Study and Monitoring of Epicormic Buds that Produce Shoots in Sessile Oak. | Étude et suivi des bourgeons épicormiques à l'origine des gourmands chez le Chêne sessile.
2002
Fontaine, Florence | Jarret, Pascal | Druelle, Jean-Louis | Laboratoire d'Etudes des Ressources Forêt-Bois (LERFoB) ; Ecole Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts (ENGREF)-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) | Office national des forêts (ONF)
International audience
Afficher plus [+] Moins [-]anglais. Quercus petraea (Matt. Liebl.) is an important species in French forestry for sliced veneer and solid wood production. The wood quality of oak, however, can be impaired by the persistence of buds along the trunk, which are called epicormic buds. Epicormic buds are all of proventitious origin ; they are always composed of a terminal meristem surrounded by scales, which themselves may bear secondary buds. They can persist on the bark surface for at least 40 years and are associated in the wood with one or several slight traces. The epicormic potential at any time is the amount of these buds on a given stem length. From 1997 to 1999, it had decreased slightly in the 3 stand densities monitored. The production of new buds did not offset the loss of epicormic buds (that either decayed or developed into shoots). For these 2 years, the composition of the epicormic potential was unchanged : one-third primary epicormic buds and two-thirds secondary epicormic buds, mainly located at the base of the normal branches. For the main part, epicormic buds were isolated although a few clusters of epicormic buds were observed.
Afficher plus [+] Moins [-]français. Le Chêne sessile est l'espèce emblématique de la sylviculture en France pour la production de bois d'¦uvre. Des bourgeons persistants sur le tronc, appelés bourgeons épicormiques, peuvent altérer la qualité de ce bois lorsqu'ils se développent en gourmands. Ils sont tous d'origine proventive ; ils peuvent persister à la surface de l'écorce pendant au moins 40 ans ; ils sont systématiquement composés d'un méristème terminal entouré d'écailles, lesquelles peuvent porter des bourgeons-fils et ils sont associés dans le bois à une ou plusieurs traces discrètes. Le potentiel épicormique à un moment donné se définit par le nombre de ces bourgeons sur une longueur fixe de la tige. De 1997 à 1999, il a faiblement diminué, indépendamment des 3 densités de culture étudiées. La perte de bourgeons (morts ou développés en gourmands) n'a pas été compensée par la formation de nouveaux bourgeons. La composition du potentiel épicormique est resté inchangée au cours de ces 2 années et comprenait un tiers de bourgeons épicormiques primaires et deux tiers de bourgeons épicormiques secondaires, principalement localisés à la base des rameaux normaux. Les bourgeons étaient essentiellement isolés, quelques picots non ramifiés ont été observés.
Afficher plus [+] Moins [-]Mots clés AGROVOC
Informations bibliographiques
Cette notice bibliographique a été fournie par AgroParisTech
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