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Impact of urban planning on air quality since 1998 in Thionville area (Moselle, France)Passive samplers method and lichens sampling | Impact de l'aménagement urbain de l'agglomération thionvilloise (Moselle, France) sur la qualité de l'air depuis 1998Méthode des échantillonneurs passifs et relevés lichéniques
2001
Laval-Gilly, Philippe | Falla, Jaïro | Morlot, Dominique
Pollution atmosphérique, climat et société : quelle place aujourd’hui dans la « ville durable » ? Une analyse comparée à partir de la littérature francophone et anglophone
2017
Hamman, Philippe | Sociétés, acteurs, gouvernement en Europe (SAGE) ; École Nationale du Génie de l'Eau et de l'Environnement de Strasbourg (ENGEES)-Université de Strasbourg (UNISTRA)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE) | Sociétés, Acteurs, Gouvernement en Europe (SAGE) ; Université de Strasbourg (UNISTRA)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
La problématique air-climat-société est caractérisée à l’heure actuelle par une double propriété de transversalité (les polluants altérant la qualité de l’air et responsables des gaz à effet de serre sont souvent les mêmes) et de multiscalarité (de l’échelle du bâti à celle de la planète). À partir de ce point de départ et sous l’angle des sciences sociales, l’article interroge la place dévolue à ces enjeux au sein du répertoire de la « ville durable », qui marque de plus en plus les façons de faire et vivre la ville. Nous déplaçons le regard à partir de ce qui est souvent lu d’abord comme des questions techniques (mesure de la pollution atmosphérique, etc.), pour les restituer dans leur épaisseur sociale, celle de l’action publique autant que des modes de vie en ville. Méthodologiquement, nous procédons par une approche bibliométrique comparée, à partir d’un corpus de 18 revues scientifiques, francophones et anglophones. Une analyse statistique et textuelle a été conduite avec le logiciel libre IRaMuTeQ, spécifiant des univers de co-occurrence lexicale. Elle établit la portée de trois déclinaisons structurantes dans les lectures à la fois notionnelles, critiques et plus appliquées de la durabilité urbaine : le changement climatique et ses modèles, les déplacements et transports urbains, et le métabolisme urbain rapporté aux consommations d’énergie et aux flux de matières. Au final, c’est une double dimension théorique et pratique qui fait sens, et qu’atteste la démonstration à travers la force des liens entre les termes récurrents, les classes lexicales et les segments significatifs dégagés.
Afficher plus [+] Moins [-]Ozone et canicule: Quels impacts sur les cultures et les écosystèmes ?
2004
Castell, Jean-François
absent
Afficher plus [+] Moins [-]Comment réduire les risques d'érosion par les pratiques agricoles ? S'adapter aux systèmes érosifs et au contexte économique
1996
Papy, François | Martin, P. | Bruno, J.F.
The Passy-2015 field experiment: atmospheric dynamics and air quality in the Arve River Valley | La campagne Passy-2015 : dynamique atmosphérique et qualité de l’air dans la vallée de l’Arve
2016
Paci, Alexandre | Staquet, Chantal | Allard, Julie | Barral, Hélène | Canut, Guylaine | Cohard, Jean-Martial | Jaffrezo, Jean-Luc | Martinet, Pauline | Sabatier, Tiphaine | Troude, Florence | Arduini, Gabriele | Burnet, Fréderic | Brun, Christophe | Chemel, Charles | Dabas, Alain | Donier, Jean-Marie | Garrouste, Olivier | Guillot, Rémi | Largeron, Yann | Legain, Dominique | Maurel, William | Tzanos, Diane | Barrau, Sébastien | Barret, Manuel | Barrié, Joël | Belleudy, Anne | Bouhours, Gilles | Bourrianne, Thierry | Chevrier, Florie | Douffet, Thierry | Etcheberry, Jean-Michel | Gustave, Laurent | Mazoyer, Marie | Mercier, Stéphane | Moulin, Eric | Pellan, Yann | Piguet, Bruno | Rodier, Quentin | Zin, Isabella | Centre national de recherches météorologiques (CNRM) ; Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Observatoire Midi-Pyrénées (OMP) ; Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3) ; Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National d'Études Spatiales [Toulouse] (CNES)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Météo-France-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3) ; Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National d'Études Spatiales [Toulouse] (CNES)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Météo-France-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) | Laboratoire des Écoulements Géophysiques et Industriels [Grenoble] (LEGI ) ; Institut polytechnique de Grenoble - Grenoble Institute of Technology (Grenoble INP )-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Grenoble Alpes [2016-2019] (UGA [2016-2019]) | Laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement (LGGE) ; Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Observatoire des Sciences de l'Univers de Grenoble (OSUG ) ; Institut polytechnique de Grenoble - Grenoble Institute of Technology (Grenoble INP )-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA)-Université Savoie Mont Blanc (USMB [Université de Savoie] [Université de Chambéry])-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Grenoble Alpes [2016-2019] (UGA [2016-2019])-Institut polytechnique de Grenoble - Grenoble Institute of Technology (Grenoble INP )-Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA)-Université Savoie Mont Blanc (USMB [Université de Savoie] [Université de Chambéry])-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Grenoble Alpes [2016-2019] (UGA [2016-2019]) | Laboratoire d'aérologie (LAERO) ; Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3) ; Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Observatoire Midi-Pyrénées (OMP) ; Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3) ; Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National d'Études Spatiales [Toulouse] (CNES)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Météo-France-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National d'Études Spatiales [Toulouse] (CNES)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Météo-France-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) | Association agréée Surveillance Qualité de l'air (AASQA) ; Atmo Nord Pas-de-Calais-Air Rhône-Alpes | University of Hertfordshire [Hatfield] (UH) | Thales Alenia Space [Toulouse] (TAS) ; THALES [France] | Air Rhône-Alpes ; Air Rhône-Alpes
International audience | Wintertime anticyclonic conditions, associated with clear sky and cold nights, trigger the formation of persistent layers of stable air over the ground. In an urban area, these persistent layers lead to poor air quality, especially when the terrain is mountainous. This is particularly the case in the Arve River Valley near the city of Passy, located 20 km downstream of Chamonix-Mont-Blanc, where air quality stands among the poorest ones in France.Beyond the monitoring of air quality, as performed by the Auvergne-Rhône-Alpes air quality agency or within the scientific project DECOMBIO led by the Institute for Geosciences and the Environment (IGE), knowledge of the atmospheric dynamics at the valley scale should be gained to understand how pollutants are dispersed. This is the motivation of the Passy project, which started in 2014. It relies on the Passy-2015 field experiment, whereof presentation, along with the discussion of a few results, is the purpose of the present paper. The objective of this field experiment is to document the atmospheric dynamics in the Arve River Valley during wintertime pollution episodes.The work conducted during the Passy project and the analysis of the Passy-2015 field experiment will benefit from a several-year long collaboration among the different partners. The knowledge thus gained will contribute to refine weather forecast and air quality prediction in the Arve River Valley and, more generally, in mountain urban areas under stable conditions. From an operational perspective, our goal is to improve our ability to forecast critical events such as low temperatures, ice and fog formation, pollution events or locations subject to high pollutant concentration. | Les conditions anticycloniques hivernales (ciel clair, nuits froides) conduisent à la formation de couches stables persistantes qui favorisent les épisodes de pollution, particulièrement en terrain montagneux. La vallée de l’Arve est très sensible à ce phénomène, en particulier près de la ville de Passy (Haute-Savoie), située à 20 kilomètres en aval de Chamonix-Mont-Blanc, où la qualité de l’air est l’une des moins bonnes de France.Au-delà du suivi de la qualité de l’air, tel que réalisé par Atmo Auvergne-Rhône-Alpes ou par le projet DECOMBIO piloté par l’Institut des Géosciences et de l’Environnement (IGE), il est primordial d’améliorer la connaissance de la dynamique atmosphérique à l’échelle de la vallée en conditions stables pour mieux comprendre comment, couplée au cycle et à la géographie des émissions, elle pilote la dispersion des polluants. C’est la motivation du projet Passy, initié en 2014. Ce projet s’appuie sur les observations de la campagne Passy-2015, présentées dans cet article avec quelques premiers résultats. L’objectif général de cette campagne est de documenter la dynamique atmosphérique au sein de la vallée de l’Arve lors des épisodes de pollution hivernale.Les travaux menés dans le cadre du projet et de l’analyse des données de la campagne s’inscrivent au sein d’une collaboration sur plusieurs années entre les différents partenaires. Ils contribueront à affiner la prévision du temps et de la qualité de l’air dans ce type de vallée, et plus généralement en conditions stables. Il s’agit en particulier d’améliorer la capacité à prévoir des phénomènes critiques, comme les températures minimales, le verglas, le brouillard, les évènements de pollution ou encore les zones de pollution intense.
Afficher plus [+] Moins [-]Les espaces périurbains : entre pollution des villes et pollution des champs aux échelles régionale et locale
2016
Stella, Patrick | Bedos, Carole | Génermont, Sophie, | Loubet, Benjamin | Personne, Erwan | Petit, Caroline, | Saint-Jean, Sébastien
Les territoires périurbains, zones de transition entre les zones urbaines et rurales, sont soumis à de nombreuses pollutions à la fois gazeuses et particulaires. Ces pollutions proviennent de sources locales comme les activités résidentielles, le trafic routier et les activités agricoles, mais également de sources régionales issues des activités urbaines et des émissions des zones (pseudo-)naturelles adjacentes. Cet article présente une synthèse des différentes sources de pollution affectant la qualité de l’air en milieu périurbain. Il est évident que les pollutions purement anthropiques ne peuvent être dissociées de celles issues du fonctionnement des écosystèmes (pseudo-)naturels dans ces espaces. Enfin, les enjeux vis-à-vis de l’agriculture périurbaine, fortement présente et en développement du fait d’une volonté de consommer des productions locales, sont discutés. | Periurban areas, zone of transition between urban and rural areas, are submitted to several sources of pollution, both gaseous and particulate. These pollutions originate from local sources such as residential sector, traffic road and agricultural activities, but also from regional ones from adjacent urban and (pseudo-)natural areas. This paper presents a synthesis of the different sources affecting air quality in periurban areas. It is clear that pollutions from anthropogenic activities cannot be fully dissociated to those from (pseudo-)natural ecosystem functioning in these areas. Finally, the atmospheric pollution issues are discussed in emphasis with periurban agriculture, already present and under development in these areas due to the development of short food supply chains and local food consumptions.
Afficher plus [+] Moins [-]Impacts de l’ozone sur l’agriculture et les forêts et estimation des coûts économiques
2016
Castell, Jean-François | Le Thiec, Didier
absent
Afficher plus [+] Moins [-]DECOMBIO - Contribution de la combustion de la biomasse aux PM10 en vallée de l’Arve : mise en place et qualification d’un dispositif de suivi
2016
Chevrier, Florie | JEžEK, Irena | Brulfert, Guillaume | MOčnik, Grisa | Marchand, Nicolas | Jaffrezo, Jean-Luc | Besombes, Jean-Luc
Conséquences des pollutions atmosphériques sur l'agriculture et la forêt
2014
Castell, Jean-François
Conséquences des pollutions atmosphériques sur l'agriculture et la forêt. Séminaire Agriculture et pollution de l’air
Afficher plus [+] Moins [-]Caractéristiques et origines principales des épisodes de pollution hivernaux aux PM10 en France | Main properties and origins of winter PM10 pollution events in France
2012
Favez, Olivier | Petit, Jean-Eudes | Bessagnet, Bertrand | Meleux, Frédérik | Chiappini, Laura | Lemeur, Sébastien | Labartette, Claire | Chappaz, Claire | Guergnion, Pierre-Yves | Saison, Jean-Yves | Chretien, Eve | Pallares, Cyril | Verlhac, Stéphane | Aujay, Robin | Malherbe, Laure | Beauchamp, Maxime | Piot, Christine | Jaffrezo, Jean-Luc | Besombes, Jean-Luc | Sciare, Jean | Rouil, Laurence | Leoz-Garziandia, Eva
This paper aims at gaining an insight into the PM10 daily threshold (50 micro g/m3) exceedances measured by French regional air quality monitoring networks for the last four years. As almost three quarter of these exceedances happens to occur between November and April, we focus here on such winter (broadly speaking) pollution episodes. The deployment of monitoring devices allowing for a proper account of semi-volatile material within PM10 was achieved concomitantly to the development particulate pollution episodes largely influenced by ammonium nitrate (which is semi-volatile) in March-April 2007. Since then, such pollution events are frequently observed at this period of the year, notably due to stable meteorological conditions favoring the condensation of semi-volatile material into the particulate phase along with the resumption of manure spreading, which constitutes a major source of ammonium nitrate gaseous precursors (at least at some points of the year). Such pollution events, which are also related to combustion emissions (among which mobile sources) are typically preceded, from November to February, by frequent daily threshold exceedances with potentially significant influences of biomass burning (e.g. residential wood burning). The winter period is also impacted by long range transport episodes, corresponding notably to increases of ammonium sulfate relative abundances within PM10. Moreover, as traffic sites are generally the first ones showing PM10 exceedances due the increment of direct emissions and resuspension processes, mobile sources are also considered as a major target for action plans. Finally, it is underlined that the occurrence of daily threshold exceedances is highly influenced by meteorological conditions, so that the yearly number of these exceedances shows well-marked inter-annual variations, with 2009 and 2011 (and 2012, but not shown here) being significantly more polluted than 2008 and 2010. The on-going development of efficient forecasting systems still suffer lacks of detailed emission inventories and strong knowledge on the physical and chemical transformation processes of particles and their gaseous precursors within the boundary layer. | Cette synthèse dresse une analyse non exhaustive des dépassements du seuil réglementaire journalier de 50 micro g/m3 pour les PM10 mesurés au niveau national par les Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l'Air (AASQA) au cours des quatre dernières années. Près des trois quarts de ces dépassements étant observés entre fin novembre et début avril, nous nous intéressons plus particulièrement ici à ces épisodes hivernaux (au sens large). La mise en oeuvre de techniques analytiques permettant une prise en compte correcte des espèces semi-volatiles dans la composition des PM10 a coïncidé en mars-avril 2007 à la survenue de nombreux dépassements de seuil journalier s'accompagnant d'importants niveaux de nitrate d'ammonium (composé semi-volatil). Ce type d'épisode est régulièrement observé à cette période. Il s'explique notamment par la conjonction de conditions atmosphériques stables et propices à la condensation en phase particulaire des espèces labiles, et de la reprise des épandages agricoles, constituant une source majeure, au moins ponctuellement, de précurseurs gazeux azotés du nitrate d'ammonium. Ce type d'épisode, mettant également en cause les émissions anthropiques de combustion (dont les transports), est typiquement précédé entre novembre et février de fréquents dépassements pour lesquels le rôle des combustions de biomasse (incluant notamment le chauffage au bois individuel) peut être important. La période hivernale est également marquée par l'occurrence de phénomènes de transport longue distance se caractérisant par une augmentation des contributions du sulfate d'ammonium. Les sites de proximité automobile étant généralement les premiers concernés par les dépassements du seuil journalier en raison du surplus de concentrations provenant des émissions à l'échappement et des phénomènes de remise en suspension, le transport routier est également considéré comme un levier incontournable pour le respect des valeurs limites. Enfin, il est souligné que l'occurrence des différents types d'épisodes de dépassements dépend fortement des conditions météorologiques, de sorte qu'on observe une forte variabilité interannuelle du nombre de dépassements hivernaux ? : 2009 et 2011 (et 2012) étant significativement plus impactées que 2008 et 2010. Une bonne prévision de ces épisodes passe encore par l'affinage des cadastres d'émission et une meilleure compréhension du devenir dans l'atmosphère des émissions primaires (gazeuses et particulaires).
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