Recherche en pathologie caprine : applications et perspectives
2012
Hoste, Hervé | Ehrhardt, N | Paraud, Carine | Rieux, Adrien | Mercier, Pascale | Valas, Stéphane | Andreoletti, Olivier | Corbiere, Fabien, F. | Schelcher, Francois | Lacroux, Caroline | de Crémoux, Renée | Alvinerie, Roger | Chartier, Christophe | Interactions hôtes-agents pathogènes [Toulouse] (IHAP) ; Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT) ; Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP) ; Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP) ; Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT) | Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) | Institut de l'élevage (IDELE) | Toxicologie Alimentaire (UTA) ; Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Université de Bourgogne (UB) | Biologie, Epidémiologie et analyse de risque en Santé Animale (BIOEPAR) ; Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-École nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l'alimentation Nantes-Atlantique (ONIRIS)
anglais. Within Europe, the goat industry appears to have minor importance when compared to sheep or cattle productions, and the interest of research and studies in caprine pathology is limited. Here, this article is aimed at presenting the main research models in France, the current available data on the pathogenic mechanisms and the physiopathological processes and the related development of measures of management control using examples of pathologies caused by different agents (prions, viruses, bacteria, protozoan or helminthic parasites) that affect goats and their production. It is also aimed at underlining the interest of specific caprine studies not only as models of comparative pathology in small ruminants but also as tools that take into account the specific constraints of the dairy industry.
Afficher plus [+] Moins [-]français. La chèvre, souvent désignée comme «la vache du pauvre», est aussi le parent pauvre des études en pathologie chez les petits ruminants. Les références caprines ne constituent que 25 à 30% des travaux cités pour les petits ruminants dans leur ensemble. De nombreux exemples soulignent pourtant les dangers potentiels de négliger les spécificités physiologiques, métaboliques ou comportementales des caprins dans la maîtrise des processus pathologiques. Ce constat justifie que les caprins fassent l’objet de recherches particulières dont les résultats en pathologie comparée conduisent à formuler des hypothèses de portée générale
Afficher plus [+] Moins [-]Informations bibliographiques
Cette notice bibliographique a été fournie par Institut national de la recherche agronomique
Découvrez la collection de ce fournisseur de données dans AGRIS