Investigations of phytoplankton in the Montenegrin coastal sea through summer (June, July, August) 2003 are described in this paper. They represent continuation from the previous years, and especially from 2001 and 2002. Maximum microphytoplankton quantity is found in the area of the bay (Kotor Bay) during June 3.9 x 10**6 cell/cubic dm, with the dominance of Nitzschia delicatissima (99%). This species was found with high percentage (more than 50%) during July and August, too. Leptocylindrus minimus and Skeletonema costatum, which were dominant in the previous period, through this year were slightly presented. In the area outside the Bay of Boka Kotorska, microphytoplankton was presented with quantities cell between 10**3 and 10**5 cell/cubic dm. Mean values of microphytoplankton in the area of the Boka Kotorska Bay were in 2003 year 4.6 times higher than outside the Bay. The same ratio was found for nanophytoplankton, too.

The paper is concerned with the procedures of treatment of wastewaters from sugar-processing plants. A short survey is given of both the aerobic and anaerobic procedures with a special regard of the possibility of recirculating the treated wastewaters. Data are presented for treatment of wastewaters originated from sugar-processing plants by the active sludge procedure carried out on a laboratory scale. It was concluded that thus purified water, after final membrane treatment, could be recirculated to the production process.

Le projet BIOPOLLATM vise à mieux comprendre les interactions biosphère-atmosphère dans le domaine de la pollution atmosphérique. On cherche (1) à comprendre les modalités d’impacts de plusieurs polluants sur le fonctionnement des plantes et (2) le rôle de la biosphère comme source et puits dans la pollution atmosphérique locale et régionale. Des caractéristiques fortes de BIOPOLLATM sont (1) une intégration entre des approches biologiques et physiques, à l’interface des sciences de la vie, de la terre et de l’atmosphère, (2) l’objet d’étude privilégié qui sont les écosystèmes cultivés en zones périurbaines et (3) l’intégration d’échelle, allant de la plante à la région selon les thématiques scientifiques et appliquées concernées. Ce rapport fait un point sur l’avancement du projet après 2 ans de travail (le projet se poursuit dans le cadre de PRIMEQUAL notamment, avec un financement du MEDD/DPPR). Il se compose de trois parties : - un rappel sur les objectifs et l’organisation du projet - un rapport plus détaillé sur les travaux conduits, organisé en trois grands domaines : o impact de l’ozone sur le fonctionnement des couverts végétaux à différentes échelles et selon différentes approches, allant de la modification des enzymes impliquées dans la photosynthèse jusqu’à la modélisation de l’impact sur le rendement des cultures ; o échanges de polluants entre un couvert végétal et l’atmosphère, organisé autour du développement et la validation d’un modèle à résistance à deux couches, destiné d’une part à être utilisé par les écophysiologistes/agronomes pour estimer les quantités de polluant absorbées par la végétation et, d’autre part, à être utilisé comme interface surface-atmosphère dans des modèles de chimie atmosphérique ; o une présentation des bases de données créées et des dispositifs expérimentaux créés dans le cadre de ce projet pour l’étude des échanges de polluants entre les surfaces naturelles et l’atmosphère. Ces acquis perdureront au delà du projet et pourront être utilisés par nos équipes et d’autres pour la poursuite de ce type de travaux. - Une synthèse des résultats acquis et une présentation des perspectives de ce travail à échéance de deux ans.