Population genetics of Norway spruce (Picea abies Karst.) at regional scale: sensitivity of different microsatellite motif classes in detecting differentiation
2006
Scotti , Ivan (INRA , KOUROU CEDEX (France). UMR 0745 UMR INRA / CIRAD / CNRS / ENGREF / Univ. Antilles-Guyane : Ecologie des Forêts de Guyane) | Paglia , Gianpaolo (Università degli Studi di Udine, Udine(Italie). Dipartimento di Scienze Agrarie ed Ambientali) | Magni , Federica (Università degli Studi di Udine, Udine(Italie). Dipartimento di Scienze Agrarie ed Ambientali) | Morgante , Michele (Università degli Studi di Udine, Udine(Italie). Dipartimento di Scienze Agrarie ed Ambientali)
anglais. Four populations of Norway spruce (Picea abies Karst.) were screened using nine nuclear microsatellite markers (three trinucleotides and six dinucleotides) and four chloroplast markers (all mononucleotides). Marker classes were compared for their variability, mutation rate and ability to detect differentiation between stands. Dinucleotide markers proved to be the most variable group and chloroplast stretches the least variable, with differences in mutation rate between the former and the latter spanning over two orders of magnitude. Variability correlated to the number of repeats but not to the absolute length of the microsatellite region. The different marker classes were combined with two different measures of genetic distance in order to investigate the performance of markers and evolutionary models for the study of genetic variation in natural populations of Norway spruce. Weir and Cockeram's F$_{rm ST}$ generally performed better in this clear-cut, four-population model study. Chloroplast haplotypes turned out to be the most sensitive marker system, being able to differentiate populations and to detect differences in genetic variability between sub-regions.
Afficher plus [+] Moins [-]français. Quatre populations d'épicéa (Picea abies Karst.) ont été analysées avec neuf marqueurs microsatellite nucléaires (trois trinucléotidiques et six dinucléotidiques) et quatre marqueurs chloroplastiques (tous mononucléotidiques). La variabilité, le taux de mutation et la performance dans la détection de la différentiation entre sites de ces classes de marqueurs ont été comparées. Les marqueurs dinucléotidiques ont montré la plus forte variabilité, et les marqueurs chloroplastiques la plus faible, avec une différence en taux de mutation d'un facteur cent entre les deux classes. La variabilité est corrélé avec le nombre de répétions mais n`est pas corrélé avec la taille de la répétition. Les différentes classes des marqueurs ont été combinées avec deux mesures de distance génétique pour analyser les effets du choix du marqueur et du model évolutif sur l'étude de la variabilité génétique des populations naturelles d'épicéa. Le F$_{rm ST}$ de Weir et Cockeram a produit en général les meilleurs résultats dans cette simple étude sur quatre populations. Les haplotypes chloroplastiques ont montré la plus grande efficacité, permettant de distinguer les régions et les populations à l'intérieur des régions.
Afficher plus [+] Moins [-]Mots clés AGROVOC
Informations bibliographiques
Cette notice bibliographique a été fournie par Institut national de la recherche agronomique
Découvrez la collection de ce fournisseur de données dans AGRIS