Le fonctionnement hydrique des arbres sous sécheresses caniculaires
2025
Javoy, Théo | Balandier, Philippe | Cochard, Hervé | Perret, Sandrine | Perot, Thomas | Ecosystèmes forestiers (UR EFNO) ; Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE) | Laboratoire de Physique et Physiologie Intégratives de l’Arbre en environnement Fluctuant (PIAF) ; Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Université Clermont Auvergne (UCA)
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Показать больше [+] Меньше [-]Французский. Les forêts dépérissent de plus en plus en France et dans le monde : mortalité de branches, diminution de la quantité et de la qualité du feuillage, descente de cime ou tout simplement mort des arbres. Une grande partie de ces dépérissements est liée aux épisodes de sécheresse et aux vagues de chaleur, amenés à s’intensifier avec le changement climatique. Les forestiers doivent donc adapter leur sylviculture. Pour cela, il est important de comprendre comment les arbres réagissent à ces épisodes climatiques extrêmes. Que savons-nous du fonctionnement hydrique des arbres ? Que se passe-t-il lorsque l’eau vient à manquer ou que la chaleur est extrême ? La réponse dépend des espèces d’arbres. Certaines ferment leurs stomates assez rapidement pour maintenir un état hydrique favorable et éviter l’embolie tandis que d’autres retardent cette fermeture pour conserver leur activité photosynthétique, quitte à s’exposer davantage aux risques d’embolie. De surcroît, lorsque la chaleur atteint des températures extrêmes, fermer les stomates ne suffit plus car la cuticule perd son caractère imperméable et l’eau s’échappe à travers. Regardons cela de plus près.
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Эту запись предоставил Institut national de la recherche agronomique