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Determination de la masse volumique du solide pour un echantillon de sol argileux: validite de la methode utilisant les proprietes de retrait de l'echantillon remanie sous dessication pneumatique Full text
1989
Bruand, A. | Sorani, V. | Hardy, M. | Gaillard, Hervé
Determination de la masse volumique du solide pour un echantillon de sol argileux: validite de la methode utilisant les proprietes de retrait de l'echantillon remanie sous dessication pneumatique Full text
1989
Bruand, A. | Sorani, V. | Hardy, M. | Gaillard, Hervé
La masse volumique du solide ( ρs déterminée à partir des propriétés de retrait est inférieure à celle obtenue en pycnométrie à gaz. Cette différence est expliquée par le piégeage d’air dans les échantillons après les avoir soumis à une pression pneumatique. | The particle density value (ρs) calculated from the shrinkage curve is lower than that obtained by using a gas pycnometer. This difference is explained by the presence of air trapped inside the sample after subjecting it to pneumatic pressure.
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1989
Bruand , A. (INRA (France). UR 0272 Unité de recherche Science du Sol) | Sorani , V. (Institut National Agronomique Paris Grignon, Thiverval-Grignon(France). Chaire de Pédologie) | Hardy , M. (INRA (France). UR 0272 Unité de recherche Science du Sol) | Gaillard , H. (INRA (France). UR 0272 Unité de recherche Science du Sol)
La masse volumique du solide ( ρs déterminée à partir des propriétés de retrait est inférieure à celle obtenue en pycnométrie à gaz. Cette différence est expliquée par le piégeage d’air dans les échantillons après les avoir soumis à une pression pneumatique. | The particle density value (ρs) calculated from the shrinkage curve is lower than that obtained by using a gas pycnometer. This difference is explained by the presence of air trapped inside the sample after subjecting it to pneumatic pressure.
Show more [+] Less [-]L'oidium americain du haricot (Erysiphe polygoni D.C.) dans la zone antillaise: recherche de geniteurs de resistance Full text
1989
Messiaen, C.M. | Pauvert, P. | Jacqua, G. | Laraque, A.
L'oidium americain du haricot (Erysiphe polygoni D.C.) dans la zone antillaise: recherche de geniteurs de resistance Full text
1989
Messiaen, C.M. | Pauvert, P. | Jacqua, G. | Laraque, A.
The american bean powdery mildew seems to be very virulent in the West Indian area. Resistant lines have been found in Haiti, such as "Kenscoff I", "Salagnac 86", "Salagnac 131". Borlotto nano Vigevano" was used as susceptible check. The study of the progeny from crosses between these cultivars allowed to distinguish two components of the resistance obtained from Haitian lines: "seedling resistance", induced by a dominant gene, and "adult plant resistance", which seems polygenic recessive. | L’oïdium américain du haricot semble particulièrement virulent dans la zone antillaise, où il attaque des variétés considérées comme résistantes aux Etats-Unis. Des géniteurs de résistance ont été trouvés en Haïti, parmi lesquels les lignées "Kenscoff I", "Salagnac 86", "Salagnac 131" ont été plus particulièrement utilisées dans les programmes de sélection. L’étude de la descendance de croisements a permis de définir une "composante précoce" (résistance des plantules) et une "composante tardive" (tolérance du feuillage adulte) dans la résistance issue des géniteurs haïtiens. La première est liée à un gène dominant, la deuxième, d’hérédité polygénique, est à tendance récessive.
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1989
Messiaen , C.M. (INRA (France). 0386 Laboratoire de Biochimie et physiologie moléculaires des plantes) | Pauvert , P. (INRA , Pointe-à-Pitre (France). UR 0979 Laboratoire de recherches en productions végétales: secteur pathologie végétale et malherbologie) | Jacqua , G. (INRA , Pointe-à-Pitre (France). UR 0979 Laboratoire de recherches en productions végétales: secteur pathologie végétale et malherbologie) | Laraque , A. (Centre de Recherche Formation Développement de Madian-Salagnac-Aquin, Port-au-Prince(Haïti).)
The american bean powdery mildew seems to be very virulent in the West Indian area. Resistant lines have been found in Haiti, such as "Kenscoff I", "Salagnac 86", "Salagnac 131". Borlotto nano Vigevano" was used as susceptible check. The study of the progeny from crosses between these cultivars allowed to distinguish two components of the resistance obtained from Haitian lines: "seedling resistance", induced by a dominant gene, and "adult plant resistance", which seems polygenic recessive. | L’oïdium américain du haricot semble particulièrement virulent dans la zone antillaise, où il attaque des variétés considérées comme résistantes aux Etats-Unis. Des géniteurs de résistance ont été trouvés en Haïti, parmi lesquels les lignées "Kenscoff I", "Salagnac 86", "Salagnac 131" ont été plus particulièrement utilisées dans les programmes de sélection. L’étude de la descendance de croisements a permis de définir une "composante précoce" (résistance des plantules) et une "composante tardive" (tolérance du feuillage adulte) dans la résistance issue des géniteurs haïtiens. La première est liée à un gène dominant, la deuxième, d’hérédité polygénique, est à tendance récessive.
Show more [+] Less [-]Utilisation de la graine de colza en aviculture. Revue bibliographique et résultats de deux essais Full text
1989
Leclercq, B. | Lessire, Michel | Guy, Gerard | Hallouis, Jean-Marc | Conan, L.
Utilisation de la graine de colza en aviculture. Revue bibliographique et résultats de deux essais Full text
1989
Leclercq, B. | Lessire, Michel | Guy, Gerard | Hallouis, Jean-Marc | Conan, L.
La graine de colza peut être introduite dans les aliments destinés aux volailles a un taux d’incorporation maximum de 10 %. Il est toutefois indispensable de lui faire subir un traitement mécanique et/ou thermique qui en modifie l’intégrité physique de façon à la rendre parfaitement digestible. Parmi ces traitements technologiques figurent : le broyage, la granulation de l’aliment composé ou l’extrusion en mélange avec une autre matière première. Ils augmentent tous la digestibilité des lipides et la valeur énergétique de la graine. Au cours de deux expériences on a évalué la valeur nutritionnelle d’un mélange de colza et de blé chez la poule pondeuse et d’un mélange de colza et de pois chez le poulet de chair. Les résultats sont présentés et confirment la possibilité d’incorporer jusqu’à 10 % de graine de colza dans les aliments destinés aux volailles. En formulation le colza entre en compétition beaucoup plus avec les céréales ou les sources d’énergie (manioc, matières grasses) qu’avec les sources de protéines (tourteau de soja).
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1989
Leclercq , B. (INRA , Nouzilly (France). UR 0083 Station de recherches avicoles) | Lessire , Michel (INRA , Nouzilly (France). UR 0083 Station de recherches avicoles) | Guy , Gerard (INRA , Nouzilly (France). UR 0083 Station de recherches avicoles) | Hallouis , Jean-Marc (INRA , Nouzilly (France). UR 0083 Station de recherches avicoles) | Conan , L. (INRA , Surgères (France). UR 0255 Unité des monogastriques)
La graine de colza peut être introduite dans les aliments destinés aux volailles a un taux d’incorporation maximum de 10 %. Il est toutefois indispensable de lui faire subir un traitement mécanique et/ou thermique qui en modifie l’intégrité physique de façon à la rendre parfaitement digestible. Parmi ces traitements technologiques figurent : le broyage, la granulation de l’aliment composé ou l’extrusion en mélange avec une autre matière première. Ils augmentent tous la digestibilité des lipides et la valeur énergétique de la graine. Au cours de deux expériences on a évalué la valeur nutritionnelle d’un mélange de colza et de blé chez la poule pondeuse et d’un mélange de colza et de pois chez le poulet de chair. Les résultats sont présentés et confirment la possibilité d’incorporer jusqu’à 10 % de graine de colza dans les aliments destinés aux volailles. En formulation le colza entre en compétition beaucoup plus avec les céréales ou les sources d’énergie (manioc, matières grasses) qu’avec les sources de protéines (tourteau de soja).
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1989
B. LECLERCQ | M. LESSIRE | G. GUY | J.M. HALLOUIS | L. CONAN
La graine de colza peut être introduite dans les aliments destinés aux volailles à un taux d’incorporation maximum de 10 %. Il est toutefois indispensable de lui faire subir un traitement mécanique et/ou thermique qui en modifie l’intégrité physique de façon à la rendre parfaitement digestible. Parmi ces traitements technologiques figurent : le broyage, la granulation de l’aliment composé ou l’extrusion en mélange avec une autre matière première. Ils augmentent tous la digestibilité des lipides et la valeur énergétique de la graine. Au cours de deux expériences on a évalué la valeur nutritionnelle d’un mélange de colza et de blé chez la poule pondeuse et d’un mélange de colza et de pois chez le poulet de chair. Les résultats sont présentés et confirment la possibilité d’incorporer jusqu’à 10 % de graine de colza dans les aliments destinés aux volailles. En formulation le colza entre en compétition beaucoup plus avec les céréales ou les sources d’énergie (manioc, matières grasses) qu’avec les sources de protéines (tourteau de soja).
Show more [+] Less [-]Mesures in vivo et in situ de l'activite nitrate reductase chez le pecher(Prunus persica (L.) Batsch) Full text
1989
Bussi, C. | Habib, Robert | Salsac, L.
Mesures in vivo et in situ de l'activite nitrate reductase chez le pecher(Prunus persica (L.) Batsch) Full text
1989
Bussi, C. | Habib, Robert | Salsac, L.
Une activité nitrate réductase (ANR) est détectable chez le pêcher à l’aide des méthodes de mesure in vivo et in situ. La valeur de cette activité dépend des conditions d’incubation (durée, température, concentration en nitrate du milieu) et de prélèvement (type de feuille, heure de la journée). L’activité nitrate réductase foliaire est inductible par son substrat, le nitrate; l’ANR foliaire maximale obtenue après induction est de l’ordre de 2 μmol. N02-. h-1. g-1 MF. Une activité NR a pu aussi être décelée dans des racines de pêchers à l’aide des méthodes de mesure in vivo et in situ. Cette nitrate réductase s’avère également inductible par son substrat. Dans nos conditions d’expérience, l’activité de cette enzyme au niveau des racines apparaît supérieure à celle mesurée au niveau des feuilles. | A nitrate reductase activity (NRA) in peach-tree leaves is detected using in vivo or in situ assays. This nitrate reductase activity is affected by conditions of incubation (duration, temperature, nitrate concentration of the medium) and of sample (type of leaf, hour of the day). Furthermore, the leaf nitrate reductase activity is induced by nitrate; the highest NRA obtained in leaves after induction is about 2 μmol. N02-. h-1. g-1 FW. A root NRA has also been found with in situ and in vivo assays. This nitrate reductase is induced by nitrate, too. But the root NRA is more important than leaf NRA in our experimental conditions.
Show more [+] Less [-]Mesures in vivo et in situ de l'activite nitrate reductase chez le pecher(Prunus persica (L.) Batsch)
1989
Bussi , C. (INRA , Saint-Marcel-lès-Valence (France). 0000 Unité régionale du service de recherches intégrées sur les productions végétales et la protection des plantes) | Habib , R. (INRA (France). UR 0739 Unité d'Écophysiologie et horticulture) | Salsac , L. (INRA (France). UR 0388 Unité de Science du sol)
Une activité nitrate réductase (ANR) est détectable chez le pêcher à l’aide des méthodes de mesure in vivo et in situ. La valeur de cette activité dépend des conditions d’incubation (durée, température, concentration en nitrate du milieu) et de prélèvement (type de feuille, heure de la journée). L’activité nitrate réductase foliaire est inductible par son substrat, le nitrate; l’ANR foliaire maximale obtenue après induction est de l’ordre de 2 μmol. N02-. h-1. g-1 MF. Une activité NR a pu aussi être décelée dans des racines de pêchers à l’aide des méthodes de mesure in vivo et in situ. Cette nitrate réductase s’avère également inductible par son substrat. Dans nos conditions d’expérience, l’activité de cette enzyme au niveau des racines apparaît supérieure à celle mesurée au niveau des feuilles. | A nitrate reductase activity (NRA) in peach-tree leaves is detected using in vivo or in situ assays. This nitrate reductase activity is affected by conditions of incubation (duration, temperature, nitrate concentration of the medium) and of sample (type of leaf, hour of the day). Furthermore, the leaf nitrate reductase activity is induced by nitrate; the highest NRA obtained in leaves after induction is about 2 μmol. N02-. h-1. g-1 FW. A root NRA has also been found with in situ and in vivo assays. This nitrate reductase is induced by nitrate, too. But the root NRA is more important than leaf NRA in our experimental conditions.
Show more [+] Less [-]Etude de la productivite des parcours de la zone d'Ain-Leuh (Moyen Atlas, plateau central). I-Effets de la frequence d'exploitation et du taux de couvert arbore sur la productivite herbacee Full text
1989
Qarro, M. | De Montard, F.X.
Etude de la productivite des parcours de la zone d'Ain-Leuh (Moyen Atlas, plateau central). I-Effets de la frequence d'exploitation et du taux de couvert arbore sur la productivite herbacee Full text
1989
Qarro, M. | De Montard, F.X.
Rough pastures in Middle Atlas spread over four bioclimatic levels: 1, Quercus ilex and Juniperus oxycedrus forest; 2, pure Quercus ilex forest; 3, Cedrus atlantica and Quercus ilex forest; 4, unsylvatic low grass, from 900 to 2 200 m above sea level. Dry matter production of grass was measured from and underneath the tree canopy in 1983 and 1984 in order to compare the effect of a variety of intervals between cuts and to measure shadow influence. Grass growth mainly occured from late January to early July; it began later at Cedrus-Quercus and low grass sites and stopped earlier at pure Quercus and Quercus-Juniperus sites, depending on longer frost persistence at highest levels, on earlier arrival of drought at lowest levels. Mean dry matter production was 2.5 kg ha-1 d-1 on light 30 cm deep soils at Quercus-Juniperus level and dolomitic soils at Cedrus-Quercus level. It was 5.5 kg ha-1 d-1 on colluvial soils at pure Quercus level and basaltic soil at lowgrass level Water balance and legume species abundance explained a great part of D.M. variance. Four cuts per year were more productive than three or five. Missing the earliest cuts resulted in much lower D.M. yields: a half with two cuts; three of five with an only cut per year. Shadow poorly reduced the yield up to a forest canopy cover of about 60%: from 35 to 65% cover, the canopy resulted in 30% fall in seasonal yield as water supply was not limiting, but had no effect as relative water deficit occurred. A pasture and forestry mixed system, aiming a canopy of 60 to 70% cover, would result in better conditions for cattle breeding and timber as a whole. | Les parcours à moutons du Moyen Atlas sont étagés de 900 à 2 200 m d’altitude sur quatre formations : chênaie verte à oxycèdre, chênaie verte pure, cédraie et pelouse asylvatique. Une étude de la productivité de la strate herbacée à été menée en 1983 et 1984 pour comparer l’effet de différents intervalles entre coupes successives. La pousse de l’herbe a lieu principalement entre janvier et juillet; elle est retardée par le froid aux étages de la cédraie et de la pelouse, et ralentie précocement par la sécheresse aux étages de la chênaie. La productivité moyenne est de 2 à 3 kg de M.S. ha-1 j-1 sur les sols squelettiques de la chênaie à oxycèdre, et sur les sols dolomitiques de la cédraie; elle est de 5 à 6 kg ha-1 j-1 sur les sols d’éboulis de la chênaie verte pure et le sol basaltique de la pelouse. Les différences de production entre saisons et entre étages sont expliquées principalement par le niveau d’alimentation en eau et l’abondance des légumineuses. Le rythme de coupe le plus favorable est 4 coupes par an; 3 ou 5 coupes par an produisent encore 75 à 90% du rythme 4 coupes; l’absence de coupe précoce entraîne l’inhibition des organes de repousse végétative et une réduction de la productivité annuelle, de moitié avec deux coupes, des 3/5e avec une seule coupe. L’ombrage des arbres ne réduit pas ou peu la productivité de la strate herbacée jusqu’à 60% de couvert arboré: a) lorsque l’alimentation en eau n’est pas limitante, la productivité baisse d’un tiers sous un couvert de 35 à 65%; b) lorsqu’une sécheresse relative intervient, la productivité n’est pas affectée par l’ombrage. Au-delà de 70%, la productivité de la strate herbacée baisse très rapidement. Un aménagement sylvo-pastoral réalisant entre 60 et 70% de couvert arboré constituerait donc un objectif très favorable à la cohabitation de l’élevage et de la production de bois.
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1989
Qarro , M. (Ecole Nationale Forestière d'Ingénieurs, Tabriquet-Salé(Maroc).) | De Montard , F.X. (INRA (France). UR 0874 Unité de recherche d'Agronomie de Clermont-Ferrand)
Rough pastures in Middle Atlas spread over four bioclimatic levels: 1, Quercus ilex and Juniperus oxycedrus forest; 2, pure Quercus ilex forest; 3, Cedrus atlantica and Quercus ilex forest; 4, unsylvatic low grass, from 900 to 2 200 m above sea level. Dry matter production of grass was measured from and underneath the tree canopy in 1983 and 1984 in order to compare the effect of a variety of intervals between cuts and to measure shadow influence. Grass growth mainly occured from late January to early July; it began later at Cedrus-Quercus and low grass sites and stopped earlier at pure Quercus and Quercus-Juniperus sites, depending on longer frost persistence at highest levels, on earlier arrival of drought at lowest levels. Mean dry matter production was 2.5 kg ha-1 d-1 on light 30 cm deep soils at Quercus-Juniperus level and dolomitic soils at Cedrus-Quercus level. It was 5.5 kg ha-1 d-1 on colluvial soils at pure Quercus level and basaltic soil at lowgrass level Water balance and legume species abundance explained a great part of D.M. variance. Four cuts per year were more productive than three or five. Missing the earliest cuts resulted in much lower D.M. yields: a half with two cuts; three of five with an only cut per year. Shadow poorly reduced the yield up to a forest canopy cover of about 60%: from 35 to 65% cover, the canopy resulted in 30% fall in seasonal yield as water supply was not limiting, but had no effect as relative water deficit occurred. A pasture and forestry mixed system, aiming a canopy of 60 to 70% cover, would result in better conditions for cattle breeding and timber as a whole. | Les parcours à moutons du Moyen Atlas sont étagés de 900 à 2 200 m d’altitude sur quatre formations : chênaie verte à oxycèdre, chênaie verte pure, cédraie et pelouse asylvatique. Une étude de la productivité de la strate herbacée à été menée en 1983 et 1984 pour comparer l’effet de différents intervalles entre coupes successives. La pousse de l’herbe a lieu principalement entre janvier et juillet; elle est retardée par le froid aux étages de la cédraie et de la pelouse, et ralentie précocement par la sécheresse aux étages de la chênaie. La productivité moyenne est de 2 à 3 kg de M.S. ha-1 j-1 sur les sols squelettiques de la chênaie à oxycèdre, et sur les sols dolomitiques de la cédraie; elle est de 5 à 6 kg ha-1 j-1 sur les sols d’éboulis de la chênaie verte pure et le sol basaltique de la pelouse. Les différences de production entre saisons et entre étages sont expliquées principalement par le niveau d’alimentation en eau et l’abondance des légumineuses. Le rythme de coupe le plus favorable est 4 coupes par an; 3 ou 5 coupes par an produisent encore 75 à 90% du rythme 4 coupes; l’absence de coupe précoce entraîne l’inhibition des organes de repousse végétative et une réduction de la productivité annuelle, de moitié avec deux coupes, des 3/5e avec une seule coupe. L’ombrage des arbres ne réduit pas ou peu la productivité de la strate herbacée jusqu’à 60% de couvert arboré: a) lorsque l’alimentation en eau n’est pas limitante, la productivité baisse d’un tiers sous un couvert de 35 à 65%; b) lorsqu’une sécheresse relative intervient, la productivité n’est pas affectée par l’ombrage. Au-delà de 70%, la productivité de la strate herbacée baisse très rapidement. Un aménagement sylvo-pastoral réalisant entre 60 et 70% de couvert arboré constituerait donc un objectif très favorable à la cohabitation de l’élevage et de la production de bois.
Show more [+] Less [-]Production de styrene par Penicillium camemberti Thom Full text
1989
Adda, Jerome | Dekimpe, Jocelyne | Vassal, L. | Spinnler, Henry-Eric
Production de styrene par Penicillium camemberti Thom Full text
1989
Adda, Jerome | Dekimpe, Jocelyne | Vassal, L. | Spinnler, Henry-Eric
L'apparition du goût de Celluloïd dans les fromages à pâte molle à croûte fleurie est liée à la présence de styrène dans ces fromages. L'accumulation de cette molécule n'est observée que sur des cultures de souches particulières de Penicillium camemberti. Elle semble liée à un dérèglement du métabolisme oxydatif de ces souches. | The Celluloïd taste observed in some mould-ripened cheeses is bound to the presence of styrene in these cheeses. The accumulation of this molecule was only detected on cultures of some strains of Penicillium camemberti. It seems to be bound to a deregulation of oxidative metabolism of tneee strains.
Show more [+] Less [-]Production de styrene par Penicillium camemberti Thom
1989
Adda , Jerome (INRA , Dijon (France). UR 1129 Laboratoire de recherche sur les arômes) | Dekimpe , Jocelyne (INRA , Dijon (France). UR 1129 Laboratoire de recherche sur les arômes) | Vassal , L. (INRA , Jouy-en-Josas (France). UR 0000 Station de recherches laitières) | Spinnler , Henry-Eric (INRA , Dijon (France). UR 1129 Laboratoire de recherche sur les arômes)
L'apparition du goût de Celluloïd dans les fromages à pâte molle à croûte fleurie est liée à la présence de styrène dans ces fromages. L'accumulation de cette molécule n'est observée que sur des cultures de souches particulières de Penicillium camemberti. Elle semble liée à un dérèglement du métabolisme oxydatif de ces souches. | The Celluloïd taste observed in some mould-ripened cheeses is bound to the presence of styrene in these cheeses. The accumulation of this molecule was only detected on cultures of some strains of Penicillium camemberti. It seems to be bound to a deregulation of oxidative metabolism of tneee strains.
Show more [+] Less [-]Relations entre matière sèche a la floraison et rendement en grains chez le maïs: importance du rayonnement disponible par plante Full text
1989
Ruget, F.
Relations entre matière sèche a la floraison et rendement en grains chez le maïs: importance du rayonnement disponible par plante Full text
1989
Ruget, F.
Des indicateurs précoces de rendement sont souvent utilisés, mais la bonne connaissance de leur signification physiologique est essentielle à leur bon emploi. Ainsi en est-il du poids de matière sèche à la floraison. Le présent travail montre que des plantes ayant des poids de matière sèche différents à la floraison peuvent produire la même quantité de grains. Il s’agit de cultures à deux densités différentes (d et D=2d). Le traitement le plus dense subit un éclaircissage légèrement antérieur à la floraison, le ramenant à une densité é proche de d. Ni le nombre de fleurs initiées, ni le nombre de grains potentiels ne sont différents entre les deux cultures. Les plantes disposent donc après éclaircissage des mêmes quantités de rayonnement. Les productions de grains par plante sont équivalentes. Les différences de production antérieures à l’éclaircissage se retrouvent à la récolte essentiellement sur le diamètre au collet des tiges et sur leur poids; le nombre de plantes sans épi est un peu plus élevé pour le traitement ayant subi une contrainte en début de cycle. A la période de contrainte la plus forte, c’est-à-dire juste avant l’éclaircissage, ces grandeurs étaient donc les seules sensibles. Le poids de matière sèche à la floraison doit ses qualités de bon indicateur de la production à la récolte : - d’une part, à la relation entre surface foliaire et poids de matière sèche à la floraison, - d’autre part, à la régularité de l’évolution de la surface foliaire après la floraison. En réalité, c’est le rayonnement disponible par plante après la floraison qui est déterminant pour la production de grains, dans nos conditions. Les variabilités génétiques et climatiques de ces relations seront analysées dans des travaux ultérieurs. | Many indices are used to estimate at an early stage (e.g. dry matter production at flowering) the final grain production. A knowledge of the physiological basis of these relations is a condition for their good use. The present work shows that plants with different dry matter production at flowering can produce the same quantity of grains per plant. Plants were grown at two sowing densities (d and D=2d) and a part of the thickest crop was partially thinned to a half density (e = d) some days before flowering. Differentiated flower number and potential grain number were not different for the two crops, plants received the same radiation quantities after flowering, but they did not have the same dry weight at flowering. Dry weight differences between crops at flowering are found at harvest essentially on stem weight, but grain production is not affected. Only basal stem diamefer, stem weight and number of plants without ear (greater for stressed crop) show sensitivity at maximum stress period (days before thinning). So the first factor for grain filling is the available global radiation per plant, if the potential grain number is not modified. Relations between dry matter at flowering and grain yield are based on a good leaf area ratio (leaf area/dry matter) and stability of plant leaf area after flowering. Dry weight at flowering is a good index for grain production if the amount of available radiation per plant remains the same. Genotypic and environmental variability of these relations will be analyzed in a further study.
Show more [+] Less [-]Relations entre matière sèche a la floraison et rendement en grains chez le maïs: importance du rayonnement disponible par plante
1989
Ruget , F. (INRA (France). UR 0253 Unité de recherches en Bioclimatologie)
Des indicateurs précoces de rendement sont souvent utilisés, mais la bonne connaissance de leur signification physiologique est essentielle à leur bon emploi. Ainsi en est-il du poids de matière sèche à la floraison. Le présent travail montre que des plantes ayant des poids de matière sèche différents à la floraison peuvent produire la même quantité de grains. Il s’agit de cultures à deux densités différentes (d et D=2d). Le traitement le plus dense subit un éclaircissage légèrement antérieur à la floraison, le ramenant à une densité é proche de d. Ni le nombre de fleurs initiées, ni le nombre de grains potentiels ne sont différents entre les deux cultures. Les plantes disposent donc après éclaircissage des mêmes quantités de rayonnement. Les productions de grains par plante sont équivalentes. Les différences de production antérieures à l’éclaircissage se retrouvent à la récolte essentiellement sur le diamètre au collet des tiges et sur leur poids; le nombre de plantes sans épi est un peu plus élevé pour le traitement ayant subi une contrainte en début de cycle. A la période de contrainte la plus forte, c’est-à-dire juste avant l’éclaircissage, ces grandeurs étaient donc les seules sensibles. Le poids de matière sèche à la floraison doit ses qualités de bon indicateur de la production à la récolte : - d’une part, à la relation entre surface foliaire et poids de matière sèche à la floraison, - d’autre part, à la régularité de l’évolution de la surface foliaire après la floraison. En réalité, c’est le rayonnement disponible par plante après la floraison qui est déterminant pour la production de grains, dans nos conditions. Les variabilités génétiques et climatiques de ces relations seront analysées dans des travaux ultérieurs. | Many indices are used to estimate at an early stage (e.g. dry matter production at flowering) the final grain production. A knowledge of the physiological basis of these relations is a condition for their good use. The present work shows that plants with different dry matter production at flowering can produce the same quantity of grains per plant. Plants were grown at two sowing densities (d and D=2d) and a part of the thickest crop was partially thinned to a half density (e = d) some days before flowering. Differentiated flower number and potential grain number were not different for the two crops, plants received the same radiation quantities after flowering, but they did not have the same dry weight at flowering. Dry weight differences between crops at flowering are found at harvest essentially on stem weight, but grain production is not affected. Only basal stem diamefer, stem weight and number of plants without ear (greater for stressed crop) show sensitivity at maximum stress period (days before thinning). So the first factor for grain filling is the available global radiation per plant, if the potential grain number is not modified. Relations between dry matter at flowering and grain yield are based on a good leaf area ratio (leaf area/dry matter) and stability of plant leaf area after flowering. Dry weight at flowering is a good index for grain production if the amount of available radiation per plant remains the same. Genotypic and environmental variability of these relations will be analyzed in a further study.
Show more [+] Less [-]Resistance de la luzerne (Medicago sativa L.) a des isolats de Colletotrichum trifolii (Bain et Essary) du bassin mediterraneen, notamment du Maroc Full text
1989
Gosset, H. | Troeung, B.M. | Raynal, G. | Huet, P.
Resistance de la luzerne (Medicago sativa L.) a des isolats de Colletotrichum trifolii (Bain et Essary) du bassin mediterraneen, notamment du Maroc Full text
1989
Gosset, H. | Troeung, B.M. | Raynal, G. | Huet, P.
Colletotrichum trifolii, agent de l’anthracnose de la luzerne, est important sur cette culture dans le Maroc oriental. Des contaminations artificielles effectuées à l’aide de 2 isolats de la région d’Oujda sur 22 cultivars et lignées de luzerne d’origine nord-américaine, flamande, méditerranéenne et marocaine, montrent que seul le cultivar américain Arc de même que 2 autres lignées américaines et une lignée française sont très résistants. Les autres cultivars ont des degrés de sensibilité divers. Certains présentent 10 à 15% de plantes résistantes (Gemini, Vertus), mais la majorité sont sensibles à très sensibles. La comparaison du pouvoir pathogène de 5 isolats du Maroc, du bassin méditerranéen et du Nord de la France, montre qu’ils sont très voisins par leur niveau d’agressivité et qu’ils appartiennent vraisemblablement à la race 1, commune dans le monde, se caractérisant par son absence de virulence particulière. | Colletotrichum trifolii, the agent which is responsible for alfalfa anthracnose, has a significant effect on this crop in eastern Morocco. Artificial contamination carried out by 2 isolates from the Oujda region on 22 alfalfa cultivars and breeding lines of north american, flemish, mediterranean and moroccan origin, showed that the cultivar Arc, as well as 2 american and 1 french lines are very resistant. The other cultivars showed various degrees of susceptibility. Some exhibited 10-15% resistant plants (Gemini, Vertus), but the majority were susceptible to very susceptible. When comparing the pathogenicity between 5 isolates from Morocco, mediterranean basin and North of France, it was shown that their aggressiveness did not vary greatly and that they might belong to race 1, common throughout the world, and characterised by its lack of special virulence.
Show more [+] Less [-]Resistance de la luzerne (Medicago sativa L.) a des isolats de Colletotrichum trifolii (Bain et Essary) du bassin mediterraneen, notamment du Maroc
1989
Gosset , H. (Université Mohammed Premier, Oujda(Maroc). Faculté des Sciences, Département de Biologie) | Troeung , B.M. (Université Mohammed Premier, Oujda(Maroc). Faculté des Sciences, Département de Biologie) | Raynal , G. (INRA , Thiverval-Grignon (France). UR 0000 Laboratoire de recherche de la chaire de pathologie végétale) | Huet , P. (INRA (France). 0211 Unité associée INRA/INA-PG d'Agronomie)
Colletotrichum trifolii, agent de l’anthracnose de la luzerne, est important sur cette culture dans le Maroc oriental. Des contaminations artificielles effectuées à l’aide de 2 isolats de la région d’Oujda sur 22 cultivars et lignées de luzerne d’origine nord-américaine, flamande, méditerranéenne et marocaine, montrent que seul le cultivar américain Arc de même que 2 autres lignées américaines et une lignée française sont très résistants. Les autres cultivars ont des degrés de sensibilité divers. Certains présentent 10 à 15% de plantes résistantes (Gemini, Vertus), mais la majorité sont sensibles à très sensibles. La comparaison du pouvoir pathogène de 5 isolats du Maroc, du bassin méditerranéen et du Nord de la France, montre qu’ils sont très voisins par leur niveau d’agressivité et qu’ils appartiennent vraisemblablement à la race 1, commune dans le monde, se caractérisant par son absence de virulence particulière. | Colletotrichum trifolii, the agent which is responsible for alfalfa anthracnose, has a significant effect on this crop in eastern Morocco. Artificial contamination carried out by 2 isolates from the Oujda region on 22 alfalfa cultivars and breeding lines of north american, flemish, mediterranean and moroccan origin, showed that the cultivar Arc, as well as 2 american and 1 french lines are very resistant. The other cultivars showed various degrees of susceptibility. Some exhibited 10-15% resistant plants (Gemini, Vertus), but the majority were susceptible to very susceptible. When comparing the pathogenicity between 5 isolates from Morocco, mediterranean basin and North of France, it was shown that their aggressiveness did not vary greatly and that they might belong to race 1, common throughout the world, and characterised by its lack of special virulence.
Show more [+] Less [-]Elaboration des reserves proteiques des graines a partir des photosynthetats recents ou remobilises chez deux varietes de soja. Influence d'irrigations fertilisantes azotees Full text
1989
Calmés, J. | Gelfi, N. | Viala, G. | Bouniols, A. | Blanchet, R.
Elaboration des reserves proteiques des graines a partir des photosynthetats recents ou remobilises chez deux varietes de soja. Influence d'irrigations fertilisantes azotees Full text
1989
Calmés, J. | Gelfi, N. | Viala, G. | Bouniols, A. | Blanchet, R.
Photosynthesis and storage in the seeds of soybean (Glycine max (L.) Merr) were studied in two cultivars, an indeterminate genotype «Weber» and a determinate line «172-16». After leaf 14C02 incorporation during the vegetative growth, labelled photosynthates were followed during fructification. They were utilized for pod development, preferentially for seed proteogenesis, while newly synthetized assimilates contributed more to lipidogenesis and glucogenesis. Photosynthate translocation and utilization were similar for both genotypes, only distribution in the whole plant was different. Agronomically, the determinate genotype appears preferable for intensive cropping. Fertilizing irrigation during fructification does not essentially change formation and transfer of assimilates, but foliar nitrogen metabolism contributes to a lesser extent to seed proteogenesis; then photosynthesis is stimulated. A deficiency of the symbiotic fixation and small nitrogen soil reserves can be compensated by fertillizing irrigation. | Une étude de la photosynthèse et de l’utilisation des assimilats pour l’élaboration des réserves des graines est réalisée pour deux variétés de soja (Glycine max (L.) Merr.), l’une «Weber» à croissance indéterminée, l’autre «172-16» à croissance déterminée. Après des charges en 14C02 effectuées durant la phase végétative, le devenir des composés marqués est suivi durant la période de fructification. Leur utilisation pour le développement des graines est comparée à celle des photosynthétats de formation récente. Ces derniers contribuent surtout à la mise en place des réserves glucidiques et lipidiques tandis que les premiers participent, pour une large part, à l’élaboration des protéines. La physiologie des deux variétés est très comparable; seule la distribution des assimilats dans la plante varie en fonction du type de croissance. D’un point de vue agronomique, le type déterminé conviendrait mieux pour des cultures intensives. L’irrigation fertilisante durant la fructification, sans modifier fondamentalement la formation et le devenir des photosynthétats, réduit le rôle du métabolisme azoté des feuilles dans l’alimentation des graines. Elle stimule l’activité photosynthétique; elle pourrait compléter une insuffisance de réserves azotées du sol et remédier à une fixation symbiotique déficiente.
Show more [+] Less [-]Elaboration des reserves proteiques des graines a partir des photosynthetats recents ou remobilises chez deux varietes de soja. Influence d'irrigations fertilisantes azotees
1989
Calmés , J. (Université Toulouse 3, Toulouse(France). Centre de Physiologie Végétale) | Gelfi , N. (INRA (France). UR 0062 Unité de recherche Agronomie) | Viala , G. (Université Toulouse 3, Toulouse(France). Centre de Physiologie Végétale) | Bouniols , A. (INRA (France). UR 0062 Unité de recherche Agronomie) | Blanchet , R. (INRA (France). UR 0062 Unité de recherche Agronomie)
Photosynthesis and storage in the seeds of soybean (Glycine max (L.) Merr) were studied in two cultivars, an indeterminate genotype «Weber» and a determinate line «172-16». After leaf 14C02 incorporation during the vegetative growth, labelled photosynthates were followed during fructification. They were utilized for pod development, preferentially for seed proteogenesis, while newly synthetized assimilates contributed more to lipidogenesis and glucogenesis. Photosynthate translocation and utilization were similar for both genotypes, only distribution in the whole plant was different. Agronomically, the determinate genotype appears preferable for intensive cropping. Fertilizing irrigation during fructification does not essentially change formation and transfer of assimilates, but foliar nitrogen metabolism contributes to a lesser extent to seed proteogenesis; then photosynthesis is stimulated. A deficiency of the symbiotic fixation and small nitrogen soil reserves can be compensated by fertillizing irrigation. | Une étude de la photosynthèse et de l’utilisation des assimilats pour l’élaboration des réserves des graines est réalisée pour deux variétés de soja (Glycine max (L.) Merr.), l’une «Weber» à croissance indéterminée, l’autre «172-16» à croissance déterminée. Après des charges en 14C02 effectuées durant la phase végétative, le devenir des composés marqués est suivi durant la période de fructification. Leur utilisation pour le développement des graines est comparée à celle des photosynthétats de formation récente. Ces derniers contribuent surtout à la mise en place des réserves glucidiques et lipidiques tandis que les premiers participent, pour une large part, à l’élaboration des protéines. La physiologie des deux variétés est très comparable; seule la distribution des assimilats dans la plante varie en fonction du type de croissance. D’un point de vue agronomique, le type déterminé conviendrait mieux pour des cultures intensives. L’irrigation fertilisante durant la fructification, sans modifier fondamentalement la formation et le devenir des photosynthétats, réduit le rôle du métabolisme azoté des feuilles dans l’alimentation des graines. Elle stimule l’activité photosynthétique; elle pourrait compléter une insuffisance de réserves azotées du sol et remédier à une fixation symbiotique déficiente.
Show more [+] Less [-]Action larvaire de Sitona lineatus L. sur quelques facteurs de production du pois proteagineux (Pisum sativum L.) Full text
1989
Cantot, P.
Action larvaire de Sitona lineatus L. sur quelques facteurs de production du pois proteagineux (Pisum sativum L.) Full text
1989
Cantot, P.
Des expériences réalisées en conditions contrôlées (culture hydroponique en salle climatisée) ou semi-contrôlées (culture de plein champ avec infestation artificielle sous cages) démontrent l’action des larves de Sitona lineatus L. sur quelques facteurs de production de pois protéagineux, souvent dès le seuil de 10 oeufs par plante. Cette action se manifeste surtout sur le nombre et le poids de grains par plante. Dans le cas de la variété «Finale», c’est surtout la productivité des ramifications qui est affectée. La production de matière azotée totale par plante est significativement plus faible dans les lots infestés. | Experiments in controlled conditions (hydroponic cultivation in an air-conditioned room) or semifield conditions (artificial infestation under cages in a field with 1 or 3 plants per cage) show the effect of the larvae of Sitona lineatus L. on some productivity factors in the proteaginous pea, at a threshold of i0 eggs per plant on isolated plants or 20 eggs per plant for groups of 3 plants. This effect is observed via the number of seeds and yield per plant. In the case of the cultivar "Finale" the effect is mainly observed on branches. With a nutritive solution without nitrogen the quality of the grain (nitrogen percentage) is diminished when the larvae destroy the nodules. The production of total nitrogen per plant is significantly less in infested plants in field conditions. The relationship between the number of larvae per plant and the percentage of nodules destroyed was confirmed ( r = 0.96).
Show more [+] Less [-]Action larvaire de Sitona lineatus L. sur quelques facteurs de production du pois proteagineux (Pisum sativum L.)
1989
Cantot , P. (INRA (France). UR 0504 Laboratoire de recherches de Zoologie)
Des expériences réalisées en conditions contrôlées (culture hydroponique en salle climatisée) ou semi-contrôlées (culture de plein champ avec infestation artificielle sous cages) démontrent l’action des larves de Sitona lineatus L. sur quelques facteurs de production de pois protéagineux, souvent dès le seuil de 10 oeufs par plante. Cette action se manifeste surtout sur le nombre et le poids de grains par plante. Dans le cas de la variété «Finale», c’est surtout la productivité des ramifications qui est affectée. La production de matière azotée totale par plante est significativement plus faible dans les lots infestés. | Experiments in controlled conditions (hydroponic cultivation in an air-conditioned room) or semifield conditions (artificial infestation under cages in a field with 1 or 3 plants per cage) show the effect of the larvae of Sitona lineatus L. on some productivity factors in the proteaginous pea, at a threshold of i0 eggs per plant on isolated plants or 20 eggs per plant for groups of 3 plants. This effect is observed via the number of seeds and yield per plant. In the case of the cultivar "Finale" the effect is mainly observed on branches. With a nutritive solution without nitrogen the quality of the grain (nitrogen percentage) is diminished when the larvae destroy the nodules. The production of total nitrogen per plant is significantly less in infested plants in field conditions. The relationship between the number of larvae per plant and the percentage of nodules destroyed was confirmed ( r = 0.96).
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