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Echantillonnage des populations aphidiennes en vergers de pechers. Comparaison de la precision de deux methodes a l'aide de modeles de simulation d'echantillonnage Full text
1985
Lapchin, Laurent
Echantillonnage des populations aphidiennes en vergers de pechers. Comparaison de la precision de deux methodes a l'aide de modeles de simulation d'echantillonnage Full text
1985
Lapchin, Laurent
Two methods of aphid sampling in peach orchards were compared. The first, a branch-cutting method, is based on a one meter length of branch cut per tree. The other consists of a visual observation of the whole tree for 2-4 min according to foliage density, using an infestation scale. When the classes in the scale were calibrated by comparison with the results from the first method a geometrical progression of aphid numbers was noted. The use of models to simulate sampling allowed comparison of the accuracy of the 2 methods. The number of sampled trees in every class was fitted to the POLYA-AEPPLI distribution (ANSCOMBE 1949). In the branchcutting method, we simulated the distribution of aphid population on a tree, using different distribution models. In the visual method, we constructed 2 probability matrices assigning an infested tree to every visual class (table 5). The coefficients of variation of the 2 sets of results were then fitted to the variation of every parameter (table 4 and 6). For low densities of inconspicuous species, which develop rather small colonies, well distributed in the whole tree, the branch-cutting method was slightly more precise. However, for high densities of conspicuous species whose colonies can reach some size, the visual method clearly showed greater efficiency. It also had the advantage of being paster and non-destructive, and allowing the dynamics of aphid populations on every tree to be followed. | Deux méthodes d’échantillonnage des pucerons sont comparées en vergers de pêchers : l’une est basée sur la coupe d’un mètre de rameaux par arbre échantillonné, l’autre sur l’examen individuel de l’arbre entier et l’utilisation de classes d’infestation. L’étalonnage de ces classes met en évidence une progression géométrique des effectifs aphidiens. L’utilisation de modèles de simulation d’échantillonnage permet de comparer la précision des 2 méthodes. Elle dépend essentiellement du degré d’infestation du verger et de l’espèce considérée. La méthode visuelle est généralement la plus précise, sauf lorsque la densité est très faible et les espèces peu visibles.
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1985
Lapchin , Laurent (INRA , Antibes (France). UR 0919 Laboratoire de biologie des invertébrés)
Two methods of aphid sampling in peach orchards were compared. The first, a branch-cutting method, is based on a one meter length of branch cut per tree. The other consists of a visual observation of the whole tree for 2-4 min according to foliage density, using an infestation scale. When the classes in the scale were calibrated by comparison with the results from the first method a geometrical progression of aphid numbers was noted. The use of models to simulate sampling allowed comparison of the accuracy of the 2 methods. The number of sampled trees in every class was fitted to the POLYA-AEPPLI distribution (ANSCOMBE 1949). In the branchcutting method, we simulated the distribution of aphid population on a tree, using different distribution models. In the visual method, we constructed 2 probability matrices assigning an infested tree to every visual class (table 5). The coefficients of variation of the 2 sets of results were then fitted to the variation of every parameter (table 4 and 6). For low densities of inconspicuous species, which develop rather small colonies, well distributed in the whole tree, the branch-cutting method was slightly more precise. However, for high densities of conspicuous species whose colonies can reach some size, the visual method clearly showed greater efficiency. It also had the advantage of being paster and non-destructive, and allowing the dynamics of aphid populations on every tree to be followed. | Deux méthodes d’échantillonnage des pucerons sont comparées en vergers de pêchers : l’une est basée sur la coupe d’un mètre de rameaux par arbre échantillonné, l’autre sur l’examen individuel de l’arbre entier et l’utilisation de classes d’infestation. L’étalonnage de ces classes met en évidence une progression géométrique des effectifs aphidiens. L’utilisation de modèles de simulation d’échantillonnage permet de comparer la précision des 2 méthodes. Elle dépend essentiellement du degré d’infestation du verger et de l’espèce considérée. La méthode visuelle est généralement la plus précise, sauf lorsque la densité est très faible et les espèces peu visibles.
Show more [+] Less [-]Role des semiochimiques dans les relations pucerons-plantes. I. - Generalites et pheromones d'alarme Full text
1985
Herrbach, Etienne
Role des semiochimiques dans les relations pucerons-plantes. I. - Generalites et pheromones d'alarme Full text
1985
Herrbach, Etienne
Le comportement des pucerons est influencé par des sémiochimiques à action intraspécifique, les phéromones. Le présent travail constitue une synthèse des connaissances actuelles sur les phéromones d’alarme des pucerons. Le rôle de ces substances dans la biologie du puceron est décrit. L’auteur précise et discute les possibilités offertes par les phéromones d’alarme comme moyens d’intervention contre les pucerons, notamment dans la lutte contre la propagation de viroses végétales. | Aphid behaviour is influenced by intraspecific semiochemicals, the pheromones. This work is a synthesis of present knowledge concerning aphid alarm pheromones. The role of these chemicals in the biology of aphids is described. The potential of alarm pheromones as a means for aphid control is analyzed and discussed. It is suggested that these chemicals or derivatives may be used as aphid repellents and hence may reduce the spread of virus diseases in crop plants.
Show more [+] Less [-]Role des semiochimiques dans les relations pucerons-plantes. I. - Generalites et pheromones d'alarme
1985
Herrbach , Etienne (INRA , Colmar (France). UR 0869 Station de recherches grandes cultures : Laboratoire de zoologie)
Le comportement des pucerons est influencé par des sémiochimiques à action intraspécifique, les phéromones. Le présent travail constitue une synthèse des connaissances actuelles sur les phéromones d’alarme des pucerons. Le rôle de ces substances dans la biologie du puceron est décrit. L’auteur précise et discute les possibilités offertes par les phéromones d’alarme comme moyens d’intervention contre les pucerons, notamment dans la lutte contre la propagation de viroses végétales. | Aphid behaviour is influenced by intraspecific semiochemicals, the pheromones. This work is a synthesis of present knowledge concerning aphid alarm pheromones. The role of these chemicals in the biology of aphids is described. The potential of alarm pheromones as a means for aphid control is analyzed and discussed. It is suggested that these chemicals or derivatives may be used as aphid repellents and hence may reduce the spread of virus diseases in crop plants.
Show more [+] Less [-]Une methode de calcul de l'evapotranspiration reelle a partir des mesures ponctuelles de resistance stomatique et de temperature foliaire Full text
1985
Lhomme, Jean-Paul | Katerji, Nader
Une methode de calcul de l'evapotranspiration reelle a partir des mesures ponctuelles de resistance stomatique et de temperature foliaire Full text
1985
Lhomme, Jean-Paul | Katerji, Nader
Nous proposons un modèle analogique qui permet le calcul de l’évapotranspiration globale d’un couvert végétal à partir des mesures ponctuelles de résistance stomatique et de température foliaire. Ce modèle est basé sur une division du couvert en différentes strates, chacune caractérisée par deux températures Tri et Tsi et deux résistances élémentaires rai et rei (fig. 2 et 3). Tri représente la température de rosée de l’air de la strate i et Tsi la température moyenne des surfaces foliaires ; rai caractérise la résistance à la diffusion de la vapeur d’eau au travers de la strate i et rei la résistance à la diffusion des cavités stomatiques jusqu’au sommet de la strate (rei englobant la résistance stomatique) (fig. 1). Le modèle conduit à une expression mathématique du flux global d’évapotranspiration fonction de la température de rosée de l’air au sommet du couvert Tr(Zh), des températures des surfaces foliaires Tsi et des résistances élémentaires rai et rei. Le modèle est testé avec des mesures effectuées sur un couvert de luzerne en région parisienne et sa sensibilité vis-à-vis des différents paramètres est examinée. | We have developed an analog model to calculate the evapotranspiration rate of a canopy from measurements of stomatal resistance and leaf temperature. The model was based on the division of the stand into different horizontal layers. Each layer was characterized by two temperatures Tri and Tsi and two elementary resistances rai and rei (fig. 2 and 3). Tri represented the dew point temperature of the air in layer i and Tsi the mean temperature of the leaves ; rai characterized the diffusion resistance to water vapour across layer i and rei the diffusion resistance inside the layer (from the stomatal cavities to the top of the layer) (fig. 1). The model led to a mathematical expression of the global evaporation flux as a function of the dew point temperature of the air at the top of the canopy Tr(zh),( the leaf surface temperatures Tsi and the elementary resistances rai and rei. It was tested with data obtained from a lucerne crop in the Paris area and its sensitivity to the different parameters was examined.
Show more [+] Less [-]Une methode de calcul de l'evapotranspiration reelle a partir des mesures ponctuelles de resistance stomatique et de temperature foliaire
1985
Lhomme , Jean-Paul (INRA (France). 0218) | Katerji , Nader (INRA , Thiverval-Grignon (France). UR 0253 Unité de bioclimatologie)
Nous proposons un modèle analogique qui permet le calcul de l’évapotranspiration globale d’un couvert végétal à partir des mesures ponctuelles de résistance stomatique et de température foliaire. Ce modèle est basé sur une division du couvert en différentes strates, chacune caractérisée par deux températures Tri et Tsi et deux résistances élémentaires rai et rei (fig. 2 et 3). Tri représente la température de rosée de l’air de la strate i et Tsi la température moyenne des surfaces foliaires ; rai caractérise la résistance à la diffusion de la vapeur d’eau au travers de la strate i et rei la résistance à la diffusion des cavités stomatiques jusqu’au sommet de la strate (rei englobant la résistance stomatique) (fig. 1). Le modèle conduit à une expression mathématique du flux global d’évapotranspiration fonction de la température de rosée de l’air au sommet du couvert Tr(Zh), des températures des surfaces foliaires Tsi et des résistances élémentaires rai et rei. Le modèle est testé avec des mesures effectuées sur un couvert de luzerne en région parisienne et sa sensibilité vis-à-vis des différents paramètres est examinée. | We have developed an analog model to calculate the evapotranspiration rate of a canopy from measurements of stomatal resistance and leaf temperature. The model was based on the division of the stand into different horizontal layers. Each layer was characterized by two temperatures Tri and Tsi and two elementary resistances rai and rei (fig. 2 and 3). Tri represented the dew point temperature of the air in layer i and Tsi the mean temperature of the leaves ; rai characterized the diffusion resistance to water vapour across layer i and rei the diffusion resistance inside the layer (from the stomatal cavities to the top of the layer) (fig. 1). The model led to a mathematical expression of the global evaporation flux as a function of the dew point temperature of the air at the top of the canopy Tr(zh),( the leaf surface temperatures Tsi and the elementary resistances rai and rei. It was tested with data obtained from a lucerne crop in the Paris area and its sensitivity to the different parameters was examined.
Show more [+] Less [-]Antagonisme in vitro de trichoderma spp. vis-a-vis de rhizoctonia solani kuhn Full text
1985
Camporota, P.
Antagonisme in vitro de trichoderma spp. vis-a-vis de rhizoctonia solani kuhn Full text
1985
Camporota, P.
Cet article présente les résultats obtenus lors de la réalisation de la première étape d’un programme de sélection de souches de Trichoderma spp. utilisables pour la lutte biologique contre Rhizoctonia solani dans le sol : 28 souches de Trichoderma ont été confrontées in vitro à 3 souches de R. solani appartenant à des groupes d’anastomose différents. On a mesuré, pour chaque souche de Trichoderma, la capacité à envahir les colonies de l’agent pathogène ainsi que les 3 modes d’action : mycoparasitisme, émission de substances inhibitrices non volatiles et volatiles. Les 3 souches de R. solani ont montré des différences de sensibilité à l’antagoniste. L’effet inhibiteur de Trichoderma varie aussi en fonction des souches. Des observations au cours de l’expérimentation ainsi que des corrélations faites entre la capacité de colonisation de Trichoderma et les mesures des 3 modes d’action ont révélé que les souches de R. solani le plus rapidement détruites étaient celles touchées par le mycoparasitisme. L’étude de l’antagonisme in vivo en utilisant les mêmes souches pathogènes et antagonistes sera la deuxième étape de ce programme. | We present here results obtained in the first stage of a plan to select strains of Trichoderma spp. effective for biological control of Rhizoctonia solani in soils. 28 strains of Trichoderma species were tested in vitro for antagonism against 3 strains of R. solani belonging to 3 different anastomosis groups. The ability of each strain of Trichoderma to invade the colonies of the 3 different R. solani was measured on malt agar. Specific techniques were developed to measure the relative importance of the 3 main mechanisms of antagonism : mycoparasitism, and release of volatile or non-volatile compounds. The 3 strains of R. solani differed in their susceptibility to antagonism by Trichoderma. The 28 strains of Trichoderma differed in their antagonistic properties. Correlation between a Trichoderma’s capacity to invade the colonies of R. solani and the measures of each mechanism of antagonism showed that mycoparasitism was the most effective mechanism for destroying the hyphae of R. solani. The same 28 strains of Trichoderma, well characterized in vitro, will now be used in specific biological tests for each strain of R. solani to study their antagonistic capacities in vivo.
Show more [+] Less [-]Antagonisme in vitro de trichoderma spp. vis-a-vis de rhizoctonia solani kuhn
1985
Camporota , P. (INRA , Dijon (France). UR 0109 Unité sur la flore pathogène dans le sol)
Cet article présente les résultats obtenus lors de la réalisation de la première étape d’un programme de sélection de souches de Trichoderma spp. utilisables pour la lutte biologique contre Rhizoctonia solani dans le sol : 28 souches de Trichoderma ont été confrontées in vitro à 3 souches de R. solani appartenant à des groupes d’anastomose différents. On a mesuré, pour chaque souche de Trichoderma, la capacité à envahir les colonies de l’agent pathogène ainsi que les 3 modes d’action : mycoparasitisme, émission de substances inhibitrices non volatiles et volatiles. Les 3 souches de R. solani ont montré des différences de sensibilité à l’antagoniste. L’effet inhibiteur de Trichoderma varie aussi en fonction des souches. Des observations au cours de l’expérimentation ainsi que des corrélations faites entre la capacité de colonisation de Trichoderma et les mesures des 3 modes d’action ont révélé que les souches de R. solani le plus rapidement détruites étaient celles touchées par le mycoparasitisme. L’étude de l’antagonisme in vivo en utilisant les mêmes souches pathogènes et antagonistes sera la deuxième étape de ce programme. | We present here results obtained in the first stage of a plan to select strains of Trichoderma spp. effective for biological control of Rhizoctonia solani in soils. 28 strains of Trichoderma species were tested in vitro for antagonism against 3 strains of R. solani belonging to 3 different anastomosis groups. The ability of each strain of Trichoderma to invade the colonies of the 3 different R. solani was measured on malt agar. Specific techniques were developed to measure the relative importance of the 3 main mechanisms of antagonism : mycoparasitism, and release of volatile or non-volatile compounds. The 3 strains of R. solani differed in their susceptibility to antagonism by Trichoderma. The 28 strains of Trichoderma differed in their antagonistic properties. Correlation between a Trichoderma’s capacity to invade the colonies of R. solani and the measures of each mechanism of antagonism showed that mycoparasitism was the most effective mechanism for destroying the hyphae of R. solani. The same 28 strains of Trichoderma, well characterized in vitro, will now be used in specific biological tests for each strain of R. solani to study their antagonistic capacities in vivo.
Show more [+] Less [-]Recherches sur la resistance des sols aux maladies.XII. Activite respiratoire dans un sol resistant et un sol sensible aux fusarioses vasculaires enrichis en glucose Full text
1985
Alabouvette, Claude | Couteaudier, Yvonne | Louvet, J.
Recherches sur la resistance des sols aux maladies.XII. Activite respiratoire dans un sol resistant et un sol sensible aux fusarioses vasculaires enrichis en glucose Full text
1985
Alabouvette, Claude | Couteaudier, Yvonne | Louvet, J.
Des travaux antérieurs ont permis de montrer que la germination des chlamydospores et le développement saprophytique des Fusarium spp. nécessitent un apport d’énergie plus important dans le sol résistant de Châteaurenard que dans le sol sensible d’Ouroux. Ces résultats suggérant que la compétition pour les éléments nutritifs est plus intense en terre résistante qu’en terre sensible, nous avons étudié l’activité respiratoire de ces 2 sols en réponse à un apport de glucose, afin d’apprécier leurs niveaux de biomasse et d’activité microbienne. Les résultats acquis montrent que, pour toutes les concentrations de glucose étudiées, le taux respiratoire initial est 2 à 4 fois plus élevé dans le sol résistant (tabl. 1), ce qui indique que la biomasse microbienne du sol résistant est plus importante que celle du sol sensible. L’étude cinétique du dégagement de Co2 après apport de glucose à la concentration de 1 mg/g (fig. 2) montre que les microorganismes se multiplient plus rapidement et plus intensément dans le sol résistant au cours des 12 premières heures qui suivent l’apport d’élément nutritif. Mais au-delà, le taux respiratoire diminue brusquement et se stabilise à un niveau extrêmement faible indiquant l’arrêt de la croissance microbienne. Au contraire, en terre sensible, le taux respiratoire augmente plus lentement, mais demeure à un niveau élevé pendant au moins 60 h, ce qui prouve que l’état nutritionnel du sol continue de permettre le développement des microorganismes. Ces résultats démontrent que, dans le sol résistant, les chlamydospores de Fusarium disposent d’un laps de temps très limité pour germer et se développer en direction de la racine. Ainsi, un niveau de biomasse élevé détermine dans le sol résistant une compétition nutritive particulièrement intense qui limite considérablement les possibilités de développement des microorganismes et en particulier celui des Fusarium pathogènes. | Previous results indicated that to stimulate chlamydospore germination and saprophytic growth of Fusarium spp., it was necessary to add a greater concentration of glucose into the Châteaurenard suppressive soil than into the Ouroux conducive soil. These results suggested that competition for nutrients was greater in suppressive than in conducive soil. We therefore studied the evolution of Co2 after addition of glucose to the respective soils, in order to estimate the relative amounts of biomass and microbial activity of these two soils. The initial respiration rate was 2 to 4 times higher in the suppressive than in the conducive soil (tabl. 1), indicating that the initial size of the biomass was greater in the suppressive soil. The kinetics of Co2 release after adding glucose at 1 mg/g soil (fig. 2) showed further that the microbial activity started sooner and increased faster in the suppressive than in the conducive soil. However by 12 h after addition of glucose, the respiration rate decreased quickly and stabilized at a low level, indicating that some limiting factors prevented microbial growth. In the conducive soil, on the other hand, the respiration rate increased more slowly but remained high for a long period, indicating that the nutritional status of the soil could support microbial activity for a least 60 h after addition of glucose. These results suggest that in the suppressive soil the chlamydospores of Fusarium spp. had a shorter time after addition of glucose to germinate and reach the root surface. Thus, the larger and more responsive biomass acts as a greater nutrient sink for carbon and energy needed by the chlamydospores. This more intense competition for nutrients limits the chance of development for any given microorganisms, especially for pathogenic Fusarium.
Show more [+] Less [-]Recherches sur la resistance des sols aux maladies.XII. Activite respiratoire dans un sol resistant et un sol sensible aux fusarioses vasculaires enrichis en glucose
1985
Alabouvette , Claude (INRA , Dijon (France). UR 0109 Unité sur la flore pathogène dans le sol) | Couteaudier , Yvonne (INRA , Dijon (France). UR 0109 Unité sur la flore pathogène dans le sol) | Louvet , J. (INRA , Dijon (France). UR 0109 Unité sur la flore pathogène dans le sol)
Des travaux antérieurs ont permis de montrer que la germination des chlamydospores et le développement saprophytique des Fusarium spp. nécessitent un apport d’énergie plus important dans le sol résistant de Châteaurenard que dans le sol sensible d’Ouroux. Ces résultats suggérant que la compétition pour les éléments nutritifs est plus intense en terre résistante qu’en terre sensible, nous avons étudié l’activité respiratoire de ces 2 sols en réponse à un apport de glucose, afin d’apprécier leurs niveaux de biomasse et d’activité microbienne. Les résultats acquis montrent que, pour toutes les concentrations de glucose étudiées, le taux respiratoire initial est 2 à 4 fois plus élevé dans le sol résistant (tabl. 1), ce qui indique que la biomasse microbienne du sol résistant est plus importante que celle du sol sensible. L’étude cinétique du dégagement de Co2 après apport de glucose à la concentration de 1 mg/g (fig. 2) montre que les microorganismes se multiplient plus rapidement et plus intensément dans le sol résistant au cours des 12 premières heures qui suivent l’apport d’élément nutritif. Mais au-delà, le taux respiratoire diminue brusquement et se stabilise à un niveau extrêmement faible indiquant l’arrêt de la croissance microbienne. Au contraire, en terre sensible, le taux respiratoire augmente plus lentement, mais demeure à un niveau élevé pendant au moins 60 h, ce qui prouve que l’état nutritionnel du sol continue de permettre le développement des microorganismes. Ces résultats démontrent que, dans le sol résistant, les chlamydospores de Fusarium disposent d’un laps de temps très limité pour germer et se développer en direction de la racine. Ainsi, un niveau de biomasse élevé détermine dans le sol résistant une compétition nutritive particulièrement intense qui limite considérablement les possibilités de développement des microorganismes et en particulier celui des Fusarium pathogènes. | Previous results indicated that to stimulate chlamydospore germination and saprophytic growth of Fusarium spp., it was necessary to add a greater concentration of glucose into the Châteaurenard suppressive soil than into the Ouroux conducive soil. These results suggested that competition for nutrients was greater in suppressive than in conducive soil. We therefore studied the evolution of Co2 after addition of glucose to the respective soils, in order to estimate the relative amounts of biomass and microbial activity of these two soils. The initial respiration rate was 2 to 4 times higher in the suppressive than in the conducive soil (tabl. 1), indicating that the initial size of the biomass was greater in the suppressive soil. The kinetics of Co2 release after adding glucose at 1 mg/g soil (fig. 2) showed further that the microbial activity started sooner and increased faster in the suppressive than in the conducive soil. However by 12 h after addition of glucose, the respiration rate decreased quickly and stabilized at a low level, indicating that some limiting factors prevented microbial growth. In the conducive soil, on the other hand, the respiration rate increased more slowly but remained high for a long period, indicating that the nutritional status of the soil could support microbial activity for a least 60 h after addition of glucose. These results suggest that in the suppressive soil the chlamydospores of Fusarium spp. had a shorter time after addition of glucose to germinate and reach the root surface. Thus, the larger and more responsive biomass acts as a greater nutrient sink for carbon and energy needed by the chlamydospores. This more intense competition for nutrients limits the chance of development for any given microorganisms, especially for pathogenic Fusarium.
Show more [+] Less [-]Sensibilite de 27 varietes de pecher vis-a-vis de Fusicoccum amygdali Del., agent du chancre des rameaux Full text
1985
Jailloux, F. | Froidefond, Georges
Sensibilite de 27 varietes de pecher vis-a-vis de Fusicoccum amygdali Del., agent du chancre des rameaux Full text
1985
Jailloux, F. | Froidefond, Georges
Peach canker disease is sometimes responsible for severe damage to peach orchards specially in South West France. In those areas which are favourable to disease development, it is important to know the level of resistance of different varieties before planting new orchards. During three years, susceptibility of 27 commercial cvs was tested at two periods known to be implicated in : inoculum at various concentrations was applied in autumn onto fresh leaf scars (1979, 80, 81) and in spring onto buds (between D and G stages) (1980, 81, 82). Varietal susceptibility as determined from the results of fresh leaf scar inoculation allows to classify the 27 cvs into three classes of high (’Shasta’, ’Redhaven’), moderate (’Fortyniner’, Frederica’) and low susceptibility (’J. H. Hale’, ’I.N.R.A. 3689’). By contrast, no significant differences were observed when inoculum was applied to buds : in general, they appeared less susceptible than leaf scars which are undoubtedly the main sites of introduction of the fungus. It is of interest to know the level of susceptibility to peach canker of the different cvs both for establishing new plantations and for breeding against this pathogen. | Le chancre du pêcher, dû à Fusicoccum amygdali Del., peut causer de graves dégâts dans certaines régions françaises telles que le Sud-Ouest. Dans ces conditions, la connaissance du niveau de sensibilité des variétés devient impérative. Au cours de trois années successives, une collection de 27 variétés de pêcher sont contaminées artificiellement aux deux périodes de réceptivité de la plante : en automne par contamination de plaies pétiolaires provoquées (1979, 1980 et 1981) et au printemps par pollution des bourgeons entre les stades phénologiques D et G (1980, 1981 et 1982). Seule, la contamination des plaies pétiolaires provoquées permet de différencier des variétés : - peu sensibles (« J. H. Hale », « I.N.R.A. 3689 »), - très sensibles (« Shasta », « Redhaven »), - sensibles à comportement intermédiaire (« Fortyniner », « Frederica »). La connaissance de la réceptivité variétale du pêcher à l’égard de F. amygdali offre un critère supplémentaire de choix tant pour la création de futurs hybrides que pour l’implantation de nouveaux vergers.
Show more [+] Less [-]Sensibilite de 27 varietes de pecher vis-a-vis de Fusicoccum amygdali Del., agent du chancre des rameaux
1985
Jailloux , F. (INRA (France). UR 0420 Station de Pathologie végétale) | Froidefond , Georges (INRA (France). UR 0420 Station de Pathologie végétale)
Peach canker disease is sometimes responsible for severe damage to peach orchards specially in South West France. In those areas which are favourable to disease development, it is important to know the level of resistance of different varieties before planting new orchards. During three years, susceptibility of 27 commercial cvs was tested at two periods known to be implicated in : inoculum at various concentrations was applied in autumn onto fresh leaf scars (1979, 80, 81) and in spring onto buds (between D and G stages) (1980, 81, 82). Varietal susceptibility as determined from the results of fresh leaf scar inoculation allows to classify the 27 cvs into three classes of high (’Shasta’, ’Redhaven’), moderate (’Fortyniner’, Frederica’) and low susceptibility (’J. H. Hale’, ’I.N.R.A. 3689’). By contrast, no significant differences were observed when inoculum was applied to buds : in general, they appeared less susceptible than leaf scars which are undoubtedly the main sites of introduction of the fungus. It is of interest to know the level of susceptibility to peach canker of the different cvs both for establishing new plantations and for breeding against this pathogen. | Le chancre du pêcher, dû à Fusicoccum amygdali Del., peut causer de graves dégâts dans certaines régions françaises telles que le Sud-Ouest. Dans ces conditions, la connaissance du niveau de sensibilité des variétés devient impérative. Au cours de trois années successives, une collection de 27 variétés de pêcher sont contaminées artificiellement aux deux périodes de réceptivité de la plante : en automne par contamination de plaies pétiolaires provoquées (1979, 1980 et 1981) et au printemps par pollution des bourgeons entre les stades phénologiques D et G (1980, 1981 et 1982). Seule, la contamination des plaies pétiolaires provoquées permet de différencier des variétés : - peu sensibles (« J. H. Hale », « I.N.R.A. 3689 »), - très sensibles (« Shasta », « Redhaven »), - sensibles à comportement intermédiaire (« Fortyniner », « Frederica »). La connaissance de la réceptivité variétale du pêcher à l’égard de F. amygdali offre un critère supplémentaire de choix tant pour la création de futurs hybrides que pour l’implantation de nouveaux vergers.
Show more [+] Less [-]Selection pour la resistance a la deltamethrine d'une souche de Phytoseiulus persimilis Athias Henriot Full text
1985
Avella, Martine | Fournier, D. | Pralavorio, M. | Bergé, J Baptiste
Selection pour la resistance a la deltamethrine d'une souche de Phytoseiulus persimilis Athias Henriot Full text
1985
Avella, Martine | Fournier, D. | Pralavorio, M. | Bergé, J Baptiste
In order to make a strain of Phytoseiulus persimitis Athias-Henriot resistant to several pesticides, a strain already resistant to methidathion was selected for deltamethrin resistance. Seven rounds of selection resulted in about a 10-fold increase in LC 50. The level of deltamethrin resistance was too weak for direct use in the field, but it may facilitate establishment of the strain in glasshouses after a deltamethrin application. | Dans le cadre d’un programme visant à rendre une souche de Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot résistant à l’ensemble des produits phytosanitaires, nous avons sélectionné une souche déjà résistante au méthidathion, pour la résistance à la deltaméthrine. Pour cela, nous avons, à intervalles réguliers, traité la population à une dose mortelle pour 50 p. 100 des individus. L’acquisition de cette résistance, bien qu’insuffisante pour que les adultes survivent à une application de deltaméthrine sur le terrain, devrait permettre à cette souche d’être moins affectée par des résidus provenant de traitements antérieurs au lâcher.
Show more [+] Less [-]Selection pour la resistance a la deltamethrine d'une souche de Phytoseiulus persimilis Athias Henriot
1985
Avella , Martine (INRA , Antibes (France). UR 0129 Station de recherches de zoologie et de lutte biologique) | Fournier , D. (INRA , Antibes (France). UR 0129 Station de recherches de zoologie et de lutte biologique) | Pralavorio , M. (INRA , Antibes (France). UR 0129 Station de recherches de zoologie et de lutte biologique) | Bergé , J Baptiste (INRA , Antibes (France). UR 0130 Station de recherches de nématologie et de génétique moléculaire des invertébrés)
In order to make a strain of Phytoseiulus persimitis Athias-Henriot resistant to several pesticides, a strain already resistant to methidathion was selected for deltamethrin resistance. Seven rounds of selection resulted in about a 10-fold increase in LC 50. The level of deltamethrin resistance was too weak for direct use in the field, but it may facilitate establishment of the strain in glasshouses after a deltamethrin application. | Dans le cadre d’un programme visant à rendre une souche de Phytoseiulus persimilis Athias-Henriot résistant à l’ensemble des produits phytosanitaires, nous avons sélectionné une souche déjà résistante au méthidathion, pour la résistance à la deltaméthrine. Pour cela, nous avons, à intervalles réguliers, traité la population à une dose mortelle pour 50 p. 100 des individus. L’acquisition de cette résistance, bien qu’insuffisante pour que les adultes survivent à une application de deltaméthrine sur le terrain, devrait permettre à cette souche d’être moins affectée par des résidus provenant de traitements antérieurs au lâcher.
Show more [+] Less [-]Les cereales a paille, hotes de Meloidogyne naasi Franklin. II.- Variabilite du comportement multiplicateur ou resistant de varietes cultivees en France Full text
1985
Person-Dedryver, Françoise
Les cereales a paille, hotes de Meloidogyne naasi Franklin. II.- Variabilite du comportement multiplicateur ou resistant de varietes cultivees en France Full text
1985
Person-Dedryver, Françoise
La prévision des pullulations de Meloidogyne naasi Franklin et des risques de dommages consécutifs à ses attaques nécessite la connaissance de la qualité d’hôte des céréales à l’égard du nématode. Les potentialités d’hôte de variétés d’avoine, d’orge et de blé largement utilisées en France sont estimées dans ce travail. Les plantes à tester sont cultivées sur sol contaminé à 2 niveaux d’infestation : l’un fort (entre 18 et 26 L2/g de sol), l’autre faible (entre 3 et 7 L2). Après une extraction en juillet, le comptage des femelles et des oeufs révèle une importante variabilité selon les variétés de chaque espèce de céréales étudiée. Néanmoins, le classement de ces espèces suivant leurs potentialités d’hôte vis-à-vis de M. naasi est possible. L’orge d’hiver est, parmi les céréales testées, celle qui fournit le plus de femelles et d’oeufs par plante pour les deux potentiels infectieux. Globalement, l’orge de printemps et le blé d’hiver ont des capacités d’hôte identiques, mais bien inférieures à celles de l’orge d’hiver. L’avoine (de type hiver ou printemps) peut être considérée comme un très mauvais hôte dans les conditions de culture françaises. Dans la pratique agricole, la limitation des populations infestantes dans le sol peut passer par la culture d’avoine ou de variétés de blé d’hiver ou d’orge de printemps multipliant peu le nématode. | The damage caused by Meloidogyne naasi Franklin in cereal production may be foreseen, if the host behaviour of different cereal species for the nematode is known. With this aim, a study of host quality was made on oat, barley and wheat varieties widely cultivated in France. All tested plants were grown on infested soil at two degrees of infestation : the first was large and averaged about 18 and 26 L2 stage larvae per g of soil, and the second was small, between 3 and 7 L2. Extraction and counting of nematodes issued from cereal roots in July showed wide variability in the production of females and eggs on the varieties of each species. However it was still possible to classify them as hosts. Winter barley was the cereal species tested which gave the largest number of females or eggs per plant, whatever the infestation level. Generally spring barley and winter wheat were equally good hosts, but much less so than winter barley. Winter or spring oats were very poor hosts under French field conditions. In agricultural practice, the growing of poor hosts such as oats or some varieties of spring barley and winter wheat, should decrease the infestation level of M. naasi in the soil and thus provide a method of control.
Show more [+] Less [-]Les cereales a paille, hotes de Meloidogyne naasi Franklin. II.- Variabilite du comportement multiplicateur ou resistant de varietes cultivees en France
1985
Person-Dedryver , Françoise (INRA (France). UR 0119 Laboratoire de recherches de la chaire de Zoologie de l'ENSAR)
La prévision des pullulations de Meloidogyne naasi Franklin et des risques de dommages consécutifs à ses attaques nécessite la connaissance de la qualité d’hôte des céréales à l’égard du nématode. Les potentialités d’hôte de variétés d’avoine, d’orge et de blé largement utilisées en France sont estimées dans ce travail. Les plantes à tester sont cultivées sur sol contaminé à 2 niveaux d’infestation : l’un fort (entre 18 et 26 L2/g de sol), l’autre faible (entre 3 et 7 L2). Après une extraction en juillet, le comptage des femelles et des oeufs révèle une importante variabilité selon les variétés de chaque espèce de céréales étudiée. Néanmoins, le classement de ces espèces suivant leurs potentialités d’hôte vis-à-vis de M. naasi est possible. L’orge d’hiver est, parmi les céréales testées, celle qui fournit le plus de femelles et d’oeufs par plante pour les deux potentiels infectieux. Globalement, l’orge de printemps et le blé d’hiver ont des capacités d’hôte identiques, mais bien inférieures à celles de l’orge d’hiver. L’avoine (de type hiver ou printemps) peut être considérée comme un très mauvais hôte dans les conditions de culture françaises. Dans la pratique agricole, la limitation des populations infestantes dans le sol peut passer par la culture d’avoine ou de variétés de blé d’hiver ou d’orge de printemps multipliant peu le nématode. | The damage caused by Meloidogyne naasi Franklin in cereal production may be foreseen, if the host behaviour of different cereal species for the nematode is known. With this aim, a study of host quality was made on oat, barley and wheat varieties widely cultivated in France. All tested plants were grown on infested soil at two degrees of infestation : the first was large and averaged about 18 and 26 L2 stage larvae per g of soil, and the second was small, between 3 and 7 L2. Extraction and counting of nematodes issued from cereal roots in July showed wide variability in the production of females and eggs on the varieties of each species. However it was still possible to classify them as hosts. Winter barley was the cereal species tested which gave the largest number of females or eggs per plant, whatever the infestation level. Generally spring barley and winter wheat were equally good hosts, but much less so than winter barley. Winter or spring oats were very poor hosts under French field conditions. In agricultural practice, the growing of poor hosts such as oats or some varieties of spring barley and winter wheat, should decrease the infestation level of M. naasi in the soil and thus provide a method of control.
Show more [+] Less [-]Absorption, degradation et transport du phosethyl-Al et de son metabolite chez la tomate (Lycopersicon esculentum Mill.) Full text
1985
Luttringer, Michel | De Cormis, L.
Absorption, degradation et transport du phosethyl-Al et de son metabolite chez la tomate (Lycopersicon esculentum Mill.) Full text
1985
Luttringer, Michel | De Cormis, L.
Trois techniques différentes (traitement de sol par arrosage, absorption pétiolaire et pulvérisation foliaire partielle après protection d’une partie de la plante) sont utilisées pour suivre le comportement du phoséthyl-Al et de son métabolite, l’acide phosphoreux. Les résultats obtenus montrent que le phoséthyl-Al est absorbé par la plante et qu’il peut également migrer aussi bien dans le sens descendant qu’ascendant. Au cours de son déplacement, il subit une dégradation en acide phosphoreux. Ce composé, susceptible d’être lui-même absorbé en tant que tel par la plante, est aussi mobile dans les deux directions, mais tend à migrer préférentiellement vers les parties apicales. Dans le cas des traitements du sol, des hypothèses sont avancées pour expliquer la limitation de l’absorption avec l’augmentation de la dose offerte. | Three different techniques (soil watering, petiole absorption and partial spraying after protection of a part of plant) were used to study the behaviour of fosetyl-Al and its metabolite, phosphorous acid. The results showed that fosetyl-Al was absorbed by the plant and could migrate as well downward as upward. During its movement, fosetyl-Al was degraded to phosphorous acid. This compound, which can itself be absorbed by the plant, could also move in the two directions but tended to migrate preferentially towards the apex. In the case of soil watering, uptake became limited as dosage was increased and explanations are put forward for this.
Show more [+] Less [-]Absorption, degradation et transport du phosethyl-Al et de son metabolite chez la tomate (Lycopersicon esculentum Mill.)
1985
Luttringer , Michel (INRA , Montfavet (France). 0696 Unité régionale du service de recherches intégrées sur les productions végétales et la protection des cultures (SRIV)) | De Cormis , L. (INRA , Montfavet (France). 0696 Unité régionale du service de recherches intégrées sur les productions végétales et la protection des cultures (SRIV))
Trois techniques différentes (traitement de sol par arrosage, absorption pétiolaire et pulvérisation foliaire partielle après protection d’une partie de la plante) sont utilisées pour suivre le comportement du phoséthyl-Al et de son métabolite, l’acide phosphoreux. Les résultats obtenus montrent que le phoséthyl-Al est absorbé par la plante et qu’il peut également migrer aussi bien dans le sens descendant qu’ascendant. Au cours de son déplacement, il subit une dégradation en acide phosphoreux. Ce composé, susceptible d’être lui-même absorbé en tant que tel par la plante, est aussi mobile dans les deux directions, mais tend à migrer préférentiellement vers les parties apicales. Dans le cas des traitements du sol, des hypothèses sont avancées pour expliquer la limitation de l’absorption avec l’augmentation de la dose offerte. | Three different techniques (soil watering, petiole absorption and partial spraying after protection of a part of plant) were used to study the behaviour of fosetyl-Al and its metabolite, phosphorous acid. The results showed that fosetyl-Al was absorbed by the plant and could migrate as well downward as upward. During its movement, fosetyl-Al was degraded to phosphorous acid. This compound, which can itself be absorbed by the plant, could also move in the two directions but tended to migrate preferentially towards the apex. In the case of soil watering, uptake became limited as dosage was increased and explanations are put forward for this.
Show more [+] Less [-]Comparaison de la variabilité de populations d’abricotiers issus de graines irradiées et non irradiées de même origine Full text
1985
Legave, Jean-Michel
Comparaison de la variabilité de populations d’abricotiers issus de graines irradiées et non irradiées de même origine Full text
1985
Legave, Jean-Michel
The variability of apricot seedlings obtained after increasing amounts of low intensity gamma-ray irradiation was compared with the variability of a control population. Some trees with a double phenotype and more numerous trees with homogeneous phenotype but « original » for one or several characters, compared with the variability of control seedlings, were observed among the irradiated seedlings with a frequency not connected with the amount of treatment. All these trees could be considered as supposed mutants. Most of them showed an earlier ripening time than control seedlings (favourable result). On the other hand many also showed an early blooming time and/or a low fruitfulness (unfavourable). In the same way vigour and fruitfulness were excessively low for most of the trees obtained after sublethal irradiation (300 Gy). These results, as well as other observations, have led us to discuss the problem of screening M1 mutants, the agronomical advantages of results and the continuation of such a study. | La variabilité d’abricotiers issus de graines irradiées à des doses croissantes d’un rayonnement gamma à faible débit de dose est comparée à celle d’une population témoin. Parmi les irradiés ont été observés, avec une fréquence non liée à la dose de traitement, quelques individus présentant un double phénotype et des individus plus nombreux à phénotype homogène mais « original » pour un ou plusieurs caractères par rapport à la variabilité phénotypique des témoins. Tous ces individus peuvent être considérés comme de présumés mutants. Pour une large majorité d’entre eux, la maturité des fruits est apparue relativement précoce par rapport à celle des témoins (aspect avantageux). Par contre, bien que dans une moindre mesure, beaucoup ont présenté une floraison précoce et/ou une faible productivité (aspects désavantageux). De même, à partir d’une dose de traitement à effet sublétal sur la germination (300 Gy), la vigueur et la productivité ont été excessivement diminuées pour presque tous les individus issus de ce traitement. Ces principaux résultats ainsi que diverses autres observations servent d’éléments de base à une discussion sur le problème du criblage de mutants en M1 dans le cas de graines d’arbres fruitiers, l’intérêt agronomique des résultats obtenus et la poursuite d’une telle étude.
Show more [+] Less [-]Comparaison de la variabilité de populations d’abricotiers issus de graines irradiées et non irradiées de même origine
1985
Legave , Jean-Michel (INRA , Montpellier (France). UR 0391 Laboratoire de recherches de la chaire d'arboriculture fruitière)
The variability of apricot seedlings obtained after increasing amounts of low intensity gamma-ray irradiation was compared with the variability of a control population. Some trees with a double phenotype and more numerous trees with homogeneous phenotype but « original » for one or several characters, compared with the variability of control seedlings, were observed among the irradiated seedlings with a frequency not connected with the amount of treatment. All these trees could be considered as supposed mutants. Most of them showed an earlier ripening time than control seedlings (favourable result). On the other hand many also showed an early blooming time and/or a low fruitfulness (unfavourable). In the same way vigour and fruitfulness were excessively low for most of the trees obtained after sublethal irradiation (300 Gy). These results, as well as other observations, have led us to discuss the problem of screening M1 mutants, the agronomical advantages of results and the continuation of such a study. | La variabilité d’abricotiers issus de graines irradiées à des doses croissantes d’un rayonnement gamma à faible débit de dose est comparée à celle d’une population témoin. Parmi les irradiés ont été observés, avec une fréquence non liée à la dose de traitement, quelques individus présentant un double phénotype et des individus plus nombreux à phénotype homogène mais « original » pour un ou plusieurs caractères par rapport à la variabilité phénotypique des témoins. Tous ces individus peuvent être considérés comme de présumés mutants. Pour une large majorité d’entre eux, la maturité des fruits est apparue relativement précoce par rapport à celle des témoins (aspect avantageux). Par contre, bien que dans une moindre mesure, beaucoup ont présenté une floraison précoce et/ou une faible productivité (aspects désavantageux). De même, à partir d’une dose de traitement à effet sublétal sur la germination (300 Gy), la vigueur et la productivité ont été excessivement diminuées pour presque tous les individus issus de ce traitement. Ces principaux résultats ainsi que diverses autres observations servent d’éléments de base à une discussion sur le problème du criblage de mutants en M1 dans le cas de graines d’arbres fruitiers, l’intérêt agronomique des résultats obtenus et la poursuite d’une telle étude.
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