type énergétique (satisfaction des besoins énergétiques) dont seule la plus faible est conservée pour la prédiction des quantités ingérées, 3) le système basé sur les unités d’encombrement (UE) des fourrages et la substitution de l’aliment concentré. La comparaison de ces différents systèmes montre que les facteurs les plus difficiles à prendre en compte restent d’une part la diversité des aliments et leur proportion respective dans la ration, d’autre part le début de lactation. La plupart de ces systèmes sont plus destinés à établir des calculs de ration à l’optimum des recommandations alimentaires qu’à réellement prédire des quantités ingérées en prenant en compte tous les facteurs de variation possibles. Ils sont étroitement liés à des pratiques alimentaires (rations complètes riches en sous-produits et aliments concentrés aux USA, ajustement individualisé des apports de concentrés avec des rations majoritairement à base de fourrages en Europe). Le système des UE proposé par l’INRA présente quelques limites dans la prédiction de la valeur UE des aliments (séparation fourrages-concentrés, nombreuses équations) et dans son utilisation en début de lactation. Actuellement, il constitue cependant l’outil permettant de décrire la plus grande diversité de situations tout en conservant une méthode de calcul facile à utiliser en pratique et des possibilités d’évolution. | The different methods of predicting the dry matter intake can be grouped into 3 main types: 1 / multiple regression equations, generally empirical and produced from experimental data, 2 / the system of two predictions, one linked to a physical regulation of intake (rumen fill), the other to an energetic regulation (energy balance) of which only the lesser value is conserved for the prediction of dry matter intake, 3/ the system based on Fill Unit of roughages and the substitution of concentrates to roughages. The comparison of these different systems shows that the factors which are the most difficult to take into account remain those of the diversity of feed and their respective proportions in the ration, together with that of the beginning of lactation. The majority of these systems are more for establishing optimum ration calculations of feed recommendations rather than really predicting ingested quantities, taking into account all the possible factors of variation. They are closely linked to feeding practices (complete diet rich in by-products and concentrates in the U.S.A., individual adjustments in concentrate supply with rations composed mainly of roughages in Europe). The Fill Unit system proposed by INRA does have certain limits in the prediction of the fill value of feed (separation of roughages and concentrates, numerous equations) and in its use at the beginning of lactation. At the present time, this is the tool which enables the greatest diversity of situations to be described, whilst conserving a calculation method which is easy to use in practice and which has possibilities of being developed.
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