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Camel in Sudan: future prospects
2011
Faye B. | Abdelhadi O.M.A. | Ahmed A.I. | Bakheit S.A.
According to FAO statistics, camel population in Sudan ranks the second in the world after Somalia with 4.5 millions heads. This population is quite important while the camel production appears, at least officially, very low. With a meat production of 49,880 tons and a milk production of 120,000 tons, camel production is far away from the potential. Even if these data did not cover the entire reality, it is obvious that camel production in Sudan is insufficiently valorized. Meat from young camels has been reported to be comparable in taste and texture to beef. Inspite of the increase in local camel meat consumption to 63,000 tons in 2009, yet camel meat is common in some parts of the country and milk consumption under gariss form is popular in rural areas where camel is generally reared. Camel diseases are the major constrains of production such as trypanosomiasis and mastitis. The research has to push in that way in order to innovate camel meat and milk sector. The modernization of meat and milk processing could be the motor for the improvement of camel production. Both in terms of research and of development, the identification of the main constraints for the camel sector is the way to propose a fruitful strategy. (Résumé d'auteur)
Mostrar más [+] Menos [-]Relationship between normalized difference vegetation index (NDVI) and forage biomass yield in the Vakinankaratra region, Madagascar
2014
Rahetlah B.V. | Salgado P. | Andrianarisoa B. | Tillard E. | Razafindrazaka H. | Le Mezo L. | Ramalanjaona V.L.
Dairy cow production is an important livestock activity in the highlands of Madagascar and specifically in the Vakinankaratra region. Despite the increase of global milk production over the last decades, cow productivity remains low due to both quantity and quality feed constraints. Elephant grass and Italian ryegrass are the most cultivated forage grass, during the wet and warm season and the dry and cool season, respectively. An experiment under field conditions was carried out to evaluate the ability of the satellite-derived normalized difference vegetation index (NDVI) to develop a tool for estimating biomass yields of Elephant grass and Italian ryegrass. Results showed moderate to strong but significant relationship between plant height and biomass yield (R² = 0.64 to 0.92), between NDVI and biomass yield (R² = 0.52 to 0.73) and between NDVI and plant height (R² = 0.61 to 0.74) of Elephant grass and Italian ryegrass, respectively. These results suggest that NDVI has potential to provide a tool for dynamic monitoring and management of pastureland forage production. (Résumé d'auteur)
Mostrar más [+] Menos [-]Régime et comportement alimentaire du dromadaire dans son milieu naturel désertique en Algérie
2013
Slimani S. | Chehma A. | Faye B. | Huguenin J.
Le Sahara algérien, réputé par son extrême aridité, avec ses faibles disponibilités en eau et en pâturage, présente des formations géomorphologiques représentant les différents types de parcours qui offrent la seule ressource d'aliment disponible pour le dromadaire. La présence d'animaux au comportement agressif (ovins, caprins, bovins) accentue la situation perturbée de ces parcours, contrairement au dromadaire qui contribue à l'équilibre de cet écosystème. Notre suivi sur le comportement alimentaire du dromadaire, dans le Sahara septentrional algérien, a montré que son régime alimentaire est diversifié en été et au printemps (9 et 6 espèces consommées) et se base essentiellement sur les plantes spontanées vivaces. Les espèces broutées se composent globalement de 13 espèces appartenant à 10 familles variant suivant les saisons et l'offre fourragère des parcours. Dans une station donnée, 3 espèces représentent entre 67,75 % et 100 % des quantités consommées. Une de ces espèces, le "Drinn" (Stipagrostis pungens) est consommée en toutes saisons et en proportions importantes (23 à 43 % du régime). De point de vue quantitatif, le suivi des prises alimentaires, selon la méthode du nombre de bouchées, a montré que le dromadaire pratique une alimentation ambulante, parcourant quotidiennement de 20 à 50 km et prélève de petites quantités de chaque plante, estimées en nombre de 1 à 4 coups de dents, donnant des quantités de 0,7 à 3,9 g pour chaque espèce. Les quantités de matière sèche journalières, ainsi ingérées, varient de 4,04 à 39,4 kg, donnant une moyenne estimée de 2,7 à 3,4 kg MS/ 100 kg de PV/jour, suivant les saisons et la composition floristique du régime. Ces résultats sont en accord avec le comportement alimentaire spécifique du dromadaire qui lui permet d'être la seule espèce capable de mieux utiliser son écosystème hyper-aride et bien adaptée aux conditions désertiques. (Résumé d'auteur)
Mostrar más [+] Menos [-]L'espace pastoral dans la région de M'sila, Algérie : état et perspectives de réhabilitation
2014
Senoussi A. | Hadbaoui I. | Huguenin J.
L'état des parcours steppiques de la région de M'Sila traverse de profondes évolutions que nous avons étudiées en nous intéressant à la caractérisation et la forte transition des systèmes d'élevage moutonniers de cette région. Nous avons mené des entretiens auprès de 30 éleveurs, répartis sur 11 zones potentiellement pastorales de la steppe algérienne (pluviométrie entre 100 et 400 mm/an) autour de M'Sila. Les systèmes d'exploitation des parcours sont le système pastoral (13,3%), en régression, et le système agro-pastoral (86,7%) qui augmente avec les défrichements. Les déplacements pour l'été en mauvaise année peuvent être importants. Tous les éleveurs ont recours à une complémentation alimentaire, économiquement rentable. Cette situation induit une rapide dégradation des sols qui se traduit par une désertification du milieu (64,5 % des sols sont très dégradés pour seulement 17,6% corrects). Par ailleurs, les cheptels continuent à augmenter. En conséquence, les pâturages (parcours naturels et vaine pâture) se trouvent chroniquement en état de surcharge, parfois toute l'année. Devant cette situation préoccupante, de nouvelles stratégies à envisager devraient s'appuyer à la fois sur des réhabilitations (régénération naturelle ou plantation pastorale) et sur des systèmes alternatifs d'associations élevage – agriculture (avec les périmètres agricoles). (Résumé d'auteur)
Mostrar más [+] Menos [-]Pratiques d'alimentation pour l'engraissement des agneaux dans des systèmes d'élevage agropastoraux de la région d'El-Guedid-Djelfa
2015
Kanoun M. | Huguenin J. | Yakhlef H. | Kanoun Meguellati A. | Julien L. | Taugourdeau S. | Bellahrache A.
Les pratiques d'engraissement des agneaux sont étudiées dans les systèmes d'élevage ovins agropastoraux de la zone d'El-Guedid située au Nord-Ouest de la Wilaya de Djelfa. L'élevage de cette région est reconnu et approvisionne en viande rouge ovine les grandes agglomérations algériennes, voire au-delà. En quelques décennies, cet élevage, son système de production et sa filière, ont connu de nombreuses transformations pour s'adapter aux changements : démographique, socioéconomique, biophysique, d'utilisation des terres. Malgré les adaptations de conduite d'élevage, certains savoir-faire ont pu être préservés, notamment en matière d'alimentation. Ainsi la viande de Djelfa reste très appréciée. Les élevages ayant recours à certaines pratiques anciennes, associées à de nouvelles conduites, continuent d'assurer des produits de qualité toute l'année. Les évolutions du contexte et des modes d'élevage ont rendu le contexte favorable au développement de pratiques d'engraissement par les éleveurs. La diversité des conduites alimentaires notamment des pratiques d'engraissement et des stratégies des éleveurs selon leurs systèmes d'élevage sont le coeur de notre questionnement. Nous l'avons abordé selon une méthodologie comprenant plusieurs étapes : i) entretiens chez 86 éleveurs et observations dans des ateliers d'engraissement au sein des exploitations agropastorales ; ii) exploitation de la base de données des suivis du marché ovin de Djelfa pour évaluer les prix des animaux ; iii) traitements des données obtenues à l'aide d'outils statistiques (ACM ; PCOA Gower ; traitements graphiques). Cette étude apporte deux enseignements majeurs, d'une part l'utilisation des territoires steppiques n'est pas exclusif aux élevages naisseurs et d'autre part il ressort une dominance des élevages mobiles (transhumants et semi-transhumants). Les éleveurs sédentaires ne représentent que 15 % de notre échantillon. En outre, nous avons caractérisé quatre types d'éleveurs selon leurs mobilités, s
Mostrar más [+] Menos [-]Typologie descriptive des systèmes d'élevage camelin en Mauritanie
2021
Biya, Mohamed B. | Chrif Ahmed, Mohamed S. | Dieye, C.Y. | Diop, A.K.M. | Mohamed, R.B. | Salem, A. | Sidatt, M. | Side Elemine, K.M. | Mohamed, M.S. | N'Diaye, F.B. | Meiloud, G. | Konuspayeva, Gaukhar | Faye, Bernard
Une typologie descriptive des systèmes d'élevage camelins a été réalisée sur l'ensemble du territoire mauritanien dans le but d'en connaître la diversité. Au total, 187 élevages camelins des quatre régions du pays (Sud, Centre, Est, Nord) ont été enquêtés. Les 49 variables retenues portaient sur six thèmes : l'éleveur, le troupeau, la santé animale, l'alimentation, les pratiques de traite et les pratiques commerciales. La stratégie statistique s'est appuyée sur une analyse séparée des sous-tableaux regroupant les variables par thème afin de déterminer des types d'éleveurs, de troupeaux, de pratiques alimentaires, de statut sanitaire, de pratiques de traite et de flux commerciaux. Les descriptions de ces types ont été suivies d'une analyse globale permettant d'identifier sept types d'élevage fortement différenciés sur le plan géographique, un effet régional hautement significatif ayant été observé : moyens engraisseurs (n=36), petits mixtes marchands (n=32), moyens peu marchands (n=21), moyens mobiles marchands (n=23), petits peu marchands (n=22), grands marchands (n=15) et grands naisseurs (n=38). Les types sont interprétés au regard du contexte géographique et climatique de chacune des régions.
Mostrar más [+] Menos [-]Typologie structurale des élevages camelins au Sahara septentrional Algérien - cas de la willaya de Ghardaïa
2019
Ben Semaoune, Youcef | Senoussi, Abdelhakim | Faye, Bernard
Une enquête a été réalisée auprès de 100 éleveurs de dromadaires répartis sur les trois zones de la willaya de Ghardaïa. Les informations recueillies ont permis d'élaborer une typologie structurale des systèmes d'élevages pratiqués après analyse statistique. Celle-ci a fait ressortir 5 types d'éleveurs camelins représentant leur diversité. Type 1: représentant 33% de l'effectif des éleveurs enquêtés; ce sont des éleveurs qui possèdent des troupeaux mixtes (camelins, ovins et caprins) avec un faible effectif camelin ou que des troupeaux camelins avec un faible effectif. Type 2: (19% des éleveurs) ces éleveurs possèdent des troupeaux mixtes à dominance cameline. Type 3: (18% des éleveurs) ces éleveurs possèdent des troupeaux mixtes à dominance ovine avec un effectif moyen de camelins. Type 4: (11% des éleveurs) ces éleveurs possèdent des troupeaux d'ovins et camelins seulement. Type 5: (19% des éleveurs) ils possèdent des troupeaux mixtes à dominance ovine et un effectif réduit de camelins. La promotion d'activités durables d'élevage dans le Sud algérien est indispensable pour contribuer à assurer un approvisionnement régulier en protéines animales pour les populations oasiennes.
Mostrar más [+] Menos [-]Développement d'un outil cartographique pour la gestion des ressources pastorales par une approche combinée de télédétection et de modélisation
2017
Razafinarivo, Tsirinirina Donnah | Rahetlah, Volatsara Baholy | Rakotozandriny, Jean de Neupomuscène | Salgado, Paulo | Degenne, Pascal
La croissance démographique et l'urbanisation engendrent une augmentation de la demande en produits d'origine animale alors que la disponibilité en ressources fourragères se réduit. Un système d'évaluation et de suivi pour estimer la quantité de biomasses fourragères disponibles est indispensable. Ainsi, une approche combinée de télédétection, modélisation et programmation informatique a été utilisée pour créer un tel outil cartographique. Pour cela, des mesures de données agronomiques sur le terrain sont couplées avec des données d'imagerie satellitaire pour élaborer des modèles de prédiction. Les modèles obtenus sont ensuite utilisés sur plusieurs images satellites archivées pour retracer le profil de disponibilité temporel des différentes espèces fourragères via la juxtaposition de 4 066 extraits d'indices de végétation (NDVI) obtenus à Madagascar. À chaque acquisition d'image satellite, les paramètres de l'équation du profil temporel sont modifiés, pour calculer de nouveaux rendements de biomasse, par l'assimilation dans les modèles de prédiction des données obtenues via l'imagerie satellite. L'état d'exploitation de la biomasse et la capacité de charge animale des différentes parcelles de pâturages, prédits par les modèles, constituent des données d'aide à la décision pour une gestion optimale de l'usage des parcelles. Les modèles sont ensuite implémentés et intégrés à une interface cartographique et de pilotage à partir d'une page Web. Ainsi, il est possible de dessiner une parcelle sur fond d'image satellite, puis de calculer les différents indicateurs pour cette parcelle. À travers la même interface Web, ces modèles peuvent aussi être utilisés comme outils de prospective permettant d'estimer la production fourragère sur plusieurs semaines après la date d'acquisition de l'image satellite. Cet outil a été conçu pour aider les acteurs du développement rural de Madagascar à conseiller les éleveurs sur la façon optimale de gérer les ressources fourragères.
Mostrar más [+] Menos [-]Localisation et distribution spatiotemporelle des effectifs de dromadaires en Algérie
2018
Meguellati-Kanoun, A. | Saadaoui, M. | Kalli, S. | Kanoun, Mohamed | Huguenin, Johann | Benidir, M. | Benmebarek, Abdelmadjid
En Algérie, l'élevage du dromadaire joue un rôle primordial dans l'optique de la sécurité alimentaire des communautés sahariennes et steppiques. Cet article a pour objectif d'étudier l'évolution des effectifs camelins dans les différents territoires correspondants aux Sahara, Atlas Saharien et Steppe et ce durant la période 2000-2015. Les données statistiques nationales recueillies auprès du Ministère de l'Agriculture, du développement Rural et de la pêche ont permis de localiser la distribution des effectifs camelins par zone agroécologique et de constater que les effectifs de dromadaires à l'échelle nationale ont connu une augmentation. La répartition des effectifs par zone bioclimatique a mis en exergue que les effectifs localisés au niveau des territoires Saharien et Atlas Saharien connaissent une évolution stable, voir une progression relativement lente. L'expansion des effectifs au niveau des territoires hyperarides s'explique d'une part par le développement des filières (lait et viande) liés à une forte demandes des populations autochtones et d'autre part par les politiques de subvention des aliments de bétail. Par contre, l'évolution dans les territoires steppiques permet d'observer une évolution en dents de scie. La conjonction des effets de sécheresses et des politiques agricoles semblent expliquer cette tendance à la régression. (Résumé d'auteur)
Mostrar más [+] Menos [-]Manufacturing efficiencies and microbioal properties of butter and Ayib - Ethiopian cottage cheese
2007
Yilma, Zelalem | Loiseau, Gérard | Faye, Bernard
Four butter-making methods (3 traditional: clay pot - CP, 'mesbekia' - M - a wooden agitator with three to five finger like projections at one end, and a combination of the two - CP+M; and one improved internal wooden agitator fitted to the traditional clay pot - IWA) were evaluated for their efficiencies in terms of fat recovery and churning time at 12 smallholder milk producers in the central highlands of Ethiopia. About 21 litres of milk was needed to produce one kg of butter (83% total solids - TS). An average churning time of 222 min was recorded for the three traditional methods with a mean fat recovery of about 90%. Churning time was significantly reduced by 65% for the IWA as compared to the average of the 3 traditional methods. The effect of holding Ayib (Ethiopian cottage cheese) in whey for different time length (1 h, 2 h and overnight) on Ayib yield was compared. The mean Ayib-making time and temperature was respectively 48 min and 57°C. Weight of Ayib recovered significantly increased with increasing length of time Ayib stayed in whey before separation, amounting to 1266, 1475 and 1776 g per 9.2 litres of buttermilk for 1 h, 2 h and overnight, respectively. About 6 litres of buttermilk was needed to produce one kg of Ayib (20.4% TS). Besides, aerobic mesophylic bacterial count (AMC), counts of enterobacteria, and coliform bacterial count (CC) were performed. Average AMC, counts of enterobacteria and CC of butter samples were 8, 5.3 and 3.8 log cfu/g, respectively, while the counts for Ayib samples were 7.9, 5.1 and 4.4 log cfu/g, respectively. Enterobacter, Escherichia, Klebsiella and Klyuvera were the genera identified, while Enterobacter cloacae, Escherichia coli, Klebsiella oxytoca, Klebsiella pneumoniae and Klebsiella gr. 47 are the species commonly isolated from both products. The knowledge on traditional butter- and Ayib-making efficiencies and their microbial properties is essential to increase yield and improve quality and preservation of the products. (Résumé d'auteur)
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